• LE SOSIE DE PAUL VI

    DANS LE SECRET DE NOTRE DAME DE LA SALETTE

    REVELE A L’APPROCHE DU RETOUR MIRACULEUX DE PAUL VI.

     

     

    Par le petit pèlerin de Notre Dame de la Salette, Eric Faure.

     

       Ancien enseignant en Philosophie dans l’Académie de Nice et de Rennesdiplômé également en psychologie, et en histoire des idées à l’université Paul Valéry III à Montpellier et à l’université Sophia Antipolis à Niceexpert en littérature apocalyptique médiévale, actuellement manœuvre dans le carrelage depuis des années dans un esprit d’expiation pour le retour de Paul VI. Suite à un pèlerinage à pieds de Nice à la Salette, l’auteur qui s’apprêtait à devenir un prêtre invalide dans l’église officielle romaine, après avoir suivi une formation de prêtre dans un organisme créé par les évêques de France en 1967 (Groupe de Formation Universitaire, l’élite moderniste de l’église apostate de France) est revenu dans la véritable Eglise catholique, lors d’une intervention extraordinaire de Notre Dame de la Salette qui lui a fait connaître son secret et le sens de son contenu, dans la nuit du 18 au 19 septembre 1988.

     

                          A.D. 2014                                                                A  Marsillargues.

     

     

       

     

    Ci-joint à gauche, l’auteur de l’article, en 1991 quand il était enseignant dans l’académie de Nice, peu de temps après son pèlerinage à pieds à la Salette et au centre, le voici en 2014 à l’étude après son travail comme manœuvre dans le carrelage. Dans la dernière photographie, il analyse dans l’une des plus anciennes éditions du commentaire de l’apocalypse par le jésuite belge Cornélius a Lapide, théologien et bibliste de renom ( 1567- 1637) la position de ce dernier relatif à la notion de « pastor angelicus », et réalise d’une part que ce théologien partage de par ses références, la position de la littérature apocalyptique du XII ème et XIII ème siècle enseignant l’avènement d’un pape souffrant dans les derniers temps de l’Eglise qui sera contraint de vivre caché en exil , que le monde croira mort, mais qui reviendra miraculeusement parmi le petit reste appelé dans la véritable Eglise catholique a lui faire bon accueil, et se rend compte que le diacre sédévacantiste M. L’abbé Zins auteur de l’ouvrage sur l’Antéchrist, a cherché à l’induire en erreur sur ce point, en lui faisant croire que ce théologien ne pouvait pas défendre cette idée , ce diacre ayant induit en erreur tous ses lecteurs, en leur faisant croire que la position de ce théologien sur les derniers temps de la papauté, était conciliable avec la position sédévacantiste, comme quoi, en la matière, il convient de ne faire confiance à personne, et de ne se fier qu’aux sources les plus solides. Cette étude avec les connaissances qu’elle contient, et un savoir en amont qui ne se distille qu’au compte goutte, qui attend au tournant les détracteurs, pour leur assigner, les coups qu’ils méritent, va ici faire apparaître le vide de toutes les opinions dans l’Eglise,  qui sont hostiles à l’existence d’un sosie de Paul VI. Il est absolument certain que Notre Dame de la Salette a enseigné dans son secret, qu’un imposteur prendra la figure du pape souffrant des derniers temps, pour entrainer dans l’apostasie tous les catholiques, c’est ce que nous allons voir maintenant …    

     

     

     

            Cette étude a pour objectif de révéler où se trouvent dans le secret de Notre Dame de la Salette, les passages qui concernent le sosie de Paul VI et d’en expliquer le contenu. Les données qui vont apparaître maintenant ont été longtemps gardées secrètes, mais à l’approche du retour de Paul VI qui est imminent,  il convient de les diffuser pour préparer les vrais serviteurs de N.S. Jésus-Christ, les vrais catholiques, à ce retour miraculeux que N.S. Jésus-Christ va réaliser. Il va de soi que si Paul VI est toujours en vie et va revenir parmi ceux qui dans la véritable Eglise catholique sont appelés par N.S. Jésus-Christ à le recevoir, que Notre Dame de la Salette dans son secret n’a pas manqué de nous en parler,comme elle n’a pas manqué de nous parler du sosie de Paul VI. Ici, il ne s’agit pas pour le moment de montrer et d’expliquer les passages du secret qui attestent la survivance de Paul VI et son retour imminent, mais seulement ceux concernant le sosie de Paul VI, même si pour aborder ce thème, des indices dans cette étude vont apparaître sur la survivance et le retour de Paul VI, indiquant que Notre Dame de la Salette enseigne non seulement l’existence du sosie de Paul VI, mais son retour miraculeuxqui se fera par N.S. Jésus-Christ. Il convient de dire, que ce sujet dans le secret de Notre Dame de la Salette ayant trait au sosie de Paul VI,  n’est qu’un thème annexe, secondaire, ordonné à cette intervention miraculeuse de N.S. Jésus-Christ qu’est le retour de Paul VI, ce pape aussi étonnant que cela puisse paraître à première vue, étant le personnage principal de son récit. Personne avant mon intervention n’a été en mesure dans l’Eglise à notre connaissance, de comprendre que Notre Dame dans la Salette nous a parlé longuement du sosie de Paul VI dans son secret, de localiser dans le secret, les passages concernant le sosie de Paul VI  et de les expliquer publiquement, y compris ceux qui dans la sainte Eglise ont cru à la substitution de Paul VI, par un sosie, et au retour miraculeux de Paul VI, corrélatif au fait que ce n’est pas Paul VI qui est mort en 1978, mais son sosie. La raison principale à cela est que Notre Dame de la Salette pour faire passer son secret, celui du retour miraculeux de Paul VI, utilise ce genre de littérature qu’est l’apocalypse pour ne pas être comprise de tout de le monde ou par n’importe qui, mais uniquement des véritables destinataires de son secret. Elle ne veut être comprise que des vrais serviteurs de N.S. Jésus-Christ, à savoir Paul VI actuellement vivant caché en exil, complètement éclipsé depuis de nombreuses années par une fausse papauté, et le petit reste appelé à recevoir Paul VI lors de son retour miraculeux, qui est appelé à comprendre ce que son secret veut dire ; Notre Dame dans son secret ou apocalypse ne veut pas être comprise des persécuteurs de l’Eglise de Jésus-Christ et des hommes adonnés au péché.Elle ne veut pas être comprise ni des pires ennemis de l’Eglise qui ont comploté contre Paul VI, l’ont remplacé par un sosie, ni des apostats qui suivent les usurpateurs de Paul VI en les prenant pour de vrais papes, ou ce qui revient au même, n’ont plus la foi catholique, ni même des mauvais catholiques qui demeurent dans la véritable Eglise catholique, et qui par définition sont farouchement hostiles au retour miraculeux de Paul VI.

     

             Livrer le sens réel de son apocalypse à ces méchants, expliquer publiquement le secret de la Salette en allant au fond des choses,  c’est comme livrer des perles à des pourceaux et à des chiens, et ce n’est bien évidemment pas à ces derniers que l’on s’adresse iciQue ces derniers s’écartent de cette étude, car la lecture de cette étude leur ait radicalement interdite, et malheur à eux, si par curiosité, ils bravent notre interdit, pour savoir ce qu’elle recouvre. Qu’ils sachent que l’on s’est arrangé s’ils la lisent, pour qu’elle leur devienne un véritable poison. Il y a une obscurité du texte dans l’apocalypse de Notre Dame de la Salette, qui est voulue à la fois par Dieu et la très Sainte vierge Marie. Pour en venir à notre sujet, avant l’avènement du sosie de Paul VI, il était impératif que personne ne puisse comprendre le sens des passages relatifs au sosie de Paul VI dans le secret de Notre Dame de la Salette, que cette prophétie soit complètement scellée, pour qu’elle puisse se réaliser et  pendant sa réalisation, il fallait que cette Prophétie soit encore fermée par Dieu, l’Ennemi ne devant pas prendre connaissance des desseins cachés de N.S. Jésus-Christ qui consiste à se servir des ennemis de l’Eglise et de la substitution du vrai pape par un faux, pour le retour de Paul VI. Le sceau de cette prophétie relatif au sosie a été ouvert tardivement dans l’Eglise, et c’est à l’approche du  retour de Paul VI que le sens réel des  passages de l’apocalypse de Notre Dame de la Salette concernant le sosie  peut maintenant être livré à l’ensemble des justes, car c’est le moment le plus propice pour relancer plus que jamais l’attente du retour de Paul VI parmi eux, et peu importe maintenant si les méchants tombent sur cet article, car il est importun pour les justes d’en prendre connaissance, quant aux méchants ils pourront toujours y chercher des informations pour empêcher le retour de Paul VI de se réaliser, comme le lieu et la date du retour de Paul VI. Non seulement, ils ne trouveront pas dans cette étude des informations précieuses servant leur camp, mais s’il bravent notre interdit, en en prenant connaissance, ils subiront le châtiment qu’ils méritent, mais comme on ne tient pas qu’ils s’enfoncent davantage dans le malheur qui les attend, il importe de les avertir que la lecture de cet article est un véritable poison pour eux, et tant pis pour ces derniers, s’ils effectuent la lecture de ce qui va suivre alors qu’elle leur est radicalement interdite, on les aura prévenu, et ils ne devront dans ce cas là, que s’en prendre à eux-mêmes. Plus ces derniers ne prendront pas au sérieux, cette étude, s’en détourneront et poursuivront leur sommeil, et mieux cela vaudra, pour Notre Sainte Mère  l’Eglise, d’ailleurspour les y aider à mieux refermer les pages de cette étude, disons leur immédiatement cette vérité, que l’idée du sosie de Paul VI, implique non seulement l’idée, quetous les successeurs de Paul VI sont des antipapes, queWojtyla est un monstre d’iniquité, mais implique l’idée que Paul VI est le pape souffrant du secret de Notre Dame de la Salette, ces deux précisions devant les aider à ne plus poursuivre la lecture de ce qui va suivre, qui n’est vraiment pas pour eux, qui ne veut d’ailleurs pas d’eux, et qui les attends au détour à l’improviste, pour leur assigner le coup qu’ils méritent s’ils osent la poursuivre !

            Si on publie cette explication au sujet du sosie de Paul VI dans le secret de Notre Dame de la Salette, qui ne vient pas de notre propre mouvementc’est pour la faire connaître des justes qui avec Paul VI souffrent beaucoup, de ceux qui dans la véritable Eglise catholique suite à toutes les épreuves que le Seigneur leur a envoyées sont enfin disposés à entendre la Parole de Dieu, à croire au retour miraculeux de Paul VI, et à prier le Seigneur et la très Sainte Vierge Marie pour cela, jusqu’à faire monter jusqu’au ciel, leurs prières, leurs pénitences et leurs larmes. C’est pour leur redonner du courage, les réconforter, les aider à redoubler de ferveur, afin qu’ils puissent faire entendre toujours plus, leurs lamentations au Seigneur, et les préparer au retour de Paul VI, qui aussi incroyable que cela puisse paraître va se réaliser dans un temps fixé par Dieu,  et que nous livre bien évidemment Notre Dame de la Salette dans son secret, pour que nous soyons tenace jusqu’au bout, et que nous ne nous découragions pas, mais que bien contraire, nous puissions être porté dans la paix et la joie de son secret, tant il est vrai que son apocalypse par delà les apparences, loin d’être un ensemble de prophéties de malheurs -  c’est ainsi que les méchants le comprennent, car s’ils ne se convertissent pas, ils périront  tous et tout particulièrement après le retour miraculeux de Paul VI, si après ce miracle de N.S. Jésus-Christ, ils n’épousent pas la véritable Foi catholique – estune source de joie extraordinaire pour le juste qui a reçu du Saint Esprit le don d’en saisir le sens réel ou qui a eu la grâce de tomber sur cette étude avec les dispositions qui conviennent pour y accueillir les choses de Dieu qu’elle contient.        

     

             Le passage le plus important concernant le sosie de Paul VI dans le secret de Notre Dame de la Salette est celui-ci : « On fera ressusciter des morts et des justes », avec l’explication qui va avec, commençant par « c'est-à-dire » qui ne vient pas de Mélanie, mais de Notre Dame, Mélanie ne comprenant pas l’explication que lui a donné Notre Dame, mais la rapportant fidèlement. Mais les choses relatives au sosie de Paul VI, après un texte nous introduisant à l’intérieur de ces choses, avec des indices qui ont leur importance pour desceller ces choses, commencent véritablement par le paragraphe nous parlant des faiseurs de miracles et des prodiges extraordinaires que ces derniers vont réaliser. « Que le pape se tienne en garde des faiseurs de miracles », ce pape pour des raisons   qu’il conviendra d’éclaircir  progressivement,  étant le pape souffrant du secret de la Salette qui comme Pie IX sera contraint de vivre caché en exil et que le monde croira mort alors qu’il sera toujours en vie, c'est-à-dire Paul VI, et ces faiseurs de miracles, qui trahiront Paul VI désignent pour Notre Dame de la Salette, les prélats franc-maçons qui ont mis en place le sosie de Paul VI, et les prodiges extraordinaires qui sont décrits par la suite sont ceux que ces derniers vont pouvoir réaliser avec l’aide de Lucifer et des démons détachés de l’enfer en 1964, sous le pontificat de Paul VI, par conséquent et sous le dernier concile, Lucifer et les démons ayant remporté  lors de ce concile,  cette année là, une grande victoire certes provisoire, éphémère même au regard de l’éternité, qui leur a été accordée par Dieu, parce que le temps est venu pour l’Eglise de suivre les pas de son Seigneur dans la passion. Ces prodiges extraordinaires malgré les apparences qui sont décrits par Notre Dame dans ce genre littéraire qu’est l’apocalypse, pour que les méchants ne puissent pas savoir de quoi il s’agit, concernent tous ce prêtre qui après être passé dans le camp de la franc-maçonnerie ou de Lucifer, va prendre la figure de Paul VI jusqu’à prendre également la place de Paul VI dans la vie. Reprenons le texte littéral pour rafraîchir la mémoire des justes, si tant est qu’elle ait besoin d’être rafraichie, car les justes font souvent référence au secret de Notre Dame de la Salette dans leur enseignement public, mais sans hélas, comprendre les choses de Dieu contenues à l’intérieur, ce qu’il a été donné de comprendre à la plupart, ne correspondant à nos yeux, qu’à des miettes sans grand intérêt pour l’Eglise, car beaucoup parmi nous ont des yeux pour voir, mais ne voient pas, des oreilles pour entendre mais n’entendent pas : 

     

     

    «   Que le Pape se tienne en garde contre les faiseurs de miracles, car le temps est venu que les prodiges les plus étonnants auront lieu sur la terre et dans les airs. 

         En l'année 1864, Lucifer avec un grand nombre de démons seront détachés de l'Enfer ; ils aboliront la foi peu à peu et même dans les personnes consacrées à Dieu ; ils les aveugleront d'une telle manière, qu'à moins d'une grâce particulière, ces personnes prendront l'esprit de ces mauvais anges ; plusieurs maisons religieuses perdront entièrement la foi et perdront beaucoup d'âmes. 

         Les mauvais livres abonderont sur la terre et les esprits de ténèbres répandront partout un relâchement universel pour tout ce qui regarde le service de Dieu ; ils auront un très grand pouvoir sur la nature ; il y aura des églises pour servir ces esprits. Des personnes seront transportées d'un lieu à un autre par ces esprits mauvais, et même des prêtres, parce qu'ils ne seront pas conduits par le bon esprit de l'Évangile, qui est un esprit d'humilité de charité et de zèle pour la gloire de Dieu. On fera ressusciter des morts et des justes (c'est à dire que ces morts prendront la figure des âmes justes qui avaient vécu sur la terre, afin de mieux séduire les hommes ; ces soi-disant morts ressuscités, qui ne seront autre chose que le démon sous ces figures, prêcheront un autre Évangile, contraire à celui du vrai Jésus-Christ, niant l'existence du Ciel, soit encore les âmes des damnés. Toutes ces âmes paraîtront comme unies à leurs corps). Il y aura en tous lieux des prodiges extraordinaires, parce que la vraie foi s'est éteinte et que la fausse lumière éclaire le monde. »

     

                   La liste des prodiges les plus  étonnants, relatifs aux faiseurs de miracles apparaît dans cet ordre : 1) libération de Lucifer et des démons, 2) abolition de la foi même dans les personnes consacrées à Dieu, 3) conversion de ces personnes à l’esprit de Lucifer et des démons,  4) perte de la foi de plusieurs maisons religieuses, 5) propagation des mauvais livres, 6) relâchement universel pour tout ce qui regarde le service de Dieu, 7) un grand pouvoir sur la nature 8) des églises pour servir Lucifer et les démons 9) transporter d’un lieu à l’autre, des personnes et même des prêtres , et le miracle le plus grand pour la fin : 10)  ressusciter des morts et des justes ( 10 étant un nombre circulaire, 10 implique tous les nombres,  l’union , voir à ce sujet, la science des nombres, prodige s’opposant en tout point aux 10 commandements de Dieu, contient l’unité qui a tout fait et le zéro, symbole de la matière et du chaos, nombre comprenant dans sa figure, le commencement et la fin ), et explication de cette réussite diabolique très difficile à croire vue de l’extérieur : « parce que la vraie foi s’est éteinte et que la fausse lumière éclaire le monde ». Pourquoi, les princes de l’Eglise ne se sont pas rendu compte de la supercherie finale (du sosie de Paul VI) des faiseurs de miracle ? Ils sont trop  occupés « à entasser richesses sur richesses (…) à sauvegarder leur autorité et à dominer avec orgueil », et ne se sont rendus compte de rien.

                 Apparemment, tout cela n’a rien à voir avec le sosie de Paul VI, mais à y regarder de plus près, avec la lumière du Saint Esprit, il en va vraiment tout autrement … il y a une logique interne permettant d’expliquer l’ordre dans lequel s’enchaînent les dit prodiges, et de les percevoir comme un tout harmonieux que seul permet de comprendre le sens réel de ce passage que je vais vous livrer. En dehors de ce sens, toute interprétation de ce passage ne peut être que irrationnelle et fantaisiste, voire subversive, ou inspirée par le Diable, dans l’incapacité radicale de comprendre ce que veut dire ici Notre Dame. Toutes les interprétations que nous avons rencontrées sur ces passages, sont ainsi vides de toutes connaissances véritables, et bonnes à être jetées au feu. On ne les exposera même pas ici pour les réfuter, car ce serait faire à leurs auteurs respectifs un honneur qu’ils ne méritent pas.  Le fait même d’expliquer ces passages dans la lumière du Saint Esprit, est suffisant en lui-même pour confondre et ridiculiser les pseudo-commentateurs du secret de la salette, jusqu’à provoquer un sentiment de honte, chez ces derniers. A quoi bon les accabler davantage, en exposant les âneries qu’ils ont écrites, et ceux qui les ont lues ces interprétations insensées,  en croyant qu’elles correspondaient au point de vue de Notre Dame feraient mieux de faire leur examen de conscience, au lieu de s’en prendre à ces derniers pour avoir été égarés par eux. Livrer le sens réel de ce passage que je viens de citer, c’est bien montrer le vide des opinions qui se sont exprimées à ce sujet jusqu’à présent, et l’aspect ridicule de ceux qui les ont dogmatisées. La seule opinion au sujet de ce passage qui méritera d’être mise à nue, est celle de Mélanie pour désarçonner à l’avance ceux qui auraient envie de s’en servir pour nous contredire, et pour renverser bien des préjugés. Il serait inconvenant de nous opposer à Mélanie, alors que nous poursuivons la réflexion, là où Mélanie s’est arrêtée en chemin, en expliquant pourquoi, Mélanie n’a pas pu aller plus loin.  Du sens littéral de ce long passage (et de  son emplacement ou contexte dans l’ensemble du corpus prophétique, a fortiori) se déduit son sens réel, c'est-à-dire l’annonce d’un sosie du pape souffrant des derniers temps, et plus précisément d’un sosie de Paul VI. Le sens réel de ce passage et cela vaut pour l’ensemble du secret, n’est pas à livrer aux porcs et aux chiens, car cela ne peut attirer pour celui qui est en mesure de l’expliquer ( par l’analyse historico-critique ou exégétique, par l’herméneutique sacrée, et avec une rigueur et une simplicité confondante) de la part des porcs et des chiens, que des persécutions, sans compter qu’il vaut mieux pour ne pas aggraver leur état, et dans l’intérêt de l’Eglise, cacher les desseins secrets de N.S.Jésus-Christ aux ennemis de l’Eglise, et aux mauvais catholiques.  Je déconseille fortement  ceux qui  sans même avoir lu notre démonstration, ont envie de me contredire, pour avoir dit que ce long passage ainsi rapporté du secret, concerne le sosie de Paul VI,  car il y a fort à parier qu’ils doivent se trouver du côté des porcs et des chiens, des apostats ou autres ennemis de l’Eglise ou des mauvais catholiques, qui ne sont pas invités à lire ce qui va suivre, mais bien plutôt repoussés sans ménagement. 

      

            Ces prolégomènes étant dits, lorsque Notre Dame dans le dit passage, parle de « la Foi abolie peu à peu et même  dans les personnes  consacrées à Dieu », elle pense avant tout ausosie de Paul VI, qui est un prêtre qui a perdu la Foi peu à peu au contact de Lucifer et des siens, à commencer par les franc-maçons ; lorsqu’elle dit de ces personnes, qu’elles seront aveuglés par Lucifer et les siens, «  d’une telle manière qu’à moins d’une grâce particulière ces personnes prendront l’esprit de ces mauvais anges », elle pense avant tout au sosie de Paul VI, qui est devenu plein de haine à l’égard de notre Religion, de N.S. Jésus-Christ, comme Lucifer, ayant pris son esprit,  mais sans pourtant croire en l’existence de Lucifer, car on sert d’autant mieux Lucifer ou Satan, que l’on ne croit pas en son existence. Lorsque Notre Dame, parle de « plusieurs maisons religieuses qui perdront entièrement la Foi et perdront beaucoup d’âme », elle pense avant tout, au sosie de Paul VI, qui est issu d’une maison religieuse qui a perdu la Foi et perdu beaucoup d’âmes. Lorsque Notre Dame dit «  les mauvais livres abonderont sur la terre et les esprits de ténèbres répandront partout un relâchement  pour tout ce qui regarde le service de Dieu », elle pense avant tout encore au sosie de Paul VI, qui a lu de mauvais livres, et qui a délaissé le service de l’autel. Lorsque Notre Dame de la Salette, nous parle des esprits de ténèbres qui auront un très grand pouvoir sur la nature, et des églises qui serviront ces esprits, elle pense avant tout à l’entrée du sosie de Paul VI dans un temple maçonnique et à son initiation maçonnique, comme elle pense à l’aide des esprits de ténèbres, qu’a reçu le futur sosie de Paul VI dans ses études, celui-ci pouvant dormir très peu, tout en étant en pleine forme, ainsi que l’aide, qu’il recevra , en se faisant refaire le visage pour ressembler à Paul VI, la réussite spectaculaire de l’opération, n’étant pas seulement due au savoir faire  de l’expert et de son équipe, mais à Lucifer et aux démons, car il y avait  beaucoup de choses à retoucher pour que la ressemblance soit acceptable, de même le futur sosie de Paul VI doit la réussite de tous ses tests par la franc-maçonnerie à Lucifer et aux démons, et pas seulement à sa faculté d’adaptation, ainsi que son ascension rapide dans la secte.

      

     

              Lorsque Notre Dame de la Salette dit encore : «  des personnes seront transportées d’un lieu à l’autre, par ces esprits mauvais, et même des prêtres », elle pense encore au sosie de Paul VI, qui est prêtre, qui du lieu où il aurait dû rester, de la maison religieuse où il se trouvait, s’est retrouvé sur le siège de Pierre, dans un lieu où il n’aurait dû pas être ; elle décrit son transport, comme un châtiment, ce dernier se trouvant comme déporté, et sans aucun espoir de pouvoir revenir en arrière ; le sosie de Paul VI incarne mieux que personne, nos pères qui ont péché, qui ont fait ce qui déplaît à l’Eternel, qui l’ont abandonné, qui ont détourné leur face du pavillon de l’Eternel, qui lui ont tourné le dos, qui lui ont fermé les portes du porche, qui ont éteint leurs lampes, qui n’ont point fait de parfum, qui n’ont point offert d’holocauste dans le lieu Saint ( versets bibliques qui s’appliquent dans leurs sens réel,  au clergé apostat, qui n’encense plus l’autel, qui a éteint la flamme du tabernacle, qui tourne le dos à Dieu lors du culte, pour se tourner devant les hommes, qui a chassé des églises les vrais catholiques) : «  C’est pourquoi l’indignation de l’Eternel a été sur Judas et sur Jérusalem, et il les a livrés ( parmi eux, il y a même des prêtres )à être transportés d’un lieu à l’autre, et pour être un sujet d’étonnement et de dérision ». Lorsque  Notre Dame dit ce  ces prêtres, qu’ils seront transportés de la sorte, « parce qu’ils ne seront pas conduits par le bon esprit de l’Evangile, qui est un esprit d’humilité, de charité et de zèle pour la gloire de Dieu », Notre Dame pense encore au sosie de Paul VI qui  en désirant occuper la fonction pontificale, n’était bien évidemment pas conduit par le bon esprit de l’Evangile, ce dernier étant mu par l’orgueil, le désir de faire payer à l’Eglise toutes ses années de sacerdoce pour rien, étant porté par la haine de Dieu, étant un révolté de la pire espèce.

      

         Et enfin, lorsque Notre Dame dit «  On fera ressusciter des morts et des justes », elle pense par-dessus tout, au sosie de Paul VI qui avant de prendre la figure de Paul VI s’est fait passé pour mort, afin que l’on ne puisse pas faire la corrélation entre l’homme qu’il était lorsqu’il était prêtre dans une maison religieuse, et l’homme qu’il est devenu, lorsqu’il a été introduit au Vatican, à la place de Paul VI, et qui par la chirurgie esthétique a ressuscité  dans la peau de Paul VI, en prenant sa figure et sa place dans la vie.  Lorsque que Notre Dame dit, « on fera ressusciter (…) des justes », elle veut dire par là, que le sosie de Paul VI, ce soit disant mort qu’est ce prêtre, prendra la figure du juste qui est appelé à suivre les pas de N.S. Jésus-Christ dans la passion, c'est-à-dire prendra la figure du pape qui aura beaucoup à souffrir et  qui s’offrira en sacrifice à l’image de N.S. Jésus-Christ sur le bois de la croix, c’est dire prendra la figure de Paul VI. Lorsque Notre Dame dit « que ces morts prendront la figure des âmes justes », elle pense avant tout au sosie de Paul VI, qui a pris la figure de cette « âme juste » qu’est celle de Paul VI, c'est-à-dire, que pour elle, Paul VI, n’est pas un infiltré, un intrus comme c’est le cas de Wojtyla, mais une « âme juste », qui voulait faire sur le siège de Pierre la volonté de N.S. Jésus-Christ,  mû par de la bonne volonté, même s’il a tout fait de travers.

           L’expression «  prendre la figure des âmes justes »  indique bien que l’on a affaire ici à une usurpation d’identité. Il s’agit pour celui qui est appelé à être le sosie de Paul VI  de prendre «  la figure de cette âme juste » qu’est Paul VI, pour que cette figure de l’âme du juste ne se refuse pas à la figure du corps du juste, afin que la correspondance de l’âme et du corps soit parfaite, et ainsi on ne percevra donc pas chez le sosie de Paul VI, en regardant son corps la monstruosité de son âme. On croira en regardant son corps se mouvoir et parler avoir à faire à Paul VI. Lorsque que Notre Dame apporte cette précision: «  qui avaient vécu sur la terre », pour parler des âmes justes – « des âmes justes qui avaient vécu sur la Terre », elle pense toujours à Paul VI, car l’âme de Paul VI était une âme « qui avait vécu sur la terre », c'est-à-dire qui s’était mal comportée, ne faisait pas pénitence, faisait partie de ces chefs, dont saint Jacques nous dit, qu’ils se sont au contraire repus pour le jour de l’égorgement : « vous avez vécu sur la terre dans les délices et les festins ; vous avez été comme la victime qui se repaît le jour où on doit l’égorger » .

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Cette photo fortement expressive est    l’ illustration  du texte : «  lorsque Notre Dame dit  "On fera ressusciter des morts et des justes", elle pense par-dessus tout, au sosie de Paul VI qui avant de prendre la figure de Paul VI s’est fait passé pour mort, afin que l’on ne puisse pas faire la corrélation entre l’homme qu’il était lorsqu’il était prêtre dans une maison religieuse, et l’homme qu’il est devenu, lorsqu’il a été introduit au Vatican, à la place de Paul VI, et qui par la chirurgie esthétique a ressuscité  dans la peau de Paul VI, en prenant sa figure et sa place dans la vie. »  Secret : «  On fera ressusciter des morts et des justes, c'est-à-dire que ces morts – ces soit disant morts – prendront la figure (…) des justes », et  Notre Dame nous dit ce qu’il faut entendre par justes : «  les justes souffriront beaucoup »,  et  le juste qui la préoccupe à plusieurs reprises, c’est  dit-elle «  le Vicaire de mon fils ( qui ) aura beaucoup à souffrir », et pour que nous comprenions mieux ce qu’elle veut dire, elle se répète une seconde fois : « le Saint Père souffrira beaucoup », mais ce saint Père dit-elle, pour qu’on  puisse l’identifier, a « un successeur qui ne règnera pas longtemps », à savoir Luciani dont le règne se caractérise par sa brièveté, qui n’a régné que 33 jours, c'est-à-dire que ce juste dont l’ennemi prendra la figure, c’est Paul VI.

     

     

     

           

     

     

     

     

     

     

    ci joint une reconstitution de l'opération de celui qui est devenu le sosie de Paul VI. Ces oreilles n'ont pu être cependant modifiées. Cette opération a été filmée pour les générations futures lorsque les temps seront mûrs "pour achever la Religion catholique", - du moins ces impies s'imaginent pouvoir anéantir le vrai culte ... 

    Par ailleurs, dans le secret que Notre Dame a transmis à Maximin, la rédaction qu’en a fait  Maximin le 3 juillet 1851, on sait avec certitude, que ce saint père persécuté, qui aura pour successeur après Luciani, l’abominable Wojtyla , viendra au XX ème siècle, et que les successeurs dont il est parlé par Notre Dame dans son secret, arriveront au plus tard en l’an 2000, c'est-à-dire que le pape persécuté ou souffrant de Notre Dame de la Salette doit arriver dans la seconde moitié du XX ème siècle, le successeur ( du pape souffrant donc de Paul VI ) qui ne régnera pas longtemps étant Luciani, et celui que personne n’attend, parce qu’il viendra d’un pays inhabituel, étant Wojyla venu de Pologne, ce dernier étant le monstre troublant la paix de l’Eglise, annoncé par Notre Dame de la Salette; voilà pourquoi, il est dit de ce monstre d’iniquité qu’il gravitera autour de l’an 2000, comme le montre le document ci-joint, écrit de la main même de Maximin. Avec ce document qui est authentique, car il est accablant pour Wojtyla, et contient des indices sur le retour miraculeux de Paul VI, comme on l’expliquera une autre fois, ceux qui perçoivent Pie XII comme le pape souffrant du secret de la Salette, ou pire ce monstre de Wojtyla ou cet apostat de Ratzinger, comme étant le pape souffrant du secret, sont désormais tous confondus par les paroles même de Notre Dame de la Salette, Maximin n’étant que le messager rapportant ce qu’il a reçu d’en haut :

         

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ci-joint la rédaction du secret que Maximin a reçu de Notre Dame de la Salette, le texte authentique publié par l’apostat Corteville, indiquant à la fin, que les persécutions que le pape souffrant des derniers temps connaîtra avant sa succession, sa succession par un homme que personne dans l’Eglise n’attendait à la fonction pontificale, en raison de son pays d’origine – il s’agit de l’élévation de Wojtyla à la fonction pontificale, qui a surpris les peuples et les médias qui n’attendaient pas sur le siège de Pierre, un polonais, le monde « catholique » dans son ensemble à ce sujet, ayant  exprimé sa surprise totale , et cette paix qui ne durera pas longtemps parce qu’un monstre viendra la troubler, tout cela doit se passer dans l’autre siècle c'est-à-dire au XX ème siècle ( cette rédaction se faisant au XIX ème siècle), et doit s’accomplir au plus tard en l’an 2000, doit se passer par conséquent vers la fin du XX ème siècle. Notre Dame de la Salette annonce à Mélanie, dans le même temps, en revanche un autre successeur du pape qui souffrira beaucoup, ce pape souffrant n’étant rien d’autre que le pape persécuté dans le secret transmis à Maximin, et elle précise deux choses capitales au sujet de ce successeur, la première, c’est qu’il ne règnera pas longtemps, il s’agit cette fois de Luciani, et la seconde, c’est qu’elle associe dans l’action avec le pape souffrant, "son successeur qui ne règnera pas longtemps", puisque le pape souffrant et "son successeur qui ne règnera pas longtemps", Notre Dame nous dit que ces deux là, « ne verront le triomphe de l’Eglise de Dieu. » On aurait pu penser avant le déroulement des évènements, qu’il aurait pu s’agir dans le secret de Maximin, et dans le secret de Mélanie, d’un seul successeur, avec deux caractéristiques essentielles, son élévation à la fonction pontificale qui étonnera tout le monde en raison de sa nationalité, et la brièveté frappante de son règne, mais le déroulement des évènements, nous a montré un "successeur ( du pape souffrant ) qui ne règnera pas longtemps" – il s’agit de Luciani qui n’a régné que 33 jours, son règne ayant étonné tout le monde par sa brièveté – et un autre successeur du pape souffrant, qui lui a étonné tout le monde par sa nationalité – il s’agit de Wojtyla, qui lui en revanche règna longtemps et que l’on ne peut pas associer dans l’action avec le pape souffrant, car ses intentions contrairement à Paul VI et Luciani, nous dit Notre Dame de la Salette,  sont « d’anéantir le culte de Dieu pour se faire regarder comme un dieu ». En décrivant Luciani et l’abominable Wojtyla, en ces termes, Notre Dame n’a pas pour objectif premier de nous faire comprendre que Luciani et Wojtyla sont antipapes, mais son objectif premier est de nous permettre ici d’identifier Paul VI, comme étant bien le pape souffrant ou le pape persécuté de son secret, car Luciani et Wojtyla passeront, mourront, mais Paul VI leur survivra, par un miracle de Dieu, Paul VI étant l’envoyé de Jésus-Christ, qui redressera toutes choses lorsque l’éclipse de l’église corrélative à son exil caché, sera terminéelorsque Dieu le sortira de son exil, comme on tire un tison du feu ( apocalypse de Zacharie, sur le retour de Paul VI dans l’Ancien Testament ), car il importe de comprendre avant tout que Paul VI est le nouvel Elie, pour Notre Dame de la Salette, tant attendu dans l’Eglise pour les temps de la fin; ceux qui le rejetteront lorsqu’il reviendra se perdront, et ceux qui le suivront après son retour miraculeux, seront sauvés, Paul VI, étant le personnage central de l’Apocalypse de Notre Dame de la Salette, tout gravitant autour de lui dans le secret; Luciani et Wojtyla, ne sont que des personnages annexes, d’une importance secondaire,  dont Notre Dame ici se sert, pour nous permettre d’identifier Paul VI. Mais ne nous y trompons pas, lorsque Notre Dame associe Paul VI à Luciani dans l’action, cela ne signifie pas qu’elle voit en Luciani, un vrai pape , mais tout au contraire qu’elle voit en lui, un antipape, mais qui ignore qu’il est antipape du point de vue de l’Eglise, un antipape certes, mais qui lors de son élévation à la fonction pontificale, voulait faire la volonté de N.S. Jésus-Christ, ce qui le rapproche du vrai pape, de ce vrai Christ qu’est Paul VI. Leur bonne volonté, mais également leur mauvais comportement d’autrefois dans l’Eglise, et leur retour vers Dieu, les unit, et lorsque Notre Dame dit de Paul VI et de Luciani, que ni l’un, ni l’autre, « ne verront le triomphe de l’Eglise de Dieu », un peu comme bien des hébreux libérés par le Seigneur, du temps de Moïse n’ont pu atteindre la terre promise, il faut y voir, un châtiment de Dieu, corrélatif à leur mauvais comportement d’autrefois, et pas seulement, un simple repère dans le temps, où le mouvement des Apôtres de la fin des temps suscité par le retour miraculeux de Paul VI finira pas l’emporter, grâce à ce retour miraculeux, sur tous les ennemis de Dieu ; Ce combat de longue haleine se fera après le retour de Paul VI et même après la mort de Paul VI. Le retour miraculeux de Paul VI s’étant opéré, la mission confiée par le Seigneur à Paul VI est terminée, et Paul VI peut enfin mourir, et peut être même de la main de ses ennemis, car la protection miraculeuse de Dieu à l’égard de Paul VI n’a de sens que par rapport à son retour miraculeux, que pour permettre ce retour miraculeux. Après ce retour, cette protection du corps de Paul VI, de la part du Seigneur, ne s’exercera plus, Paul VI redeviendra vulnérable physiquement, mais il demeurera grand dans l’amour de Dieu. Notre Dame de la Salette accrédite par ses propos les révélations en cours d’exorcisme au sujet de Luciani, faisant de ce dernier un antipape malgré lui, voulant faire la volonté de N.S. Jésus-Christ, et lorsqu’il apprendra qu’il n’est pas pape, que Paul VI est toujours en vie, et que c’est un sosie de Paul VI qui est mort , il fera la volonté du Seigneur, en se taisant à ce sujet, car il fallait d’abord, que la passion de ce pape, sa sanctification au cours de son exil caché puisse se réaliser. Quant à Wojtyla , on le voit également annoncé dans le secret donné à Maximin ci-dessus par Notre Dame de la Salette en ces termes : «  une grande paix arrivera ( entre 1945 et 1970 ) mais elle ne durera pas longtemps ( elle durera 25 ans ) , un monstre viendra la troubler toute » ( voir le texte photographié ci-dessus, où Maximin commet la faute d’étourderie providentielle, de mettre au dessus du mot monstre, le mot " pontife " , mais rayé par des croix de saint André , ce monstre étant un antipape de la pire espèce ; Maximin avait oublié à la ligne au dessus dans la phrase «  son successeur sera un que personne s’y attend », le mot pontife avec le verbe « sera »;  et par étourderie, le mot « pontife », il l’a placé au dessus du mot monstre, et s’étant rendu compte de son erreur, il la corrige, mais  Dieu s’est servi de Maximin, et du fait qu’il est étourdi, pour nous faire comprendre de ce monstre qu’il s’agit d’un antipape pas comme les autres, et plus précisément de Wojtyla ). En effet, cette prophétie dans le secret de Maximin, est reprise dans le secret donné à Mélanie par Notre Dame en ces termes : « Cette paix parmi les hommes ne sera pas longue », et pourquoi, parce qu’un monstre viendra y mettre un terme à cette paix : «  un avant-courreur de l’Antéchrist (…) combattra contre le vrai Christ ( par vrai Christ ici il faut entendre le vrai pape, Paul VI ) (…) et voudra anéantir le culte de Dieu, pour se faire regarder comme un dieu », cet avant coureur de l’antéchrist, ici étant l’antéchrist-antipape par excellence, à savoir Wojtyla, qui de 1945 à 1970, s’est élevé progressivement jusqu’à Rome,  pour s’emparer de la fonction pontificale, et qui va être élevé sur les autels comme un dieu , par Bergoglio, qui prend le relais de Ratzinger dans cette élévation abominable sur les autels. Autrefois, sous l’Ancienne Alliance les prêtres apostats élevaient des porcs sur les autels, et sous la nouvelle alliance,  dans la Rome apostate, ils élèvent ce porc de Wojtyla ! Il faut savoir en effet, que l’expression « avant-coureur de l’antéchrist » désignait au XII ème et XIII ème siècle, un antipape;c’était une expression courante pour désigner un antipape, et Hildegarde de Bingen (XII ème siècle) dans son livre des œuvres divines, annonce pour les derniers temps de la papauté, un antipape qui apportera «  le trouble dans toutes les institutions ecclésiastiques, infligera aux croyants toutes les bourrasques de l’adversité. »  (P. 207 le livre des œuvres divines, chez Albin Michel, Paris, 1982 ; voir notre commentaire de cette prophétie, dans notre ouvrage sur le pape martyr de la fin des temps, disponible gratuitement sur internet, chapitre III, p.68 ) , Hildegarde parlait ici de Wojtyla, et Notre Dame de la Salette dans son secret, reprend ici les mêmes idées, dont l'idée que cet antipape redoutable troublera la paix de l'Eglise. Tout ce que nous disons ici, sur le sens littéral du secret de la Salette prouve à l’évidence, que le pape souffrant du secret de la Salette, ne peut pas être Pie XII, et encore moins ce monstre d’iniquité qu’a été Wojtyla et son âme damnée ( prendre cette expression dans son sens habituel de personne attachée servilement à une autre )  Ratzinger ( qu'il convient d'ailleurs de percevoir comme un serviteur ou esclave du démon, lui qui fait profession de servir Jésus-Christ mais qui ne le sert pas, se vouant un culte à lui même, à l'exemple du démon )  ! Cette parenthèse n'étant pas inutile,  revenons au sosie de Paul VI  … notre sujet du jour !   

     

           

     

          Il va sans dire, que Notre Dame pour se faire comprendre au moment opportun par les vrais destinataires de son secret n’avait que ce genre littéraire qu’est l’apocalypse. Elle ne pouvait pas enseigner du temps de Pie IX, qu’un prêtre qui a perdu la foi, prendrait le visage du pape souffrant de son secret, lors d’une opération chirurgicale du visage, pas plus qu’elle ne peut révéler explicitement aujourd'hui le lieu et le retour de Paul VI, après son exil caché; tout cela  est voilé dans son apocalypse, car l’Ennemi en ayant de telles informations, ferait tout pour s’opposer aux desseins cachés de N.S. Jésus-Christ, comme cela s’est passé avec Hérode qui apprenant le lieu de naissance du Messie en N.S. Jésus-Christ, et le temps de sa naissance, fit semblant de vouloir honorer à son tour le Messie, mais avec le sinistre et satanique dessein d’empêcher les Prophéties qui lui sont attachés de se réaliser, et qui ordonna un véritable massacre d’enfants, espérant dans le lot, avoir fait exterminer le Messie et  éradiquer à la racine son avènement. Ceux qui prétendent connaître le lieu et le temps du retour miraculeux de Paul VI, et qui prétendent avoir enseigné ce temps et ce retour à des personnes hostiles au retour de Paul VI, fussent-elles à l’intérieur de la véritable Eglise catholique, sont des charlatans et des aveugles qui ne savent pas ce qu’ils font, car celui qui sait ne peut que se taire à ce sujet, vis-à-vis des méchants, et s’il écrit pour livrer des choses aux vrais serviteurs de Jésus-Christ, il prendra en revanche  un soin particulier à interdire aux méchants la lecture de ce qu’il enseigne et s’arrangera pour que ses écrits soit un véritable poison aux méchants, les attendant au tournant pour leur assigner le coup qu’ils méritent !

     

           Si Notre Dame de la Salette avait enseigné les choses aussi clairement que nous à Mélanie, comme par exemple, l’avènement du sosie de Paul VI au Vatican, personne dans l’Eglise n’aurait  d’ailleurs voulu l’écouter ou écouter Mélanie ; la preuve en est, qu’elle a parlé clairement à ce sujet au cours de phénomènes mystiques, en révélant l’existence du sosie de Paul VI au Vatican, mais les vrais catholiques dans leur ensemble n’ont pas voulu l’écouter. Dans le même sens, elle a contraint les démons à dire la vérité au sujet du sosie de Paul VI, lors d’exorcismes, mais sauf rares exceptions, on n’a pas voulu en tenir compte dans l’Eglise, et ceux qui l'ont écouté comme nous, l'ont écouté, parce qu'ils ont été aidés ou secourus par Elle. Cette obscurité du texte volontaire de la part de Notre Dame, sera levée, une fois la prophétie accomplie, et tout particulièrement à l’approche du retour miraculeux de Paul VI, où tout avec ce retour, deviendra plus clair, dans l’apocalypse de Notre Dame de la Salette, mais également dans les Prophéties des Saintes Ecritures concernant ces temps de ténèbres. L’année 2014 que nous attendions depuis des années et des années,  est enfin arrivée,  pour livrer du secret de la Salette, ce qui doit être livré en premier lieu.  

     

            Cela dit, reprenons, le raisonnement ci-dessus pour expliciter le fond de notre pensée :  

     

             « Lorsque que Notre Dame apporte cette précision: «  qui avaient vécu sur la terre », pour parler des âmes justes – « des âmes justes qui avaient vécu sur la Terre », elle pense toujours à Paul VI, car l’âme de Paul VI était une âme « qui avait vécu sur la terre », c'est-à-dire une âme qui s’était mal comportée, ne faisaient pas pénitence, faisait parti de ces chefs, dont saint Jacques nous dit, qu’ils se sont au contraire repus pour le jour de l’égorgement : « vous avez vécu sur la terre dans les délices et les festins ; vous avez été comme la victime qui se repaît le jour où on doit l’égorger », comme il convient de le rappeler à temps et à contre temps.

     

             Cette expression « avoir vécu sur la terre », dont je viens de livrer le sens réel,( Mélanie dans sa lettre du 7 octobre 1899, sans faire référence aux Saintes Ecritures, transpose cette expression par « n’avoir pas vécu chrétiennement » : on fera plus loin l’analyse historico-critique ou exégétique de cette lettre qui n’a jamais été entreprise sérieusement avant nousne peut donc pas s’appliquer à la vraie Lucie de Fatima, qui n’a rien à voir avec cette description,mais seulement au vrai Paul VI, parce que Notre Dame ici pense au vrai pape VI, dont un prêtre qui s’est fait passé pour mort a pris l’apparence ;  Notre Dame de la Salette loin de s’opposer à l’idée d’un sosie de Lucie de Fatima, nous fait comprendre, que puisque l’ennemi  est capable de prendre l’apparence de Paul VI au point de se faire passer pour Paul VI, a fortiori, l’ennemi est capable de prendre l’apparence de Lucie de Fatima, et d’installer à sa place un imposteur se faisant passer pour Lucie de Fatima, mais malheur à ceux, qui se nourrissant de ce que nous enseignons, voudront appliquer ces paroles de Notre Dame à des personnes comme Lucie de Fatima, en niant que ces paroles s’appliquent d’abord au vrai Paul VI ! L’expression «  avaient vécu sur la terre », est fondamentale pour comprendre  que  ce qui a permis à la supercherie de bien fonctionner, ce qui a permis au sosie de Paul VI de tromper aussi effrontément les hommes, les vrais catholiques, , c’est précisément le fait que Paul VI était très mauvais autrefois ( il avait négligé la prière et la pénitence, le démon avait obscurci son intelligence, il était devenu avec Roncalli une étoile errante que le vieux diable traîna avec sa queue , cf première partie du secret rédigé par Mélanie le 21/11/1878). Si Paul VI avait été dès le départ du bon côté, cette supercherie n’aurait pas fonctionné aussi bien. C’est précisément, parce que lui Paul VI avait été si mauvais dans le passé, que les vrais catholiques dans leur ensemble ne se sont pas rendus compte de la supercherie du sosie. Ils n’ont pas vu avec le sosie, un grand changement, et pour cause, Paul VI s’était montré terriblement  répréhensible aux yeux du Seigneur ! C’est la raison, pour laquelle, les sédévacantistes discernent mieux la supercherie du sosie de Lucie de Fatima, en se disant qu’elle n’a pas pu apostasier de la sorte, compte tenu de son bon comportement d’autrefois, en réfutant d’une manière argumentée l’idée qu’elle ait pu trébucher avec la multitude  dans l’apostasie, mais il convient d'observer que le premier ouvrage à dénoncer l'imposture du sosie de soeur Lucie d'une manière détaillée, en France, vient de personnes ( Laurent Morlier et moi même ... ) qui ont approfondi la question du sosie de Paul VI ( Laurent ignorant à l'époque, cependant tout ce qui se trouve dans cette étude). Cette expression «  ces soit disant morts prendront la figure des âmes justes qui avaient vécus sur la terre », montre que ce qui a été imité, par le sosie de Paul VI, c’est tout ce qu’il y avait de mauvais autrefois dans le comportement de Paul VI,  la différence entre le mauvais Paul VI, et le Paul VI qui par la Grâce de Dieu s’est ressaisi, a marché droit, devant être occultée, par le sosie de Paul VI. 

     

         Pourquoi l’Ennemi a été  remplacé une personne qui a offensé le Seigneur, par une autre personne qui offense le Seigneur de la même manière ? Notre Dame résout ce  paradoxe, en disant de Paul VI, qu’il  fait parti « des justes qui avaient vécu sur la terre »,  le verbe vivre est conjugué ici au « plus que parfait » c'est-à-dire à un temps verbal désignant une action passée plus ancienne qu’une autre action passée, c'est-à-dire que Paul VI faisaient parti des chefs « qui vivaient sur la terre », qui étaient attachés aux choses de la terre, les préférant à celles du ciel, mais que par la grâce de Dieu, s’est opéré un changement où Paul VI  a cessé de « vivre sur la terre", ( au sens apocalyptique de l’expression, pas au sens profane des mots ) pour correspondre enfin à la volonté du Seigneur («  gloire à Dieu ! » dirais-je en reprenant ce que les milieux dit sédévacantistes ont dit au sujet de ma conversion à la montagne de la Salette, par la très Sainte vierge Marie) , mais  pourquoi l’ennemi a mis en place un sosie de Paul VI ? 

     

     

           C’est très simple, Notre Dame de la Salette nous le dit immédiatement après «  afin de mieux séduire les hommes » ( voir la citation du départ tirée du secret ) . Par l’expression « les hommes » il ne faut pas entendre les non catholiques, ou les non catholiques avec les catholiques, mais uniquement les catholiques, qui par ce qui les rattache à N.S. Jésus-Christ (Ecce homo)  méritent d’être appelés les hommes, les non catholiques étant bien plutôt semblables à des chiens et à des porcs, à des bêtes, par leur refus de vouloir ressembler à N.S. Jésus-Christ, (est-ce que les chiens, les porcs, les bêtes peuvent être sauvés ? NON si ils ne se convertissent pas, si ils ne cessent pas d’être des chiens, des porcs, des bêtes) quant au verbe « séduire », il faut le rapporter notamment à des passages de la Bible, la séduction étant citée par Notre Seigneur, parmi les signes importants précédant son retour dans les temps de la fin : « prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : c’est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens », « plusieurs faux prophètes s’élèveront, et séduiront beaucoup de gens. (Mot à mot en partant du grec « et beaucoup ils égareront) ; «  car il s’élèvera de faux christs et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s’il était possible, même les élus. » « Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au-dedans sont des loups ravisseurs ». « Prenez garde que personne ne vous séduise » ; dans Actes, saint Paul, cette fois : « je sais qu’il s’introduira parmi vous (…) des loups cruels qui n’épargneront pas le troupeau, et qu’il s’élèvera du milieu de vous des hommes qui enseigneront des choses pernicieuses, pour entraîner les disciples parmi eux ». La séduction apparaît dès le début lorsque l’antique serpent séduit Eve par la ruse, la séduction ayant pour objectif d’éloigner les hommes de Dieu afin de les amener sous le pouvoir du malin, pour les CONDUIRE EN ENFER. Or le sosie de Paul VI à l’inverse du Bon pasteur, du vrai pape du vrai Christ, est un faux pape, un faux christ, au sens plein du terme, parce qu’il a pris l’apparence physique d’un vrai christ, un faux Christ, un loup ravisseur, pour éloigner les catholiques de Dieu, afin de les conduire  sous l’emprise du démon en enfer, d’où la nécessité, si le sosie de Paul VI a bien existé de dénoncer cette imposture, et pas seulement les autres impostures, contrairement à bien des sédévacantistes qui dénoncent toutes les impostures, sauf celle-ci. S'ils estiment que l’affaire du sosie de Paul VI est un canulard , il convient qu'ils sachent le dire, mais pas avec des raisonnements sans fondement, et si ils réalisent que cette affaire est sérieuse, qu'ils le disent également, mais avec une argumentation solide, témoignant d'une véritable enquête en amont. Ils ne peuvent pas rester silencieux sur une chose aussi grave. Et si ils sont  ignorants en cette affaire, qu'ils le reconnaissent humblement, sans masquer le vide totale de leur opinion à ce sujet, et qu'ils s'évertuent désormais, de par ce que nous rapportons de Notre Dame de la Salette, à mettre un terme à cette ignorance .

     

      

     

          Ainsi encore lorsque  Notre Dame poursuit : «  Ces soit disant morts ressuscités, qui ne seront autre chose que le démon sous ces figures, prêcheront un autre évangile, contraire à celui du Vrai Christ, niant l’existence du ciel, soit encore les âmes des damnés. Toutes les âmes paraitront comme unies à leurs corps », Elle parle par delà les apparences, du sosie de Paul VI, qui est un soit disant mort ressuscité, un prêtre qui s’est fait passé pour mort, pour pouvoir prendre la place de Paul VI, et qui a ressuscité par la chirurgie esthétique dans un corps semblable à celui de Paul VI, en ayant la vie de Paul VI , ce qui a dû être pour le sosie de Paul VI, qui n’était qu’un simple prêtre, particulièrement grisant, jouissif, du moins au départ, car par la suite, la situation pour lui s’est détériorée, s’est retournée contre lui ( d’où l’idée de « transport d’un lieu à l’autre », qui montre que cela se terminera mal pour le sosie de Paul VI, ce dernier mourant empoisonné, et son corps jeté dans une fosse dans le plus grand anonymat, comme on enterre un chien ou des déchets) . Ce sosie a les traits de Paul VI, son visage a les traits de celui de Paul VI, mais son regard, les yeux étant le reflet de l’âme, est celui d’un démon où le démon, qui le possède, lui aussi regarde.

     

     

     

     

     

       

     

     

     Ci joint, le regard véritable du sosie. 

          Le sosie de Paul VI, s’il a existé, ce que montre le secret de la Salette,  est le plus grand chef d’œuvre qu’il a été donné à Lucifer de pouvoir réaliser du moins jusqu’à présent, il n’est autre chose que le démon, derrière la figure de Paul VI. Il est son œuvreIl est l’œuvre du Diable ! Il n’a d’existence que par le mensonge. Le Diable pour des raisons qu’il ne convient pas encore d’expliquer, en avait besoin, pour perdre un maximum d’âmes.  Et Notre Dame qui voit le péché sur la terre, n’a pas vu dans ce comédien qui a pris le visage de Paul VI au cours d’une opération esthétique, un simple prêtre qui a perdu la foi, et qui a épousé la cause de la franc-maçonnerie, qui sert désormais, les loges et Lucifer, tout en se disant athée, ne pas croire en l’existence de l’Enfer ou du paradis d’ailleurs, qui veut se venger des brimades qu’il a reçu dans l’Eglise de la part de ses supérieurs, qui a renié N.S. Jésus-Christ et son Eglise, qui s’en veut d’avoir cru  à la religion catholique,  qui a prouvé sa bonne Foi après des loges en commettant des crimes; Notre Dame n’a pas vu en ce dernier, un simple agent destiné à prendre la place de Paul VI, et encore moins, un bienfaiteur de l’humanité, comme le voient toujours encore les lucifériens les plus avertis,Elle n’y a pas vu un artiste en son genre, un excellent imitateur ...

       ... particulièrement courageux, intrépide,  talentueux, comme l’était Merick Edouard Clifton James lors de « l’opération Copperhead »,

    mais elle a vu un démon humain sous les traits de Paul VI, elle a vu même dans son regard, celui du démon qui est entré en lui. Elle y a vu le démon lui même. C’est pour cela qu’elle dit du sosie qui par définition est un soit disant mort ressuscité qui a pris la figure de Paul VI,   qu’il « n’est autre que le démon » sous la figure de Paul VI. 

     


     

      

     

    Commentaire de la photographie : Ci-joint, le lieutenant Clifton James, le sosie du général Montgomery de la section M.I.5 des services secrets britannique, spécialisée dans le contre-espionnage,qui a doublé le général Montgomery (surnommé « Monty », comme Monti-ni) et dupé l’état major britannique à Gibraltar qui croyait avoir affaire à son général, et qui a surtout dupé le service d’espionnage allemand. Ce sosie était un acteur avant d’entrer dans cette section, et c’est de lui, dont nous parlions précédemment en disant : « un excellent imitateur, particulièrement courageux, intrépide,  talentueux », comme l’était Merick Edouard Clifton James lors de « l’opération Copperhead » , et si ce dernier a pu duper autant de monde, avec la complicité de sa section, pourquoi un sosie de pape ne pourrait-il pas en faire autant auprès des catholiques avec la complicité de prélats franc-maçons déjà infiltrés  jusqu’au cardinalat dans l’entourage du pape  …  tout n’est qu’une question de moyen et de motivation. Les supercheries par des sosies dans le monde politique, c’est une chose qui s’est beaucoup pratiquée depuis la seconde guerre mondiale, et pas seulement avec Staline qui avait son sosie, voire plusieurs à son service, mais cela avait existé au Moyen Age. On pourrait faire sur ce thème  un ouvrage qui n’a jamais été entrepris. Notre formation de psychologue sanctionnée par des diplômes d’Etat à Montpellier et à Nice , nous permis de découvrir en fin d’études, les expériences en psychologie sociale, qui ont été faite en particulier sur le conformisme, les découvertes qui ont été réalisées dans ce domaine dans les années d’après guerre, jusque dans les années 70,  permettent de comprendre pourquoi la supercherie du sosie de Paul VI avait toutes les chances de réussir,  ces expériences venant renverser bien des préjugés sur le comportement humain, nous apprenant beaucoup de choses sur la nature humaine.  

     

     

       

     

     

     

     

     

     

       

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ci-joint un extrait de l’ouvrage « l’imposture politique au Moyen Age », qui montre que l’imposture se révèle un moyen d’opposition presque banalisé au Moyen Age, avec de faux ermites ou de faux pèlerins, qui après une longue période d’absence, tentent de s’emparer de la couronne en se faisant passer pour un roi mort ou disparu. L’extrait que l’on a choisi porte sur des impostures par des sosies. Ces tromperies se trouvaient  facilitées à l’époque par l’importance de l’érémitisme, des croisades et des guerres éloignées, par des défaillances de l’identité et de la mémoire, mais reposaient essentiellement sur la volonté de partis intrigants, c’est du moins ce qu’explique Gilles Lecuppre, maître de conférences en histoire médiévale à l’université Paris X-Nanterre ;  si comme on va le prouver, l’Oraculum Cyrilli, apocalypse consacrée au mystère d’iniquité dans les derniers temps de la papauté rédigé au XIII ème siècle, pleine de références bibliques, qui était tenu par le clergé romain à la fin du Moyen Age, comme inspiré par Dieu, annonce bien que le pape souffrant, pape propre aux derniers temps de la papauté, qui sera appelé à suivre les pas de N.S. Jésus-Christ dans la passion, sera remplacé par un faux pape lui ressemblant physiquement, c'est-à-dire par un sosie, pour reprendre cette expression de fabrication récente, l’idée que la papauté aura à souffrir de ce genre de supercherie dans les derniers temps, a bien émergé dans un contexte historique qui lui était favorable. Mais bon, pas la peine de remonter si loin dans le temps… revenons au sosie de Montgomery,  pour rentrer dans les détails de cet exemple significatif reconnu par les historiens, comme authentique :  

     Ci-joint un extrait de l’ouvrage « l’imposture politique au Moyen Age », qui montre que l’imposture se révèle un moyen d’opposition presque banalisé au Moyen Age, avec de faux ermites ou de faux pèlerins, qui après une longue période d’absence, tentent de s’emparer de la couronne en se faisant passer pour un roi mort ou disparu. L’extrait que l’on a choisi porte sur des impostures par des sosies. Ces tromperies se trouvaient  facilitées à l’époque par l’importance de l’érémitisme, des croisades et des guerres éloignées, par des défaillances de l’identité et de la mémoire, mais reposaient essentiellement sur la volonté de partis intrigants, c’est du moins ce qu’explique Gilles Lecuppre, maître de conférences en histoire médiévale à l’université Paris X-Nanterre ;  si comme on va le prouver, l’Oraculum Cyrilli, apocalypse consacrée au mystère d’iniquité dans les derniers temps de la papauté rédigé au XIII ème siècle, pleine de références bibliques, qui était tenu par le clergé romain à la fin du Moyen Age, comme inspiré par Dieu, annonce bien que le pape souffrant, pape propre aux derniers temps de la papauté, qui sera appelé à suivre les pas de N.S. Jésus-Christ dans la passion, sera remplacé par un faux pape lui ressemblant physiquement, c'est-à-dire par un sosie, pour reprendre cette expression de fabrication récente, l’idée que la papauté aura à souffrir de ce genre de supercherie dans les derniers temps, a bien émergé dans un contexte historique qui lui était favorable. Mais bon, pas la peine de remonter si loin dans le temps… revenons au sosie de Montgomery,  pour rentrer dans les détails de cet exemple significatif reconnu par les historiens, comme authentique :    

     

       « Clifton James est né à Perth en Australie, il est le plus jeune fils d'un fonctionnaire public, John Charles Horsey James, et de sa femme Rebecca Catheine Clifton1. Après avoir servi dans la Première guerre mondiale, il commençait une carrière de comédien et au début de la seconde guerre mondiale, il s'engagea de nouveau dans l'Armée britannique où il joua devant les troupes pour les distraire. Au lieu d'être assigné dans le Entertainment National Service Association (ENSA) comme il l'avait espéré, Clifton James fut engagé dans la Royal Army Pay Corp en 1940 et finalement posté à Leicester. Environ sept semaines avant le Jour-J en 1944, le Lieutenant-Colonel J.V.B. Jervis Reid remarqua la ressemblance frappante de Clifton James en photo dans un journal avec le maréchal Montgomery. Le MI-5 décida d'employer James comme sosie de Montgomery pour tromper les services secrets allemands. James fut contacté par le Colonel David Niven, qui travaillait pour l'unité des films et lui demanda de venir à Londres sous prétexte de le faire tourner dans un film. Le but était en fait de mener une opération pour tromper les Allemands en leur faisant croire qu'une invasion alliée aurait lieu au sud de la France, afin de détourner les troupes allemandes du nord du pays peu avant le débarquement. Le nom de code de ce plan fut baptisé « Operation Copperhead » et Clifton James fut assigné à l'équipe de Montgomery afin d'apprendre sa façon de s'exprimer et ses manières. En dépit des problèmes qu'il avait avec l'alcool (Montgomery ne buvait pas du tout) et de la différence de personnalité, le projet continua. Il dut aussi cesser de fumer. Enfin Clifton James avait perdu le majeur de sa main droite pendant la Première Guerre et dut porter une prothèse.Le 25 mai 1944 Clifton James s'envola de la RAF Northolt vers Gibraltar dans l'avion privé de Winston Churchill. Lors d'une réception dans la maison du gouverneur, il fit plusieurs fois allusion au « Plan 303, » un plan qui prévoyait d'envahir le sud de la France. Les services secrets allemands captèrent cette information et mobilisèrent leurs agents pour se renseigner sur ce plan 303.Clinfton James se rendit ensuite à Alger où pendant quelques jours il fit quelques apparitions en public avec le Général Henry Maitland Wilson, le commandant allié des opérations méditerranéennes. James fut ensuite envoyé en secret en direction du Caire où il demeura jusqu'à ce que le Débarquement en Normandie eu lieu. Il retourna alors à son travail après cinq semaines d'absence. En 1954 Clifton James publia ses exploits dans un livre intitulé « I was Monty's Double ». L'ouvrage devint la base d'un script pour un film du même nom tourné en 1958, joué par John Mills et Cecil Parker avec Clifton James dans son propre rôle et celui de Montgomery. Il meurt le 8 mai 1963 à Worthing à 65 ans. »

     

         Voici un cours extrait de l’ouvrage que nous avons  personnellement étudié : «  Clifton James pris place, à l’aérodrome militaire de Northolt, dans l’avion réservé au premier ministre, en présence de plusieurs officiers  généraux qui ignoraient tout de cette affaire : il avait si bien appris à se mettre dans la peau de «  Monty » que nul d’entre eux ne se douta de la supercherie.(Surnom de Montgomery !). »,  où le Colonel Rémy  développe tout le travail accompli par Clifton James et la section M.1.15, pour  duper tout le monde,  y compris  le camp allié, dans son ouvrage remarquable, La résistance et le renseignement, le chapitre "telle une partie de poker", Ed. Christophe Colomb. 1984, ou l’auteur développe ce chapitre de l’histoire du contre espionnage. On notera au passage cette coïncidence croustillante du surnom de Montgomery, dit «  Monty », avec «  Montini », qui a pris le nom pontifical de Paul VI. C’est la raison pour laquelle, on a choisi  parmi  d’autres exemples, de mettre en avant, ces faits authentiques, que personne ne réfutera, parmi d’autres supercheries de sosie  qui ont fonctionné dans l’histoire de l’espionnage ou du contre espionnage, qui ont donné lieu à toutes sortes d’études, que ne soupçonne pas l’ignorant. Au Moyen Age, on relève au moins trois cas bien connus des médiévistes  de supercheries par des sosies dans le domaine politique. Le XX ème siècle sera l’époque développant par des moyens scientifiques cet art de tromper par des sosies. Avant de dire, que ce genre de supercherie n’a pas pu fonctionner avec Paul VI, il conviendrait pour les ignorants  de prendre connaissance de ces faits,  en interrogeant des historiens, et pour comprendre le succès de ces supercheries, les moyens mis en place à notre époque, de fairedes études comme nous à l’université en psychologie sociale. Cela les conduirait à se débarrasser des préjugés qui entravent chez eux, la recherche de la vérité. Alors que le père Barbara nous faisait part amicalement  par écrit  de toutes ses  pseudo-objections à l’égard du sosie de Paul VI, on a mis en place une analyse savante, érudite, réfutant chacun de ses préjugés ou pseudo-objections, particulièrement bien documentée, que l’on présenta à son ami le R.P. Gaillard, à la fin du siècle dernier, qui lui en revanche après en avoir pris connaissance,  estima  l’idée de sosie de Paul VI, de plus en plus crédible, au point d’approuver notre position et de croire au retour miraculeux de Paul VI, en nous invitant tout les samedi à sa table pour déjeuner, mais cette étude resta confidentielle, ne fût jamais envoyée au Père Barbara, car le temps de parler publiquement n’était pas venu pour nous, qui avons réservé le meilleur de nos recherches pour la fin de l’année 2013 et l'année 2014. 

     

     

     

      Et maintenant, après le sosie de « Monty »  formé et mis en place par les services d’intelligence britannique, passons au plus beau chef d’œuvre de Lucifer mis en place par les loges maçonniques, le tout avec des images en action, avec des références que seuls les initiés  pourront saisir, les photographies n’ayant pas été choisies au hasard, en disant des choses aussi intéressantes que le texte, relatif à notre sujet, pour celui qui sait traiter toutes les données qu’il reçoit : 

     

     

     

     

     -> « Mes bien chers frères,  j’espère que vous ne m’avez pas raté, quand pourrais-je voir le visage de Paul VI en me rasant devant la glace ? J’ai hâte de voir la gueule de ce petit curé stupide lorsqu’il me verra face à face ! 

     

     

     

     

     

     

     

     –  « Patience, votre sainteté, cet abruti croit encore que Villot et les autres sont  là pour le soutenir, et s’imagine avec ses croyances ridicules qu’il peut encore nous arrêter. Il nous reste à vous dégarnir le front, à vous enlaidir davantage, et tout sera parfait, vous serez  un vrai pape !  Vos supérieurs n’ont pas voulu par excès de prudence que nous réalisions l’opération d’un seul coup,  mais bientôt en effet, vous pourrez   voir Montini  de plus près, mieux que personne,  en vous regardant dans la glace et comme si vous lui faisiez  « du  bouche à bouche » !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     ->« Moi sauver la vie de cet abruti ? Vous m’avez bien regardé ? Depuis le temps que nous autres attendons la fin de la tyrannie papale  … Ah, dites moi, j’ai hâte de voir le film de l’opération, pour les générations futures, ainsi que celui que vous faites en ce moment, et celui où je retirerais mes pansements, mais ce dont j’ai besoin pour le moment doc, car ces émotions m’ont donné soif, comme le Nazaréen sur la croix,  c’est un vin de messe à la paille et un petit buffet avec deux ou trois infirmières du parti, comme la dernière fois,  pour rattraper le temps perdu ! Je me sens d’excellent appétit !

     

     

      

     

     

     

     

     

     

     

    -> « -  Ne plaisantez pas trop, très saint père, car mettez vous dans la tête, que  bientôt  le monde « catholique » tout entier se prosternera devant vous  et que vous n’avez plus droit à ce genre de vanne, vous êtes déjà  le pape et  vous pourrez en  boire du vin, au calice,  à l’autel  devant tous ces abrutis de catholiques, et à notre santé , mais en restant toujours sérieux comme un pape ! On se réjouit de votre moral, car on s’attendait tout au contraire à que vous nous parliez de vos véritables sensations, de votre gueule de bois, de vos douleurs passagères. Pas question de manger et de boire de l’alcool  pour le moment et  ne riez surtout pas, cela pourrait affecter  la réussite de notre opération, la cicatrisation se passant  comme prévue. Ce qu’il vous faut, c’est pour le moment du repos, avant la prochaine étape … Voyiez cher confrère ce qu’il vous reste à faire pour lui enlever sa chevelure. Il faut que cela ressemble parfaitement à une véritable calvitie, comme chez Montini ! Vous avez du boulot sur la planche, regardez tous ses cheveux en parfaite santé à lui enlever ! - Oui, oui, je vois mieux  en effet, le travail à terminer »  avant le résultat final :   

     

     

     

     

     

     Habemus papam ! 

    POUR BIENTOT HA ! HA ! HA !     

     

     

     

     

     

     - « Alors vous avez compris où je suis sans mes pansements ? Je suis celui de la photo de gauche ! Celui de droite, c'est le petit curé stupide.  Eh ! Oui ! On ne dirait pas ! Moi même quand j'ai vu ma tronche à la glace avec cette tête de ...,  je me suis senti bizarre. Ils m'ont laissé me saouler avec deux ou trois p… une dernière fois, avec Mgr … et  le cardinal, son excellence ...euh, merde, je sais plus j'étais complètement pété ce jour là. »


      

     

      Pensée intérieure : « - Ha! Ha ! Ha! Avançons, baissons les yeux, derrière mes lunettes, n'ayons l'air de rien. Cette femme qui vient de passer, quel parfum !  Vraiment ces catholiques, tous des ânes ! Mais regardez moi ce c... sur ma droite en train de s'agenouiller devant moi, persuadé qu'il a vu le Saint Père. C'est ça mon c..., agenouilles toi une deuxième fois, avec le signe de croix, j'adore ça. P... que c'est grisant d'être pape ! Pas d’imprudence, on me photographie, on m’admire, je bénie de la main, merde, cela se fait avec l’autre main. Ne me faîtes pas rire mon ami, j'avance vers l'autel. Concentrons nous, gardons notre sérieux, euh, je dois penser pour cela à une chose très désagréable. Euh ! La fois où j'ai dû liquider ce prêtre, pour prouver à ma loge que j'ai bien changer de camp et que je ne veux plus revenir en arrière... P...  tout ce sang sur sa soutane ... Et si mes frères maçons me réservaient un sort semblable ? Jamais de la vie ... je n'ai fait vraiment aucune erreur jusqu'à présent. Ils ont toujours été réglo avec moi. L'argent a bien été versé  à ceux que j'ai demandé  après ma « mort » ... de la concentration, de la concentration, (...) oui, oui, je sais, vous me trouvez impressionnant !  Mais barrez vous, maintenant, je suis en prière, p... ! »  

     

     

    lire attentivement la fin du texte dans le courrier du Tychique. 

    … les yeux bleus, c’est quand les lentilles noisettes ont été enlevées ?… Silence … la chose à l’intérieur qui après avoir retiré ses lunettes, s’est arrêté de bouger …

     

     

     

     Et lorsque Notre Dame dit  de ces soit disant morts, qu’ils « prêcheront un autre Evangile, contraire à celui du vrai Christ, niant l’existence du ciel, soit encore les âmes des damnés », elle pense encore par delà les apparences, au sosie de Paul VI, qui comme le disent les révélations en cours d’exorcismes, est un prêtre qui a sombré dans l’athéisme, qui ne croit plus en l’existence d’une vie après la mort, qui nie l’existence de l’Enfer, aussi bien qu’il nie l’existence du Paradis, folle doctrine,doctrine insensée, que Lucifer a insufflé à son esprit,  mais qui lui a permis de ne pas vivre dans la crainte de Dieu, et de tromper sans scrupule, tout en ayant bonne conscience, spirituellement la multitude des hommes, le monde « catholique » dans son ensemble. Par cette indication, Notre Dame nous indique à quelle grande obédience de la franc-maçonnerie le sosie de Paul VI appartient, cette obédience qui accepte en son sein les athées, mais il va de soi, que cette fausse doctrine qu’est l’athéisme que prêche le sosie de Paul VI, le sosie de Paul VI, ne la prêche pas à ceux qui s’imaginent qu’il est pape, car la supercherie serait automatiquement démasquée, ce qui n’aurait pas de sens, cette fausse doctrine, cette autre Evangile, qu’il prêche en coulisse, après avoir fait semblant de prêcher l’Evangile de N.S. Jésus-Christ,  le sosie de Paul VI  ne la prêche qu’au sein des membres de la franc-maçonnerie qui ont participé au complot contre la papauté , parmi … oui …parmi « les faiseurs de miracles », que sont les prélats franc-maçons qui l’ont mis en place au VaticanLa réussite de son entreprise de se faire passer pour Paul VI, a d’ailleurs conforté  le sosie de Paul VI, dans sa pensée que les catholiques sont tous des ânes superstitieux, que leur religion est misérable et méprisable, puisqu’il ne s’est trouvé personne pour le démasquer, que tous le suivent comme des moutons de Panurge, et cela l’a conforté dans son athéisme : « Non, vraiment  Dieu n’existe pas. »  Et cela vaut aussi pour ceux  qui ont résisté à l’apostasie de Rome, sans voir qu’il y avait un sosie de pape au Vatican ! « Des ânes superstitieux, émanant des ruines d’un Moyen Age obscurantiste, bon pour l’abattoir, de la vermine à exterminer ! » Voilà, ce qu’il enseignait à ces autres frères maçons qui  tous ne sont pas athées, beaucoup estimant au contraire qu’il y a une vie après la mort, et certains mêmes sont des adorateurs de Lucifer, priant Lucifer comme on prie le Seigneur, le sosie de Paul VI se démarquant de ses frères là, qu’il n’aimait d’ailleurs pas, n’avait pas sa préférence.

     

     

     

     

        Ci-joint le numéro 451 de la revue Chiesa Vivajuillet-août 2012 de l’abbé Luigii Villa qui cite un extrait du livre de Malachi Martin «  Windswept house –a Vatican Novel. » décrivant « la double messe noire qui se déroula en même temps à Rome et à Charleston (USA), le 29 juin 1963, pour introniser Lucifer au Vatican. »  Les illustrations avec leurs commentaires ci-dessous, sur des prélats lucifériens viennent de cette revue ;  le sosie de Paul VI était en revanche devenu complètement athée, après avoir perdu la Foi catholique, et ne voulait rien à voir avec ce genre de choses … si tant est que ces informations ci-dessous  soient exactes, car le père Malachi Martin ne constitue pas de notre point de vue, une référence solide, mais ce type d’informations est corroboré par plusieurs autres prêtres qui sont forts documentés en la matière de camps différents, autant d’éléments permettant de saisir que Lucifer avec un grand nombre de démons ont bien été détachés de l’Enfer, comme l’enseigne Notre Dame de la Salette, la première des choses pour Lucifer et les siens étant de se rendre maitres des lieux au Vatican, mais en rampant discrètement et progressivement comme un serpent pour ne pas se faire remarquer de la multitude. Peu lui importe ce genre de dénonciation, car elles ne touchent qu’un nombre insignifiant de personnes dans cette période de ténèbres qui lui a été accordée.   

     

      Mgr John Joyce Russel (1897-1993), Évêque de Charleston (1950-1958) et puis de Richmond (1958-1973) fut accusé en même temps que le card. Bernardin par une femme sous le pseudonyme d’“Agnès”, de perversion sexuelle à son égard au cours d’un rite satanique à Greenville en 1957. En outre, la même femme les accusa de l’avoir violée à l’âge de 11 ans au cours d’unecérémonie occulte à laquelle elle fut contrainte de participer parce que son père, membre de la secte qui organisa l’évènement, l’avait offerte au groupe comme “Victime”. ( dixit la revue Chiesa Viva, mentionnée ci dessus. ) 

     

     

     

     

      Le card. Joseph Bernardin (1928-1996), après son ordination fut pendant des années, secrétaire personnel de Mgr John Joyce Russel, Évêque de Charleston. Bernardin, nommé par Paul VI Archevêque de Cincinnati, devint ensuite Secrétaire et Président de la Conférence Épiscopale Américaine et Archevêque de Chicago. Bernardin était homosexuel et fut accusé de violence charnelle par un certain Steven Cook lequel, sans retirer ses accusations, conclut la cause par un accord qui prévoyait le versement de millions de dollars. Bernardin fut en outre accusé par une femme sous le pseudonyme d’“Agnès”, de perversion sexuelle à son égard lorsqu’elle était une enfant, en 1957 à Greenville et d’avoir été violée par lui et par Mgr John Joyce Russel à l’âge de 11 ans au cours d’une cérémonie occulte à laquelle elle fut contrainte de participer parce que son père, membre de la secte qui organisa l’évènement, l’avait offerte au groupe comme “Victime”.( Ibid.) 

     

     

      Le card. Jean-Marie Villot, Secrétaire d’État de … Jean Paul I et de JeanPaul II ( il s'agit d'une citation de Chiesa, car il ne convient pas d'appeler ces derniers par leur nom de pontife, puisqu'ils ne sont pas papes, mais de les appeler respectivement Luciani et Wojtyla ) viva jusqu’à sa mort en 1979.Le card. Villot, franc-maçon de la “Liste Pecorelli” avec les données 6/8/166, 041/3, JEANNI, était fils de parents qui appartenaient à la Loge Rose-Croix et était Rose-Croix lui-même. Dans le récent livre de G. Galeazzi et F. Pinotti, “Wojtyla segreto”, le card.Villot et Mgr Marcinkus sont indiqués comme les exécuteurs matériels de l’assassinat de Jean Paul I. Malachi Martin, dans son livre “Windswept house”, indique Jean-Marie Villot comme un des participants à la Messe noire officiée dans la Chapelle Paulinienne au Vatican, le 29 juin 1963. ( Ibid.) 

     

     

     

     Le card. Agostino Casaroli, franc-maçon de la “Liste Pecorelli” avec lesdonnées: 28/9/1957, 41/076, CASA, fut Ministre des Affaires Etrangères de Paul VI et principal tenant et exécuteur de sa Ostpolitik qui coûta la vie à des millions de catholiques qui furent livrés au Communisme. A partir de 1979, le card. Casaroli fut Secrétaire d’État de Jean Paul II(…) Malachi Martin dans son livre “Windswept house”, indique le card. Agostino Casaroli comme un des participants à la Messe noire officiée dans la Chapelle Paulinienne au Vatican, le 29 juin 1963. ( Ibid.) 

     

     

      La Chapelle Paulinienne au Vatican, 1978.Conclave de Jean Paul II. L’autel est dépouillé, il manque le Crucifix et l’image de la sainte Vierge a disparu. (Ibid.) 

     

      

     

     

     

     

     

     

    La Chapelle Paulinienne au Vatican, 2009.L’autel est détaché du mur. Ont réapparu les cierges, le Crucifix et l’image de la Vierge. ( Ibid. et fin des éléments puisés dans cette revue. ) 

     

     

     

            Et Notre Dame insiste, que cela en est pour nous extrêmement douloureux, car cela signifie qu’on ne voudra pas la croire : «  Toutes ces âmes paraîtront comme unies à leurs corps », c'est-à-dire que le sosie de Paul VI dont l’âme n’a rien à voir avec celle de Paul VI, paraîtra uni au nouveau corps que la chirurgie esthétique lui a donné, qui n’est autre qu’un corps semblable à celui de Paul VI. Ce sosie loin de rejeter ce nouveau corps qu’on lui a fait, qui n’est pas le corps naturel qu’il a reçu à la naissance de ses parents, sera en symbiose totale avec lui, comme s’il était mieux dans sa peau en prenant l’apparence de Paul VI ! Et Notre Dame qui sait que les catholiques fidèles auront du mal à croire qu’il y a eu un sosie de Paul VI sur le siège de Pierre, donne une explication pertinente, d’une grande profondeur, allant directement à l’essentiel,  permettant de comprendre pourquoi cette supercherie a pleinement réussie, balayant toutes les objections dans l’Eglise qui par définition , ne résistent pas à l’analyse : «  c’est parce que la vraie foi s’est éteinte et que la fausse lumière éclaire le monde ».  On ne peut pas mieux résumer que Notre Dame de la Salette, la supercherie du sosie de Paul VI et mieux expliquer sa réussite spectaculaire.

     

       

                 Toute cette description du sosie de Paul VI, qui relève du sens réel de l’Apocalypse de Notre Dame de la Salette, se démontre par le sens littéral du texte. Il faut fixer  préalablement ce sens littéral, avant d’en arriver à rechercher le sens réel, mais dans mon cas particulier, ce qu’il m’a été donné de comprendre du secret de la Salette, sur la montagne de la Salette, m’a permis de voir ces choses d’un seul tenant,  sans passer par des étapes intermédiaires de la réflexion exégétique et théologique, ces choses de Dieu, en raison de ce que Notre Dame imprima dans mon âme, devenant pour moi, d’une évidence claire, comme si je n’avais plus qu’à recopier, ce que Notre Dame  m’a livré, mais je comprends qu’il faille aller toujours plus loin, dans l’explicitation des données apportées par Notre Dame de la Salette, pour ceux qui n’ont pas reçu cet éclairage de Notre Dame de la Salette. Pour permettre aux justes de comprendre que je dis bien la vérité, il importe d’expliquer que derrière tous ces « prodiges extraordinaires » concernant l’ascension progressive du futur sosie de Paul VI à la fonction pontificale, le plus grand étant le dernier de la liste «  on fera ressusciter des morts et des justes », qui vient après cet autre prodige «  des personnes seront transportées d’un lieu à l’autre », se trouvent « les faiseurs de miracles » dont nous parle Notre Dame de la Salette.  C’est à eux, que revient la responsabilité de la mise en place du sosie de Paul VI.  C’est à eux que pense Notre Dame, lorsqu’elle dit « on » dans la phrase, « on fera ressusciter des morts », « on »,  est une manière voilée de nous parler « des faiseurs de miracles »« on » ce sont par conséquent « des magiciens » au sens biblique du mot, d’ailleurs,  je ne suis pas seul à le dire, puisque  Mélanie dans le commentaire qu’elle fait de ce passage, dans une lettre rapportant son opinion personnelle, mais pas le point de vue de Notre Dame de la Salette, le dit aussi, à sa manière c'est-à-dire sans notre clarté saisissante, en voyantderrière ce « on », « des personnes malvages » ( malvages est le féminin pluriel de malvagio en italien, qui a la même racine que le vieux français « malvais », du latin vulgaire « malifatiu » qui veut dire « malheureux », qui se compose de « malus » qui a pour sens « mauvais » et de « fatum », qui a pour sens « destin », et qui signifie tout à la fois « méchants, calomniateurs, malveillants, mauvais ») se donnant « au démon de  la magie. ».  Maintenant il est certain que Mélanie fait la corrélation entre ceux qui se donnent au démon de la magie, et les franc-maçons, même si elle ne le dit pas dans son commentaire, ce qui permet de comprendre qu’elle lisait des revues associant les franc-maçons à des magiciens,  et faisait le lien entre ce que ces revues prétendant rapporter des séances de magie  dans les loges,  et le secret qu’elle a reçu de Notre Dame.

     

     

    Marie de la croix, plus connue sous le nom de « Mélanie Calvat », son nom de naissance, 1831-1904.

     

              Le lien liant les franc-maçons aux magiciens, est si naturelle, que l’abbé Barbier y fait référence dans son célèbre ouvrage : « le but religieux de la secte ( il parle de la franc-maçonnerie dans le texte)est la destruction du Christianisme et de toute religion autre que la magie »,liant ainsi spontanément la secte avec ce qui est de l’ordre de « la magie », sans faire le lien avec le secret de la Salette et « les faiseurs de Miracles » ( Les infiltrations dans l’Eglise, société st Augustin Desclée de Brower. 1910, p.125). Mélanie contrairement à nous,  ne voit pas clair  dans tous ces passages corrélatifs aux prodiges accomplis par les faiseurs de miracles. Elle s’arrête en chemin dans la réflexion, et influencée par les canulars de « Léo Taxil » sur les prétendues scènes de magie qui se passeraient dans les loges,  sous la pression de son entourage qui la pousse à y croire, elle s’égare même dans la signification profonde des prodiges décrits par Notre Dame de la Salette,  et leur réalisation dans le temps, qu’elle anticipe trop tôt.

     

              Avant d’aller toujours plus loin dans la réflexion, faisons un petit topo pour expliciter nos propos sur l’influence qu’a exercé le sulfureux  « Léo Taxil » dans les commentaires de Mélanie du secret de la Salette, que tout le monde ignore dans les milieux dit traditionnalistes, avant notre intervention,  car cela mérite vraiment le coup d’œil : 

     

     

     

      Commentaire : Voici le genre de journal que Marie de la croix (Mélanie Calvat)  lisait à l’époque de temps en temps ou que son entourage lui rapportait et qu’elle devait survoler rapidement selon nous. On a choisi celui-ci et cette page tout particulièrement, parce que ce journal  était infiltré par des ennemis de l’Eglise, qui prétendaient s’être convertis à la foi catholique, mais qui en réalité étaient restés de « libres penseurs », anticléricaux, hostiles à notre Religion dans le sillage tracé par Voltaire, et qui faisaient avaler aux catholiques les plus naïfs, toutes sortes de choses ridicules sur la franc-maçonnerie, dans un but d’abord lucratif pour se faire de l’argent sur le dos du monde catholique, en exploitant au maximum la crédulité ou la naïveté du plus grand nombre, mais également dans un but subversif, consistant à ridiculiser la propagande catholique de l’époque la plus virulente à l’égard de la franc-maçonnerie. C’est le cas du « docteur Bataille » dont le nom apparaît bien dans la photographie du texte,  qui est un pseudonyme collectif regroupant Gabriel Antoine Jogan Pagès, qui a pris également comme nom de plume «  Léo Taxil », un libre penseur qui s’est fait exclure de la franc-maçonnerie tout en en partageant les idéaux, et Charles Hacks, un autre « libre penseur », ami de Pagès, qui était effectivement médecin à bord des bateaux de la compagnie des messageries maritimes, qui comme «  Taxil » a fait croire qu’il était un catholique, qui a collaboré à la demande de Jogan Pagès ( « Taxil » )  à la rédaction de l’ouvrage le Diable au XIX ème siècle, où celui qui raconte l’histoire fait croire qu’il est un medecin catholique ayant infiltré la franc-maçonnerie au péril de sa vie, ouvrage qui n’est dans l’ensemble qu’un vaste canular faisant croire à toutes sortes de bêtises, en particulier que la franc-maçonnerie adore Lucifer ( certes la franc-maçonnerie est bien sous le patronage de Lucifer et des démons , car qui n’est pas pour la véritable Eglise Catholique est du diable ) sous la forme de Baphomet ( ce qui bien évidemment est complètement faux, car cette forme est repoussante) : 

     

      Invocation de Baphomet par les franc-maçons selon le «  docteur Bataille » dans le Diable au XIX ème siècle.

     

           Pagès qui a été franc-maçon, mélange ici la vérité , des éléments tirés de rituels maçonniques, des informations authentiques en provenance des loges, avec des déformations grossières inventées de toutes pièces par son imagination, afin de pouvoir humilier une fois le rideau tombé,  le monde « catholique » qui a cru sans réserve au récit fantastique raconté dans le dit ouvrage, et freiner ainsi la résistance catholique dans ses investigations à l’encontre des loges maçonniques, lui faire perdre tout crédit aux yeux du grand public. La plupart des loges requiert certes la croyance en un « Etre suprême » ou de « Grand Architecte de l’Univers », mais pas sous cette forme hideuse et primitive, qui ferait fuir bien des franc-maçons, voir même tous les franc-maçons car ces derniers lorsqu’ils se disent croyants, interprétent à leur manière ce qu’ils entendent par ces expressions, certains  adoptant  des visions dites « traditionnelles » de «  Dieu » ou de la Nature,  dans le sens de Baruch, Spinoza et Goethe, par exemple, chacun au fond ayant une conception de Dieu qui va de paire avec les hérésies qu’il a adoptées au cours de ses recherches en philosophie, jusqu’à  adopter des visions athées de réalité ultime ou d’unité cosmique, comme on peut en trouver dans certaines religions orientales et j’en passe.  D’autres loges,  principalement nord-américaines, récusent les acceptions dérivées des religions naturalistes et humanistes. Depuis le début du xixème siècle, certaines obédiences ont des exigences religieuses supplémentaires, comme le théisme  ou la croyance en l'immortalité de l'âme. La franc-maçonnerie qui prédomine en Scandinavie, ne dit vouloir accepter que ceux qui se réclament de N.S. Jésus-Christ ;  il est vrai que ce monde là est dominé par Lucifer et les démons, mais si ces derniers apparaissaient aux franc-maçons sous cet aspect biestal ou dans cette représentation  à la réflexion traditionnelle du Diable, ou dans leurs aspects véritables, les franc-maçons s’ils ne décèdent pas de frayeur, s’enfuiraient épouvantés, et se convertiraient ;  or tout est fait, au contraire pour que la recherche chez les franc-maçons dans ce domaine ait un aspect universitaire, ou la philosophie et la science prédomine, c’est tellement plus attractif, plus séduisant, du point de vue de Lucifer et les démons, désireux d’entraîner avec eux  tout ce monde là en enfer, que cette représentation plus ou moins effrayante de  Baphomet.     

     

             Or on constate ici dans la dite brochure, que les catholiques se font bien des illusions au sujet des véritables desseins du prétendu «  docteur Bataille », ne tarissant pas d’éloge à son sujet : «   Monsieur le docteur Bataille trouve chaque jour de nouveaux appuis ; on comprend de plus en plus combien sa campagne est utile à la cause de l’Eglise ». Mais quel rapport cela a-t-il avec Mélanie Calvat et notre sujet relatif au sosie de Paul VI dans le secret de la Salette ? C’est ce que nous allons voir tout de suite : 

     

      

    Ci-joint, le genre de revue attractive qui circulait dans l’Eglise du temps de Mélanie, et que ses proches ont dû lui montrer pour avoir son avis.

     

        

     

       

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Commentaire du récit illustré de la prétendue résurrection de Philéas Walder ( ci joint l'illustration de cette pseudo-resurrection avec ce texte de Léo Taxil " Prestige de la prétendue résurrection ; le cadavre de Philéas Walder présidant au Banquet palladique , à Charleston, p.874 " dans le Diable au XIX ème siècle :  Pour des raisons que nous allons voir un peu plus loin, tout porte à penser que Marie de la croix née Mélanie Calvat, est tombée sur ce passage rédigé dans ce cas précis intégralement par Gabriel Antoine Jogan Pagès qui a pris pour pseudonyme « Léo Taxil ». Et si c’est bien le cas,  Mélanie  n’a pas manqué de faire le lien entre ces passages là sur la pseudo-résurrection du vieux Walder, qui est une histoire rocambolesque sortie tout droit de l’imagination de Taxil qui n’a bien sûr  jamais eu lieu dans la franc-maçonnerie, et cette prophétie de Notre Dame de la Salette «  on fera ressusciter des morts et des justes »  qui comme on a commencé à l’expliquer concerne absolument malgré les apparences, le sosie de Paul VI, affaire qui en revanche contrairement à ce passage sur la pseudo-résurrection du vieux Walder , n’a rien de rocambolesque ou d’invraisemblable,  la supercherie  par des sosies dans le domaine de la subversion politique et religieuse, s’étant élevée au XX ème siècle à un véritable savoir faire, depuis la seconde guerre mondiale, étant devenue une réalité,  prophétisée comme une réalité effective à l’intérieur même du Temple de Dieu par Notre Dame de la Salette. Lorsque « Taxil » ou plutôt Gabriel Antoine Pagès – le vrai nom du faussaire, véritable roi du canular au XIX ème siècle -  a forgé de toute pièce cette prétendue rumeur qui n’a jamais existé avant son intervention, sur la pseudo-résurrection d’un franc-maçon (« d’après le récit qui m’a été fait », trouve-t-on dans le texte,  on remarquera au passage que celui qui raconte n’apporte aucune référence précise de témoignages, et pour cause, cela le dispense d’en inventer !), il la forge, je pense, à partir du secret de Notre Dame de la Salette, que Mélanie avait publié quelques années bien avant la rédaction de son œuvre «  le Diable au XX ème siècle ». Trouvant cette prophétie «  on fera ressusciter des morts et des justes » comme abracadabrante, de l’ordre de la superstition ridicule, ou comme un vieux fantasme des milieux catholiques hostiles à la franc-maçonnerie, « Taxil » ici apporte de l’eau au moulin mis en marche par Mélanie, mais c’est pour mieux tuer par le rire ces milieux là avec leur secret de la Salette, que Taxil, en nouveau Voltaire des temps modernes, estime ridicule, contrairement à nous, qui n’avons pas fini d’en mesurer toute la profondeur.

     

     

     

     

           En fait, ce que Taxil ou  plus précisément Pagès ici est en train de réaliser, c’est une interprétation grossière (P. 874 photographiée ci-dessus ) , qui ne va pas comme nous dans la subtilité et la finesse, de la Prophétie de Notre Dame de la Salette : «  on fera ressusciter des morts », c'est-à-dire que Taxil est suffisamment intelligent pour comprendre que ce prodige extraordinaire dans le secret de la Salette est réalisé par des franc-maçons, mais pas suffisamment intelligent toutefois, pour être en mesure d’y discerner un sosie de Pape au Vatican mis en place par la franc-maçonnerie, le sens réel de cette apocalypse étant interdit par le Seigneur aux  impies ou ennemis de l’Eglise, en l’occurrence ici à Pagès ou Taxil qui doit moins rigoler maintenant s’il se trouve en enfer avec les démons, dont il ne voulait pas croire l’existence !

     

          Taxil raconte ce récit ridicule d’un prétendu franc-maçon ressuscitant lors d’un banquet maçonnique, qui faut-il encore le répéter pour les ânes, ne s’est jamais produit, dans le but de séduire les partisans du secret de la Salette, dont il sait pertinamment qu’ils sont farouchement hostiles à la franc-maçonnerie, et pour se faire, il se garde bien de dire, que ce qu’il l’a poussé à l’écrire, c’est ce qu’il a cru comprendre du secret de la Salette, toute la ruse consistant à faire croire, qu’il n’a jamais pensé ici au secret de la Salette, en rédigeant ce type de récit, pour que les catholiques partisans du secret de la Salette puissent s’en émerveiller, tant il est vrai, qu’il y a derrière cette manipulation de Taxil , ce dur labeur avec toutes ses belles illustrations, digne d’un roman de Jules Verne, beaucoup d’argent en jeux :  il s’agit pour Taxil de prendre l’argent de ces derniers et sur leur dos par-dessus le marché, leur vendre ce type de récit, sous forme de petit livrets mensuels ( comme les feuilletons télévisés à succès), pour faire un maximum de bénéfices, se remplir les poches de pognon, de leur pognon, pour enfin se moquer d’eux par la suite et publiquement, afin que le monde sache, quel genre d’esprits imbéciles, ils sont ! C’est du moins, ce que pense en coulisse, l’auteur de ce récit, qui feint ici dans les textes que nous avons photographiés, d’avoir la foi catholique, mais qui est mû ici par un ardent désir de faire du mal à l’Eglise.

     

     

     

            Et Mélanie face à ce genre de manipulation, comment a-telle réagie ? Elle a été plus ou moins dupée elle aussi, par ce canular de Taxil, comme la plupart des partisans du secret de la Salette, et c’est je pense cette mauvaise lecture mise en place à des fins subversives,  lecture que nous venons de mettre en évidence avec ce récit de pseudo-résurrection d’un ennemi de l’Eglise, récit  inventé de toute pièce par Jogan Pagès, le roi du canular, qui a influencé Mélanie dans sa compréhension de la Prophétie de Notre Dame de la Salette «  on fera ressusciter des morts », car il lui semble à tort, que cette piste proposée par le «  docteur Bataille » dont on vient de voir la véritable identité, est crédible, du moins son entourage la persuade-t-elle, que Notre Dame de la Salette avait raison, puisque le docteur «  Bataille » vient rapporter ce genre de phénomène des loges maçonniques qu’il a (soit disant ) « infiltré au péril de sa vie » ! Voici comment Mélanie interprète cette prophétie de Notre Dame de la Salette, prophétie qu’elle a pour mission de transmettre, mais pas d’expliquer, cette tâche nous revenant : « c'est-à-dire, écrit Mélanie, qu’en ces temps là, qui me paraissent n’être distants que d’une vingtaine d’années, des personnes malvages ( méchants, mauvais, malveillants) s’étaient données au démon de la magie. Ces personnes faisaient apparaître aux yeux des curieux, des personnes bien connues par eux et qui n’avaient pas vécu chrétiennement. » C’est tout à fait les données qui apparaissent dans l’illustration ci-dessus, et ce n’est pas on le prouvera, qu’une simple coïncidence …

     

     

    En effet, on a ici dans le récit de Pagès dit «  Leo taxil » , des personnes mauvaises, qui se donnent au démon de la magie, idée encore plus suggestive dans l’illustration ci-dessus de la brochure sur fond rouge à 5 centimes que Mélanie a bien connue, où on voit le démon apparaître parce que des personnes « malgaches », « des franc-maçons », se sont donnés au démon de la magie, où le mot « magie » se trouve mis en évidence sur le côté gauche de l’image , sous le regard du démon, et sous l’aile de chauve souris, qui lui a été attribuée par l’artiste. On a bien à faire dans le récit de Pagès à des curieux qui amateurs de grands frissons,  voulaient pouvoir jouir de ce spectacle lors d’un banquet : le cadavre du vieux Walker sortir de son cercueil, et surtout  s’animer, manger probablement comme les autres convives et boire également, un peu comme N.S. Jésus-Christ se retrouvant lors de sa résurrection autour d’une table parmi les siens, et il est dit textuellement dans l’ouvrage le Diable au XIX ème siècle qui rapporte ce récit « incroyable » ( et pour cause … il est complètement bidon !) que ce Walker n’avait pas vécu chrétiennement, et était bien connu des convives  franc-maçons assistant à sa pseudo-résurrection ! ( ce qui fait dire à Mélanie : Ces personnes faisaient apparaître aux yeux des curieux, des personnes bien connues par eux et qui n’avaient pas vécu chrétiennement. ) Preuve que le vieux Walker était connu de tous les franc-maçons, c’est que le « docteur Bataille » , c'est-à-dire Pages qui se fait passer pour un catholique, alors qu’il méprise les catholiques et en particulier les plus hostiles à la franc-maçonnerie qui gobent ces inventions, situe le vieux Walder dans l’entourage le plus proche et le plus connu « d’ Albert Pike, le souverain pontife de la franc-maçonnerie universelle » ( document 1) , la preuve, c’est que le portait de Walder - selon Pagès - est bien connu de tous les franc-maçon, comme l’atteste ce document, que le docteur Bataille a pu se procurer facilement dans la secte ( document 2 ), du moins, c’est ce que raconte le docteur Bataille ( Pagès et son complice Hacks ) dans le Diable au XIX ème siècle, ouvrage que Mélanie a connu et a probablement lu, du moins partiellement :

     


     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

            

     

        Document 1, avec agrandissement ci dessous sur le portrait de Walder, le pseudo-ressuscité sortant de son cercueil dans le Diable au XIX ème siècle du Docteur Bataille.

     

     

    Cette illustration est sensée prouver que Walder est un luciférien de haut grade,  certes décédé, mais bien connu des franc-maçons qui auraient assisté à ses résurrectionssuccessives, selon le docteur « Bataille », qui mêle ici délibérément la réalité avec la fiction la plus grossière, pour pouvoir bien de moquer par la suite de ceux qui ont cru à ses récits.

     

     

     

      

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

            Document 2, pièce sensée également attester que Walder (dit, père de Sophie Walder, femme dont la décendance devrait donner naissance au grand Antéchrist qui naîtra d'une religieuse selon les bobards de Léo Taxil qui veut pièger par son canular les partisans du secret de la Salette et le monde catholique dans son ensemble ) est bien connu des franc-maçons, lui qu’ « on » a fait ressusciter  lors d’un « banquet palladique ». Il est intéressant de noter le « on »,  pronom impersonnel, repris par Pagès  dans son texte «  on apportait chaque fois le cadavre du vieux Walker ; on le retirait du cercueil … on constatait la décomposition » ( voir, pour les détails, la photographie ci-dessus de la page 874 dans le Diable au XIX ème siècle ) fait écho au « on » au pronom impersonnel dans le secret de la Salette : «  on fera ressusciter des morts », car Pagès s’amuse ici comme un petit fou ( ou plutôt comme un chien ou un porc ) avec les choses de Dieu dans le secret de la Salette, qu’il ne comprend pas, et jubile à l’idée, que bien des catholiques partisans du secret de la Salette , vont se laisser piéger par son canular à rallonge sur des pages et des pages, qui n’en finissent pas comme un roman feuilleton, pas trop cher, pour tous les portefeuilles, pour ceux qui n’ont pas beaucoup d’argent et pour ceux qui en ont beaucoup,  histoire de ramasser toujours plus de pognon chez ces catholiques qui avalent toutes les sornettes qu’il raconte, et la personne pour le moment qui gobe son récit, c’est sœur Marie de la croix, plus connue sous le nom de  Mélanie Calvat, preuve pour lui, que « l’apparition de la très sainte Vierge sur la montagne de la Salette » , n’est qu’une histoire ridicule que les papistes voudraient lui faire avaler, mais on n’apprend pas à un vieux singe, de faire des grimaces ! « Moi Pagès, je suis capable de faire gober au monde « catholique » également toutes sortes d’imbécillité », a-t-il démontré ! Pourquoi Mélanie, estime-t-elle, que le prodige annoncé par Notre Dame de la Salette relatif à de fausses résurrections, se produira dans « vingt ans » environ ? Parce que le tour de passe-passe rapporté par le récit du « docteur Bataille », n’est pas totalement au point, puisque  le cadavre du vieux Walker qui s’anime ici,  se décompose  de plus en plus, il a des « chairs putrides » et devient de plus en plus repoussant avec le temps, mais attendons encore un peu, et le démon sera capable de faire mieux, et sur une plus vaste échelle, sur plusieurs personnes,  a dû se dire naïvement Mélanie, qui cherche à comprendre ce qu’a voulu dire Notre Dame de la Salette ici dans son secret au sujet de ce prodige inouï, vraiment extraordinaire du démon, mais qui ne pouvait pas s’élever au sens réel de cette prophétie, dont le sceau était encore fermé à son époque, mais plus aujourd’hui en l’an 2014, en raison de l’intervention imminente de N.S. Jésus-Christ, qui arrivera  lorsque l’éclipse de l’Eglise aura atteint son point maximum, avec notamment la pseudo-canonisation de Wojtyla qui aura lieu cette année là.         

     

            Et Mélanie poursuit : « ces personnes soit disant ressuscitées ( dont Walder n’est qu’un avant goût, ajoutons nous, pour faire comprendre l’influence néfaste  de Léo Taxil dans son interprétation )  se montraient dans la gloire du ciel ( comme « Satan faisait croire de Walder qu’il faisait parti des élus » , faisait parti de ceux qui sont heureux dans l’au-delà, ajoutons nous  sans trahir  ce que Mélanie veut dire, mais en allant toujours impitoyablement plus loin, dans notre enquête, et les précisions, bien plus loin qu’aucun autre avant nous, dans les milieux dit « traditionalistes » ) . Les personnes connues qui avaient vécu dans la crainte de Dieu paraissaient dans d’atroce souffrance ; Les personnes connues qui avaient vécu dans la crainte de Dieu, paraissaient dans d’affreuses souffrances et elles exhortaient leurs amis et connaissances à ne pas les imiter ( on reste dans la même problématique du docteur Bataille, Mélanie croyant voir dans ces récits ridicules, mélangeant des données sérieuses à ce qui est de l’ordre de la farce, du gros canular, une confirmation intéressante des avènements annoncés par Notre Dame de la Salette dans son secret !Ce que dit ici Mélanie est suggéré par le docteur Bataille, qui explique textuellement par ailleurs que les rapports pour un luciférien sont inversés, que l’Enfer pour un luciférien, c’est le paradis, et le paradis des catholiques c’est l’enfer ; le docteur « Bataille » à ce sujet en écrit des pages et des pages dans le Diable au XIX ème siècle :

     

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           Voici un extrait significatif  d’un passage montrant  le docteur Bataille dans le Diable au XIX ème siècle, (p.888 ) - c'est-à-dire Pagès dit aussi «  Léo Taxil » ici - en train d’expliquer que les lucifériens ( les franc-maçons ! ) veulent voir leurs adeptes décédés au « paradis luciférien », perçoivent « le mot enfer appliqué par les catholiques au domaine de Lucifer », comme une « expression calomnieuse », l’enfer étant pour eux , le domaine  « d’Adonaï » , du Dieu des chrétiens et «  le royaume de Satan » étant pour eux, « le vrai ciel, le vrai paradis divin » ! C’est ce passage sulfureux qui fait croire à Mélanie, que ce prodige extraordinaire de « personnes soi disant ressuscités » aura pour objectif de faire croire que les chrétiens sont en enfer, et les lucifériens franc-maçons au paradis.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Mélanie s’inspire ici de ce genre de propos sulfureux maintenus par le « docteur Bataille », se laisse influencer par lui, sans savoir bien évidemment de lui, que c’est une équipe de faussaires, de  « libres penseurs » méprisant les catholiques  qui se cache derrière ce nom évocateur « Bataille » et ce titre honorifique de « Docteur » ! Mélanie  croit de ce dernier, que c’est un catholique sincère, qui a infiltré les franc-maçons au péril de sa vie, du moins elle n’a pas été à même de découvrir cette supercherie de ce maître du canular qu’était Pagès et de son équipe, ou de suspecter le contenu de cet ouvrage ! Elle écrit juste après cela dans son interprétation de la Prophétie de Notre Dame de la Salette sur la pseudo-résurrection des morts, au sujet de ces personnes soit disant ressuscitées, dans une lettre privée, où elle ne s'adresse pas d'ailleurs à l'ensemble des catholiques : «  et elles prêchaient un Evangile opposé à celui de N.S. Jésus-Christ. » , poursuit-elle. 

     

           Le dernier point est de la simple paraphrase de la prophétie «  prêcheront un autre Evangile, contraire à celui du vrai Christ » qui se trouve dans le secret de la Salette proprement dit, Mélanie ayant reçu le don de retranscrire fidèlement les propos de Notre Dame, sans en déformer le contenu.  Cette interprétation de Mélanie se trouve dans sa lettre  à l’abbé Combe du 7 octobre 1899, où elle cherche ici à élucider en vain,  ce qu’elle a rapporté de Notre Dame de la Salette sur le passage relative à «  on fera ressusciter des morts et des justes » , qu’elle « juge peu clair » , le sceau de cette Prophétie n’ayant pas été encore ouvert, ce sceau devant être ouvert publiquement en 2014, -ce que je fais ici avec vous-,  Mélanie trouvant à juste titre  cette prophétie, plein d’obscurité, ( mais cette obscurité est voulue à son époque par le bon Dieu et la très sainte Vierge Marie, cette prophétie devant être obscur jusqu’à notre époque où elle sera pleinement compréhensible par notre intervention ) elle s’imagine, que le texte qu’elle a rapporté ne rend « pas bien les faits », c’est dire à quel point, elle bute complètement sur ce que veut dire ici Notre Dame, mais force est de constater, qu’elle n'a jamais voulu paradoxalement corriger à ce sujet sa rédaction du secrète du 21 novembre 1879 ! Plus on bute sur un passage du secret, et plus la chose de Dieu cachée à l’intérieur est d’importance, c'est la raison pour laquelle, on s’attarde ici sur ce point avec d’autant plus d’acharnement et de détermination, qu’on a reçu de Notre Dame sur la montagne de la Salette d’une manière extraordinaire,  l’explication de ce passage demeuré obscur à tout le monde dans l’Eglise.  

     

           Lorsque l’on étudie attentivement l’explication de Mélanie, qui vient cette fois du propre mouvement de Mélanie, et non pas de Notre Dame de la Salette, on se trouve face au paradoxe suivant, et bien intelligent celui qui pourrait l’élucider sans notre aide :  Mélanie nous parle dans son commentaire personnelle qui vient de son propre mouvement,  de personnes soit disant ressuscitées se montrant dans la gloire du ciel, c'est-à-dire de personnes qui ne nient pas l’existence du Ciel, puisqu’elles prétendent y être, et Mélanie nous parle de personnes soit disant ressuscitées qui se montrent sous l’apparence de saints ou de justes,  se trouvant en enfer, dans d’atroces souffrances, qui ne nient pas par conséquent l’existence  des âmes des damnés, puisqu’elles prétendent y être. C’est terrible ici à dire, mais osons le dire sans crainte des persécutions de la part de nos propres frères dans la Foi , Mélanie est en train ici, sans en avoir l’air, de dire le contraire de ce qu’elle a écrit dans sa rédaction du secret du 21 novembre 1878, où Notre Dame de la Salette, dit en revanche, que ces soit disant morts ressuscité nient l’existence du ciel, soit encore nient les âmes des damnés, c'est-à-dire ne croient ni au Paradis, ni à l’enfer : « ces soit disant morts ressuscités, qui ne seront autre chose que les démons de ses figures, prêcheront un autre Evangile contraire à celui du vrai Christ-Jésus, niant l’existence du ciel, soit encore  les âmes des damnés. »  D’un côté on a des méchants qui font croire que les réprouvés sont dans la gloire du ciel, et qui font croire que les serviteurs de Jésus-Christ sont en enfer, mais qui ne nient donc pas l’existence du ciel et de l’Enfer, qui mettent les damnés au Paradis, et les saints en enfer , ce qui  n’est pas nier l’existence du ciel et de l’Enfer, mais inverser les notions de ciel et d’enfer, en appelant l’enfer, le paradis, et le paradis, l’enfer ;  c’est l’explication boiteuse de Mélanie devenue Marie de la Croix influencée par le très subversif Pagès qui sur le point d’être démasqué, a préféré prendre les devant et avouer publiquement son canular, et de l’autre côté, on a des méchants qui prennent l’apparence « des justes qui souffriront beaucoup », à commencer par l’apparence du « saint Père (Paul VI) qui souffrira beaucoup », qui prennent la figure des âmes justes, à commencer par celle du pape souffrant ( Paul VI) ,et  qui rejettent les notions de Paradis ou d’Enfer, purement et simplement , qui prêchent un autre Evangile, contraire à celui de N.S. Jésus-Christ et de Paul VI, son serviteur , consistant à   nier « l’existence du ciel, soit encore les âmes des damnés. », ce qui est en revanche la position de Notre Dame de la Salette dans son secret, Notre Dame de la Salette confirmant par de tels propos qu’un sosie du pape devra être mis en place au Vatican, par des prélats franc-maçons, nous invitant à croire en cet événement désormais possible du fait que Lucifer et un grand nombre de démon ont été détachés de l’enfer en 1964 ( 1854 devant être lu par 1964, puisque dans les premières rédactions du secret, c’est la référence au XX ème siècle qui est faite relative à l’avènement du pape persécuté, remplacé par un faux .) ;

     

         En effet, le sosie de Paul VI est par définition un soit disant mort, une personne    consacrée à Dieu, un prêtre de la véritable Eglise catholique, mais qui a pris l’esprit de Lucifer et des démons, dans sa haine contre l’Eglise, qui s’est faite passée pour mort, pour que l’on ne puisse pas faire la corrélation entre le prêtre qu’il était autrefois et l’imposteur qu’il est devenu sur le siège de Pierre, et qui a pris la figure de Paul VI ainsi que son apparence comportemental ou intérieure, et qui pour se faire passer pour le pape, a cessé de vivre dans la crainte de Dieu, est tombé dans l’athéisme, ne croyant plus en l’existence de l’Enfer comme du paradis d’ailleurs, servant d’autant plus Lucifer qu’il ne croit pas en son existence et à une vie après la mort, et enseignant à ses complices , ce nouvel évangile qu’est l’athéisme contraire à celui du Seigneur, à celui du Souverain pontife par excellence, que l’on trouve dans les Saintes Ecritures et que  ce prêtre suivait autrefois avant de trahir radicalement et complètement Notre Sainte Mère Eglise qui l’a nourrit, et d’entrer dans la franc-maçonnerie, avec l’intention de s’en prendre à la véritable Eglise Catholique, de se venger de ses supérieurs et du reste de l’Eglise, des années de privations ; évangile du greceuaggelion signifiant  étymologiquement une « bonne nouvelle », voir la récompense que le messager est en droit d’attendre de celui à qui il l’annonce, ce mot se trouvant autrefois chez les païens,  l’athéisme étant pour le sosie de Paul VI, pour ce vrai prêtre qui a perdu la Foi , qui est passé dans le camp de la franc-maçonnerie ou de l’ennemi, une bonne nouvelle, où l’on peut jouir de la vie sans les exigences ou contraintes de la Foi catholique, tant il est vrai que  ce dernier a la conception d’un athéisme joyeux, ( souvenez vous du passage : « mais ce dont j’ai besoin pour le moment doc ( abréviation de docteur ) car ces émotions m’ont donné soif (…) c’est un vin de messe à la paille et un petit buffet avec deux ou trois infirmières du parti, comme la dernière fois,  pour rattraper le temps perdu ! Je me sens d’excellent appétit !)  qui n’a rien à voir avec la conception qu’un homme de Foi se fait de cette doctrine, doctrine impie, insensée, mais qui permet au  sosie de Paul VI d’usurper la place du vrai pape, sans retenue, sans mauvaise conscience, sans la crainte de Dieu et des châtiments ou de la damnation éternelle, en toute bonne conscience, en croyant même rendre service à l’humanité, tout en prenant son pied, en accomplissant un rêve ambitieux et malsain :  être pape, être parvenu au sommet.  

     

     

     

    Œuvre de Taxil sur la Bible, lorsque ce dernier se disait publiquement libre penseur, cet athéisme joyeux de jogand pagès était  l’athéisme joyeux du sosie de Paul VI. Mais rira bien qui rira le dernier ! 

     

          

     

     

     

     

     

     

             Cependant, cette interprétation de Mélanie, a le mérite de nous faire comprendre premièrement que (1er point) la franc-maçonnerie est derrière ce prodige extraordinaire consistant à faire ressusciter des morts, (2) que les magiciens ou faiseurs de miracles se trouvent derrière le « on »  de la prophétie , « on ressuscitera des morts et des justes », ce qui à la lumière de tous nos propos sera d’une évidence clair pour tous les catholiques fidèles désormais, (3) que l’expression « qui avaient vécu sur la terre »  veut dire « n’avaient pas vécu chrétiennement », comme on l’a expliqué dans cette étude, mais avec des références solides à l’appui, et ( 4ème point) cette interprétation de Mélanie montre que ce prodige extraordinaire ( donc difficile à croire ) pour les catholiques du début du XXI ème, s’est déjà produit depuis longtemps, et ne peut plus être reconduit dans un avenir proche ou lointain, comme certains l’ont cru et le croient encore, Mélanie l’anticipant trop tôt 20 ans après 1899, en 1919-1920. En fait Notre Dame de la Salette nous enseigne que ce prodige n’a pu que se réaliser  qu’après l’année 1964, année où Lucifer et les démons ont été détachés de l’enfer, pour entraîner le peuple de Dieu dans l’apostasie, s’en prendre d’abord au clergé, pour ensuite corrompre le reste du peuple de Dieu dans son ensemble. Notre Dame de la Salette  prend soin de préciser mais plus loin dans le texte, qu’il y aura une paix parmi les hommes, c'est-à-dire parmi les membres du peuple de Dieu, de courte durée,  de vingt cinq ans,  qui prendra fin par un monstre qui troublera cette paix ( voire ici le secret transmis par Notre Dame à Maximin )  ce monstre étant  « un avant coureur de l’antéchrist » ( voir cette fois,  le  secret transmis par Notre Dame à Mélanie ) , c'est-à-dire  un  infiltré , un intrus, issu d’une société secrète hostile à la véritable Papauté et à notre Religion  appelé à s’installer sur le siège de Pierre, mais qui lors de son intronisation sur le siège de Pierre, ne voudra pas faire la volonté de N.S. Jésus-Christ, mais bien au contraire « voudra anéantir le culte de Dieu, pour se faire regarder comme un dieu », cet intrus étant Wojtyla, que Ratzinger et Bergoglio veulent élever sur les autels. Cette paix de 25 ans se situe par définition entre deux guerres et n’est pas une paix qui concerne les non catholiques avec les catholiques, mais uniquement  les membres de la véritable Eglise Catholique, c'est-à-dire le peuple de Dieu, qui par son ingratitude a blessé le cœur de Dieu. En effet, il est reproché par Notre Dame à ces hommes d’avoir oublié que les péchés des hommes, c'est-à-dire leur propres péchés, leurs péchés à eux, sont causes de toutes les peines qui arrivent sur terre. Si ces hommes ont oublié que leurs péchés sont causes de toutes les peines qui arrivent sur la terre, c’est donc bien que dans le passé, ils avaient une conception suffisamment élevée du péché et de leur dignité au point de penser à juste titre que leurs péchés sont causes de toutes les peines qui arrivent sur la terre. Mais pour avoir cette notion du péché, ce sens élevé du péché, avoir cette dignité qui fait que si l’on tombe,  le reste de l’humanité n’a plus rien à quoi se raccrocher pour se relever, il faut d’abord être un vrai croyant, sur le quel il est bon de s’appuyer pour se redresser, si on est à terre,  et du point de vue de Notre Dame, seul, un vrai catholique est un vrai croyant, les hérétiques qui se réclament de la Foi chrétienne ne le sont pas. En ce qui concerne l’athée par exemple ou l’agnostique, les choses sont encore plus évidentes, car ces derniers disent ne pas partager cette notion, la regarde comme une idée religieuse certes mais qui leur est extérieure, le mot de « péché » ne rentrant pas dans leur manière de parler, dans leur conception du monde, ce mot ne pouvant être pleinement partagé, que si l’on adhère pleinement aux Saintes Ecritures.

     

             Dieu venait de sortir son peuple d’une guerre mondiale, Dieu avait permis à son peuple après des années de privation , de famine et de souffrance, du moins dans la grande majorité des pays développés comme la France, l’Italie et l’Espagne, que Notre Dame cite dans son secret, de bénéficier d’une croissance économique sans précédent, et dans l’ensemble, le peuple de Dieu bénéficiait de récoltes abondantes et il pouvait jouir des vrais sacrements dans toutes nos églises, et on avait un pape de majesté ( Pie XII ) dont la majesté dans la liturgie rappelle celle du grand Prêtre Simon II dans l’Ancienne Alliance, qui était d’autant plus haï que sa présence rendait impossible sous son règne la révolution dans l’Eglise. Le peuple de Dieu, dans l’ensemble avait du pain à satiété et pouvait nourrir son âme en abondance. Mais au lieu de remercier Dieu, pour tous ses bienfaits que ce dernier leur accorda pendant cette période, le peuple de Dieu, profita de ce répit de 25 ans pour se révolter contre lui, dans les années 60 par un concile, en suivant aveuglément au cours de ce concile, les franc-maçons infiltrés jusqu’au cardinalat, ces derniers n’en revenant pas de réussir à partir de l’année 1964, ( grâce à la délivrance provisoire de Lucifer et des démons, enfin détachés de l’enfer à partir de cette année là )  leur révolution dans l’Eglise, avec un si grand enthousiasme de la part du peuple de Dieu désireux de s’affranchir des exigences de la Foi catholique. C’est ainsi que Dieu, affligé par cette révolte, de la part de son peuple plein d’ingratitude, envers lui, permit l’avènement du sosie de Paul VI sur le siège de Pierre, et à ce monstre d’iniquité de Wojtyla, de grandir de plus en plus, jusqu’à s’emparer par la ruse et le mensonge du siège de Pierre, prenant ainsi  le relais du sosie de Paul VI. Cette paix de 25 ans, est encadrée par deux guerres, une paix par définition, commençant toujours là où une guerre se termine, et se terminant là où une autre guerre commence, la guerre  qui se situe avant la paix de 25 ans, est la guerre  qui se termine en 1945. Cette guerre est une guerre qui affecte le monde catholique par des ennemis venant del’extérieur de l’Eglise et la guerre qui va commencer après les 25 ans écoulés, en 1970 par conséquent, est une deuxième guerre qui affecte le monde catholique cette fois, par des ennemis venant de l’intérieur de l’Eglise, « les faiseurs de miracles   c’est à dire les prélats franc-maçons ou affiliés à des sociétés secrètes, qui est une guerre souterraine, cachée, invisible, introvertie, à l’inverse de la seconde guerre mondiale exhibitionniste dans ces destructions massives et, cette guerre occulte passe à l’étape supérieure, qui va semer davantage le trouble parmi nous, dès 1970 par la décision des ennemis de l’Eglise d’introduire sur le siège de pierre un sosie de Paul VI, puis l’antéchrist-antipape wojtyla prenant le relais du sosie de Paul VI, dans la fourberie ou la supercherie,  Et comme dans les années 70, cette guerre souterraine d’une autre envergure, aux proportions démesurées, s’amorce, mettant fin à cette bien méchante paix de l’Eglise allant de 1945 à 1970, d’une durée de 25 ans, ( de ce répit que Dieu nous a donné, on en a fait avec le dernier concile une paix détestable ) ; il faut en conclure par conséquent,  à partir des données apportées par Notre Dame de la Salette, que l’avènement du sosie de Paul VI se produira dans les années 70, tout comme l’avènement de cet avant coureur de l’antéchrist ( expression servant au XII ème siècle à désigner un antipape ) qu’est Wojtyla , ce dernier ne cessant de monter en puissance depuis 1945 à 1970, pour régner en 1978.     

     

                   Voilà pourquoi après le passage «  Cette paix parmi les hommes ( les membres du peuple de Dieu ) ne sera pas longue ( de 1945 à 1970 ) : vingt cinq ans ( 1945 + 25 = 1970 ) d’abondantes récoltes ( Fourastier inventera l’expression « les trente glorieuses » pour désigner la période qui va de 1945 et 1973, mais Notre Dame qui voit les choses sous un autre angle, s’arrête à l’année 70, entendre également  le redressement des lieux de culte, l’abondance et la proximité des vrais sacrements, un clergé nombreux encore dans la Sainte Eglise, des conversions sous Pie XII, etc, bref tous les bienfaits innombrables que Dieu a accordé aux catholiques pendant cette période ) leur feront oublier ( aux membres de la véritable Eglise catholique ) que les péchés des hommes sont cause de toutes les peines qui arrivent sur la terre  ( l’apostasie du peuple de Dieu entraînant pour l’humanité entière des maux incalculables d’une gravité extrême , et pour commencer  la destruction du Temple de Dieu et de la ville sainte, dans « une guerre générale qui sera épouvantable », où Dieu ne se souviendra plus de la France, ni de l’Italie, parce que l’évangile de Jésus-Christ n’est plus connu ) » , Notre Dame nous dit ceci : «  Un avant coureur de l’antéchrist (…) voudra anéantir le culte de Dieu pour se faire regarder comme un dieu », qui concerne l’avènement de Wojtyla ce destructeur de la discipline apostolique, cet ennemi du salut de l’humanité, cette racine du péché, ce héraut du Diable, cet Apôtre de l’antéchrist, cette flèche du fourreau de Satan, ce fils de bélial, ce fils de perdition qui monte en puissance lors de cette paix de 1945 à 1970, et qui va régner en 1978. Et le fait que beaucoup  se soit laissés séduire par ce monstre d’iniquité, aient trébuché dans l’apostasie, jusqu’à voir en ce monstre un saint, attire le jour de la Sainte Colère de Dieu, cet antéchrist-antipape qu’est Wojtyla étant à « la source de tous nos maux » ( cf. le début de tous les maux, « Principium Malorum », un manuscrit dont on parlera par la suite sur le mystère d’iniquité sur le siège de Pierre dans les derniers temps de la papauté ), ce qui permet de comprendre que Notre Dame après avoir prophétisé le règne de Wojtyla en ces termes « apocalyptiques », volontairement abscons au profane,enchaine ensuite sur les maux qui vont frapper la terre «  la terre sera frappée de toutes sortes de plaies ».

     

            Ainsi donc dans l’interprétation de Mélanie de la Prophétie de Notre Dame de la Salette « on fera ressusciter des morts et des justes » , il convient seulement de retenir ce qui est bon, en étant fidèle à l’esprit de Mélanie, qui disait « on doit toujours s’en tenir à la vérité afin d’éviter de fausser les consciences » ( lettre à Schmid du 28 octobre 1896 ), c'est-à-dire en portant un regard lucide, sur ce qui dans son interprétation ne vient pas du Saint Esprit , mais tout au contraire lui a été inspiré par un ennemi de l’Eglise, Jogan Pagès qui a pris pour nom de plume « Leo Taxil », doit voici une caricature bien connue,

     

     et qui au lieu d’expliquer le point de vue de Notre Dame sur cette idée de pseudo-résurrection réalisée par des faiseurs de miracles, a rajouté à ce sujet toujours plus d’obscurité, ce qui paradoxalement était à l’époque, une chose excellente, l’ennemi ne devant en aucun cas réaliser avant la réalisation de cette Prophétie, que le sens réel de cette prophétie consiste à annoncer l’avènement d’un sosie du pape souffrant des derniers temps de l’Eglise, Léo Taxil à son insu, en rajoutant de l’obscurité sur cette Prophétie, servant d’une certaine manière les desseins cachés de N.S. Jésus-Christ au sujet du pape souffrant des derniers temps  dans cette œuvre que voici :   

     

     

     

     

     

          Edition de 1892                                    

     

         Voilà à quoi ressemble les deux tomes que nous avons étudiés (en 1993) «  le Diable au XIX me siècle » du docteur « Bataille », avec l’illustration d’introduction figurant au début :

    Leur contenu était vendu sous forme de brochures au départ à 5 centimes à l’époque, avant d’être toutes reliées dans ces deux volumes. Je pense que Mélanie a pris connaissance de cette œuvre sulfureuse lorsqu’elle se diffusait sous la forme de brochure ou journal, et qu’elle y était abonnée ou du moins son entourage lui passait des exemplaires pour qu’elle le lise. Du moins de nombreux indices dans ses lettres montrent à l’évidence, on va le voir, dans le prochain commentaire d’un document sur la prétendue généalogie de l’antéchrist devant naître d’une femme impure, qu’elle a parcouru ces écrits subversifs, en y apportant bien à tort un certain crédit, comme quoi, il lui arrivait bien de manquer de discernement sur les thèmes abordés par Notre Dame de la Salette dans son secret. Il appartient donc de savoir faire la part des choses, entre les opinions personnelles de Mélanie appelée sœur Marie de la croix sur ces thèmes développés par Notre Dame dans son secret, et la position de Notre Dame de la Salette dans l’apocalypse que Mélanie a reçu enfant sur la montagne de la Salette, et il va sans dire que Mélanie a reçu le don d’en transmettre fidèlement le contenu, mais pas de l’expliquer. Cette faiblesse de Mélanie montre qu’elle n’a pas pu fabriquer cette apocalypse de son propre mouvement, n’avait pas les connaissances que cette apocalypse contient, elle était même dépassée par son contenu, n’en comprenant pas le sens réel, tout au plus était à même de pouvoir nous aider à en fixer le sens littéral, ce qui n’est pas tout à fait la même chose que de savoir expliquer cette apocalypse de la très Sainte Vierge Marie délivrée sur la montagne de la Salette. Comment Mélanie qui n’avait aucune formation dans ce genre littéraire, aurait-elle pu rédiger d’elle même une apocalypse si savante pleine de références bibliques et de références à la littérature apocalyptique du XIIème et XIIIème siècle ? C’est rigoureusement impossible, d’autant plus que cette littérature à son époque n’avait pas été sortie de son tombeau, les médiévistes étant sur le point de la découvrir ou commençant à peine à en prendre connaissance, ce genre de littérature n’étant un objet d’étude, que dans le monde « savant », les milieux universitaires, dans  des cercles vraiment très restreints d’initiés, de médiévistes ou d’historiens de profession, et c’est la raison pour laquelle, nous estimons que cette apocalypse qu’elle a reçue sur la montagne de la Salette, doit être en substance d’origine divine, inspirée par Dieu, n’a pas pu être produite par son intelligence.     

     

      

     

      

     

              

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      Voilà ci-dessus, un autre passage du même ouvrage, qui a influencé dans le mauvais sens Marie de la croix, plus connue sous son nom de naissance «  Mélanie Calvat », et qui lui a fait écrire  que la grand-mère de l’antéchrist a dû naitre le 29 septembre 1896, dans sa lettre à Schmid du 30/09/1896. Les ignorants estiment que ce commentaire sur la grand-mère de l’Antéchrist  de Mélanie relatif cette fois, à la Prophétie véritable de Notre Dame de la Salette sur la naissance de l’antéchrist (« ce sera pendant ce temps que naîtra l’antéchrist, d’une religieuse hébraïque, d’une fausse vierge qui aura communication avec le vieux serpent, le maitre de l’impureté ; son père sera évêque ; en naissant, il vomira des blasphème, il aura des dents, et un mot, ce sera le Diable incarné » etc, passage qui cela dit en passant ne concerne pas cet Antéchrist qu’a été Wojtyla, mais quelqu’un d’autre et il semblerait que vous fassiez l’erreur de confondre le grand Antéchrist ici décrit avec Wojtyla, qui n’est qu’un avant coureur de ce second fils d’iniquité … ) est un commentaire qui  a été inspiré par Notre Dame de la Salette, ou par le Saint Esprit, mais ce n’est pas vrai du tout, cette photographie ci dessus en est la preuve, et le reste du texte montre à l'évidence avec le recul du temps qu'il s'agit bien d'une fausse prophétie appartenant à la subversion dans le domaine prophètique, destinée par définition à égarer les catholiques fidèles :

     

          

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

           C’est à ce texte là photographié par nos soins,  auquel Mélanie faisait référence à monsieur Schmid dans sa lettre parlant de la grand-mère de l’antéchrist, cette référence n’étant pas explicite, mais seulement mise en sous entendue, Schmid devant être lui aussi dans la connaissance de ce texte sur la généalogie du grand Antéchrist, ce qui permet de comprendre que Mélanie n’éprouva pas la nécessité de rappeler le titre de l’ouvrage et son auteur en question, Schmid se trouvant dans la confidence. Mais on se rend compte par la suite du texte de la page 418 photographie ci-dessus, et avec le recul de l’histoire, car nous sommes en 2014, qu’il s’agit ici d’une fausse prophétie, montée de toute pièce par ce faussaire qu’était Pagès, particulièrement malin, qui a pensé en le rédigeant à ce passage de la naissance du grand antéchrist qui se trouve dans le secret de la Salettepour attirer les partisans du secret de la salette sur ses écrits, et se faire plein d’argent sur leur dos, exploitant à fond leur crédulité, et leur incompétence dans la compréhension des Prophéties. Mélanie en apportant de l’intérêt à ce genre d’écrit, voir même un certain crédit, montre qu’elle s’est laissée influencer dans son approche du secret de la Salette par Taxil, qu’elle n’a pas été à l’abri de la subversion dans le domaine « prophétique », n’ayant pas reçu le don d’expliquer ce secret, mais seulement le don de le transmettre comme il convient au Seigneur, pour ceux qui seront appelés par le Seigneur à en comprendre le sens réel.

     

     

     

     

     

      

     

     

     

     

     

     

    Et voici la petite note qui dans le commentaire de Boanergès du secret  vide de toute connaissance véritable,  ( Boanergès trébuchant à chaque pas, dans son interprétation du secret ) , qui m’ a intrigué, et qui m’a poussé à écrire à Corteville au début des années 90, pour qu’il nous fasse parvenir cette lettre du 30/09/1896 sur la grand-mère de l’Antéchrist, ce dernier m’ayant fait parvenir un large extrait de cette lettre où Mélanie ne cite pas le Diable au XIX ème siècle,  mais apporte du crédit à ce qui après enquête s’est révélé être un canular de Jogan Pagès, Mélanie dans cette lettre du 30 /09/ 1989 se laissant rouler dans la farine par celui-ci, mes recherches à ce sujet m’ayant conduit à étudier la place de ce dernier dans le domaine de la subversion prophétique.   

     

       Cette œuvre qui a mis Mélanie ou Marie de la Croix dans une mauvaise direction, ( pour ce qui concerne la partie relatif  au sosie de Paul VI dans le secret de la Salette)  est celle de l’écrivain anticlérical Marie Joseph Gabriel Antoine Jogand-Pagès que l’on voit ici dans une photographie d’époque, plus connu sous le pseudonyme de « Léo Taxil »  ("Léo" pour Léonidas, le prénom d'un aïeul maternel, et "Taxil" en référence à un seigneur hindou, Taxilé allié d'Alexandre le Grand , cf voir l’article sur Léo Taxil dans Wikipédia qui est très bien fait ) de son collaborateur  tout aussi anticlérical que lui, Charles Hacks, qui ont fait semblant de s’être convertis à la foi catholique, que pour mieux se glisser dans l’entourage de Léon XIII ou des évêques, à l’époque, à des fins pas très catholiques, à la fois mercantile ( ces derniers ayant soif d’argent, le dieu « argent » ou Mammon, étant leur véritable maître ! ) et  pour se venger de la papauté et de l’Eglise ( Jogand-Pagès après une fugue lorsqu’il était enfant avait été placé en maison de correction chez les jésuites qui lui inspirèrent selon ses propres propos une aversion à l’encontre de l’Eglise catholique et un anticléricalisme virulent ) , comme Simon le magicien dont on a vu également qu’il aimait l’argent, avait infiltré l’Eglise et  voulait confondre saint Pierre et le reste de l’Eglise  par ses supercheries ! Ainsi donc, personne n’osera s’opposer à l’interprétation véritable que nous donnons de l’Apocalypse de Notre Dame de la Salette au sujet  du prodige extraordinaire consistant à faire ressusciter des morts,   en disant que nous avons tort, parce qu’un commentaire de Mélanie de cette prophétie de Notre Dame, ne nous rejoint pas dans l’analyse, à moins qu’il ne soit suicidaire et veuille prendre le risque d’être à ce sujet humilier par nous publiquement !

     

         Ces derniers en voulant faire avaler leurs canulars dans leur ouvrage aux catholiques hostiles à la franc-maçonnerie, voulait tourner en dérision,  la lutte catholique anti-maçonnique, et de certains de ses représentants ( à commencer par Léon XIII ) , mais aussi, est-il bien nécessaire d’ajouter, pour ceux qui en doutent,  ils voulaient aussi  rire du sectarisme ou du fanatisme de certaines loges maçonniques, de certains dirigeants franc-maçons dont ils n’accepteront pas davantage l’influence ( comme ceux qui ont chassés Jogan-Pagès de la franc-maçonnerie pour fraude littéraire ), car Jogand-Pagès et Hacks, amis et collaborateurs de longues dates,  sont à n’en pas douter, avant tout,  des « libres penseurs », dans le sillage tracé notamment par Voltaire, qui n’entendent pas qu’on leur dicte ce qu’ils doivent faire et penser, que cela vienne de la Bible ou du pape et voire même des dirigeants de la franc-maçonnerie, Jogan-pages et Hacks à leur manière rejoignant paradoxalement, sans s’en rendre compte, Lucifer dans son orgueil et son machiavélisme, sa manière de séduire et de tromper les âmes, tout en ayant la prétention d’éclairer les âmes, à commencer sur leurs propres bêtises ! 

     

           Voici par exemple ce qu’enseignait le docteur Hacks, qui était « libre penseur » (en  réalité - asservi au démon, et sans intelligence)  et athée (en réalité - ses dieux, étaient l’argent et son ventre, voir son bas ventre !)  comme son ami Jogan-Pagès,  dans un ouvrage paru en 1892, la même année de la parution du « Diable au XIX ème siècle », où il se faisait passer avec la complicité et les encouragements de Jogan-Pagès,  pour un catholique fidèle ayant infiltré au péril de sa vie la franc-maçonnerie – chose d’ailleurs que l’on n’imagine pas pour un vrai imitateur du Christ, qui par définition se montre toujours au grand jour, ne se cache pas comme un voleur, n’infiltre pas les méchants ! - : «  En des temps devenus laïques, la Foi est tombée, la croyance quelle qu’elle soit, meurt et s’éteint… Dieu immortel est mort encore une fois, tué par l’exagération même et par l’abus qu’on a fait de son propre geste, et la silhouette du vieillard ( entendre le pape ) qui du balcon du palais de la ville éternelle se dresse, bénit maintenant dans le vide un monde qui vécut de ce geste et qui mourra sans lui » , ouvrage, où il montre son véritable visage et traite toutes les religions de « mômeries », le christianisme « de foi névrotique caractérisée par l’hystérie de la croix » , Dieu n’étant pour lui qu’une fiction changeante de l’humanité et l’athéisme étant pour lui, - comme plus tard pour le sosie de Paul VI - l’avenir du monde.  

     

          Mais c’est Jogan-Pagès qui choisit le pseudonyme «  docteur Bataille », et qui demanda au docteur Hacks de prendre ce pseudonyme, et de collaborer avec lui à cet ouvrage agréable et captivant à lire, fait  pour appâter les milieux traditionalistes et royalistes de l’Eglise, qu’est  «  le Diable au XIX ème siècle » ;  Jogan-Pagès s’est réservé à l’intérieur, toute la partie sensée révéler  ce qui se passe et se dit dans la franc-maçonnerie, mélangeant le vrai avec le faux, mettant surtout du faux, plutôt que du vrai, s’occupant presque de toute la partie théologique ( qui ne vole d’ailleurs pas bien haut ! ) de l’ouvrage, connaissant bien la mentalité catholique, ce qui accroche les milieux dit traditionalistes,  Jogan- Pagès connaissant dans son sens littéral la dernière rédaction de Mélanie du secret de la Salette,  jouant ainsi avec les thèmes sensibles du secret, qui sont aussi ceux du monde « catholique » de l’époque dans son ensemble. Quant à Charles Hacks, il s’occupa du reste, c'est-à-dire, notamment toute la partie liée à ses  voyages à travers le monde, tout ce qui a trait à ces compétences de médecin, Jogan-Pagès retranchant dans son récit, ce qui doit être enlevé, et surtout comme on l’a dit, ajouter les mensonges, ce qu’il veut faire avaler surtout aux catholiques, pour mieux les ridiculiser par la suite, et Hacks brodant à partir des données que Jogan-Pagès veut qu’il raconte dans son faux  témoignage : 

     

          « Veux-tu collaborer à un ouvrage sur le Palladisme dit Jogan-Pagès à Charles Hacks (au sujet de l’œuvre le diable au XIX ème siècle, ajoutons nous), moi, je connais la question à fond ; mais publier des rituels n’offre pas le même intérêt que raconter des aventures en qualité de témoin, surtout si ces aventures sont abracadabrantes… En outre , pour attendrir le mieux les bonnes âmes ( comme Mélanie Calvat , ajoutons nous ), il faut que le narrateur soit lui-même un héros ; non pas un palladiste convaincu mais un zélé catholique ayant pris le masque de luciférien pour faire cette ténébreuse enquête au péril de sa vie … je te donne un pseudonyme ( « le docteur Bataille » ) ; car nous dirons, que pour toutes sortes de raisons, l’auteur ne peut pas donner son nom à la publicité (…) tu me feras remettre l’itinéraire de tes voyages, et moi après cela, je bâtirais un canevas, sur lequel tu n’auras qu’à broder ; au surplus, je recopierais ton manuscrit, afin de corriger, de retrancher et surtout d’ajouter … A toi la partie médicale, la description des villes  et un certains nombre de récits. Quant à moi, je me charge de la partie technique du Palladisme, des renseignements sur tous les personnages  que nous allons faire défiler », cette citation qu’il ne convient pas de prolonger plus longtemps, parce que la suite est sans intérêt pour nous, venant de  Jogan-Pagès, l’auteur principal de ce canular qu’est l’ouvrage « le Diable au XIX ème siècle ». (fin  de citation, tirée de la conférence de Joagan-Pagès.)

     

        Cette œuvre , comme on l’a dit précédemment, nous l’avons lue au début des années 1990, en deux tomes mais avec le recul de l’histoire, l’esprit critique de notre formation philosophique à l’université, et surtout les lumières de Notre Dame de la Salette. Mais au départ, il convient de savoir qu’ elle avait la forme de 240 brochures publiées sous forme de périodiques entre 1892 et 1895, tenant en haleine ses lecteurs, et je tiens des éditions de Chiré, que Mélanie lors de ses relations avec M. Schmid, recevait «  les publications de Léo Taxil », - c'est-à-dire les dites brochures - mais avant naturellement que l’imposture ne soit démasquée par Jogan-Pagès, lui-même,  dit «  Leo Taxil ». Ce dernier qui avait un pion d’avance sur l’échiquier, par rapport à ses opposants,  finit par prendre les devants, voyant que les têtes pensantes du mouvement anti-maçonnique catholique  accumulaient des preuves de sa supercherie, que Léon XIII s’opposait à sa correspondance, que commençait à monter du sein de l’Eglise, une croisade contre lui, dont les membres les plus connus sont les jésuites Gruber et Portalier , ainsi que Abel Clarin de la Rive, qui après enquête, avait confondu l’ouvrage «  le Diable au XIX ème siècle» et ses auteurs, et préparait mais bien trop tard, une contre attaque.  

     

     

          Comprenant  qu’il était temps , de faire  une conférence de presse, et de ne plus attendre après douze ans de conversion feinte et de mensonges pour se faire de l’argent en exploitant la crédulité de bien des catholiques tout en servant la cause anticléricale, Jogan-Pagès accumulé par des questions de plus en plus embarrassantes, sommé d’y répondre par ses adversaires, convoqua de toute urgence, les journalistes français et étrangers,  le 19 avril 1897 à la société de géographie, en révélant sa supercherie, avec les preuves à l’appui, en prenant de vitesse ainsi ses opposants, leur coupant l’herbe sous le pied, qualifiant son imposture avec la complicité de Charles Hacks « d’aimable plaisanterie »,  mais pas « aimable » pour tout le monde, puisque la conférence se termina en injures fusant de toutes parts, et une émeute, nécessitant dit-on, l’intervention de la police.  

     

          Quant à Mélanie ou Marie de la Croix, elle  était consultée dans l’Eglise pour toutes ces choses rapportées par ce prétendu catholique, « le Docteur bataille », et en particulier par M. Schmid qui fait parti des victimes de «  Léo Taxil » ou ce qui revient au même,  du « docteur Bataille », mais ce domaine relatif à la subversion  dans les milieux  dit traditionalistes ( thème qui nous tient à cœur, mais sur lequel il ne convient pas ici de s’attarder ) ne relevait pas de ses compétences, comme le montre son propos inconsistant, vide de toute connaissance véritable ( j’insiste bien là-dessus ) sur la naissance de « la grand-mère de l’antéchrist », qui montre qu’elle s’est laissée piégée, elle aussi,  par le franc-maçon Jogan-Pagès ,  sur ce point précis et d’autres encore, qu’il ne convient pas d’exposer ici,  à la suite de M. Schmid, en lisant « le Diable au XIX ème siècle ».   

     

         Voilà en vérité, la référence  sulfureuse, nauséabonde, qui a permis à Mélanie de compléter provisoirement, dans l’attente de la véritable explication de Notre Dame,  les lacunes de son interprétation relative à la prophétie «  on fera ressusciter des morts et des justes » qui en son sens réel, n’a rien à voir de près comme de loin, malgré les apparences,  avec les racontars de Jogan-Pagès et de Charles Hacks. Cette prophétie abscons, énigmatique, volontairement obscurcie par Notre Dame de la Salette, concerne, répétons le,  à temps et à contre temps,  le sosie de Paul VI qui  après s’être passé pour mort « a ressuscité » par la chirurgie esthétique dans la peau de « ce juste » qu’est la pape souffrant du secret - Paul VI - , en « lui prenant sa figure », cette opération relevant du « prodige extraordinaire », ayant été menée à son terme par ses « faiseurs de miracles » que sont les prélats franc-maçons, qui à l’image de Simon le Magicien dans les actes des Apôtres,  se sont fait passés pour catholiques, pour mieux s’infiltrer dans l’entourage du Pape et des autres évêques, et ravir leur pouvoir sur les catholiques, pour les faire trébucher dans l’Apostasie !

     

            A côté des « faiseurs de miracles » qui ont mis en place le sosie de Paul VI,  cet autre faiseur de miracle qu’a été le franc-maçon ( certes de courte durée ) « Léo Taxil » , paraît n’être à côté qu’un gamin en pleine crise d’adolescence, trouvant sa jubilation dans les impostures destinées à ridiculiser le monde « catholique », et surtout ne l’oublions pas, car c’est sans doute la motivation la plus forte, à se faire  le plus d’argent possible en exploitant la crédulité des catholiques, but avoué d’ailleurs  par ce dernier avec cynisme lors de sa conférence du 19 avril 1897, ce dernier ajoutons nous, sachant jouer avec leurs peurs et leurs attentes. Si cette histoire de sosie de Paul VI est véridique pour le coup, comme nous y conduit effectivement  à le penser Notre Dame de la Salette, c’est encore le monde « catholique » qui a été roulé dans la farine par la franc-maçonnerieà l’exception d’une minorité qui comme toujours n’est pas entendue dans l’Eglise, à cette différence près, que l’impact n’a pas cette fois pour objectif d’affaiblir la lutte anti-maçonnique dans l’Eglise, mais d’anéantir notre Religion.

     

          Dans l’affaire du sosie, il convient de penser d’ailleurs, que l’expérience menée par «  Taxil » a conduit les loges qui ont mis à place le sosie de Paul VI, à penser qu’elles pouvaient également tromper dans le sillage tracé par «  Taxil »,  les catholiques sans trop de difficultés. Voici d’ailleurs, l’une des conclusions du « docteur Bataille », c'est-à-dire de Gabriel Antoine Jogand-Pages au sujet de son livre «  le Diable au XIX ème siècle » écrit en collaboration avec Charles Hacks : « Tout cela a été une pure fumisterie. Les catholiques avalèrent tout sans broncher, et la niaiserie de ces gens est telle, que si je leur disais aujourd’hui que je les ai roulés, ils refuseraient de me croire et resteraient convaincus que tout ce que j’ai inventé est la vérité même. »

     

           Certes, il y avait sans aucun doute moins de dupes dans l’Eglise, que ce dernier ne se l’imaginait, mais il convient d’observer qu’il existe encore pas mal de catholiques de notre temps à la vue étriquée, pour dire que les histoires qu’il a inventées comme celles dans son ouvrage «  le Diable au XIX ème siècle siècles » sont vraies, au point de s’y appuyer encore dans leur analyse de la situation actuelle de l’Eglise et  pour comprendre tenez vous bien, les prédictions rapportées par Arnold de Wion au XVI ème siècle attribuées par ce dernier à saint Malachie, comme si on pouvait comprendre par un ennemi de l’Eglise   ce genre de littérature apocalyptique, comme il existe encore d’autres  personnes se réclamant de la Foi catholique,  pour dire  que «  Taxil »  a été manipulé par la Franc-maçonnerie, autant de choses insensées, qui à nos yeux relèvent de l’aveuglement spirituel, et contribue à renforcer  les franc-maçons dans leur conviction, que les catholiques sont dans l’ensemble un troupeau de moutons, que l’on peut effectivement  tondre facilement. 

     

        Or pour maintenir que Jogand-Pagès  a été le jouet de la franc-maçonnerie, il faut méconnaître son parcours de tête brûlée, de fugueur, de rebelle incorrigible, n’acceptant aucune autorité sur lui, pas même celle de son père. Comme "la libre pensée" et le rationalisme étaient des idéologies très en vogue en France chez les franc-maçons, dans les années 1880, ce dernier s’est dit qu’il pouvait entrer au Grand orient de France, mais il n’a jamais pu se faire à l’initiation que ces derniers voulaient  lui donner, il s’en amusait même en leur faisant des blagues. Initié le 21 février 1881 dans la loge « le temple des amis de l’honneur français », il n’est donc pas allé bien loin dans son parcours maçonnique. En un an, il ne participa qu’à trois réunions, et ne dépassa même pas le grade d’apprenti. Il fut ainsi radié du Grand Orient, pas seulement pour plagiat, mais pour son manque d’assiduité, voire son indiscipline, précisément parce que le grand Orient ne parvenait pas à le contrôler

     

              Et c’est à partir des écrits sulfureux du « docteur Bataille », une équipe sans scrupule,  hypocrite et cupide comme les pharisiens, rejetant la résurrection, l’immortalité de l’âme, l’existence des anges,  comme les Sadducéens, prétendant travailler pour le bien de l’humanité  en s’attaquant au sacerdoce de N.S. Jésus-Christ et à ceux qui le suivent, pleins de malices , le cœur pas droit devant Dieu, feignant la conversion , désireux de démontrer la crédulité des chrétiens, par des supercheries, désireux de se venger des reproches de l’Eglise, comme Simon le Magicien, que Mélanie s’est mise à vouloir combler les lacunes de son interprétation sur la prophétie de Notre Dame de la Salette «  on fera ressusciter des vivants et des morts ». Elle croyait, il est vrai, avoir à faire avec « le docteur Bataille » à un vrai catholique, et le feuilleton rédigé par ce dernier, plus proche du roman fantastique que du pamphlet, commencé sous le titre «  le Diable au XIX ème siècle »  en novembre 1892, et distribué sous forme de feuillets, tenant le public en haleine jusqu’en décembre 1894,  lui ont donné à penser que le prodige racontée par Notre Dame de la Salette « on fera ressusciter des morts et des justes » est proche des scènes d’occultisme, de spiritisme, ou de magie, racontés par le « Docteur Bataille », qui sont en vérité des inventions  de « libres penseurs »  destinées à dénoncer la crédulité du monde « catholique », en proie effectivement à la subversion dans tous les domaines, à commencer par le domaine « prophétique ».  Il faut dire que le « docteur Bataille », c'est-à-dire plus précisément Jogan-Pagès s’est appliqué à reprendre les thèmes du secret de la Salette dans son ouvrage « le Diable au XIX ème siècle » en parlant à l’intérieur d’Asmodée , de l’Antéchrist,  des prodiges de Lucifer, des églises servant Lucifer, etc., afin de séduire Mélanie et les catholiques fidèles, pour les attirer dans ses  filets.

     

            Mais à la réflexion, d’une certaine manière, contrairement à tout ce que l’on pourrait croire à première vue, ne serait-ce pas plutôt Notre Seigneur qui s’est servi de  Jogan-Pagès pour nous faire comprendre, que les prodiges annoncés dans l’apocalypse de Notre Dame de la Salette n’ont vraiment rien à voir avec les prodiges racontés par ce dernier ? On est donc bien loin de suivre ceux qui estiment à tort,  que pour fixer le sens littéral de la prophétie «  on fera ressusciter des morts et des justes », il faut faire référence aux séances de spiritisme qui s’effectuaient  au XIX ème siècle, et qui ont estimé à tort que c’est à cela que Mélanie a pensé en tout premier lieu. 

     

           Il convient bien plutôt de dénoncer cette manière irrationnelle de procéder, qui n’a rien à voir avec une véritable analyse exégétique ou historico-critique rigoureuse, relève de l’improvisation fantaisiste,  tient si peu cas de la Bible , comme par exemple se référer  à l’intérieur aux magiciens  pour l’expression faiseurs de miracles , comme si la Bible était pour comprendre le secret de la Salette, le plus inutile de tous les livres, et n’avait rien à nous dire à ce sujet, et ne cherche pas à situer l’apocalypse de Notre Dame de la Salette, dans la littérature apocalyptique postbiblique, comme si l’histoire des idées relatives au derniers temps de la papauté, ne pouvait nous être d’aucun secours, comme si Notre Dame dans ses propos avait fait table rase de tout ce qui s’est dit à ce sujet dans la Sainte Eglise Catholique, n’avait pas à corriger le point de vue de bien des catholiques dans ce domaine, qui se sont fait possédés par la subversion en ce qui concerne la question du pape à la fin des temps. A ce titre d’ailleurs, ce que dit Notre Dame de la Salette, n’a pas seulement de l’importance dans ce qu’elle dit, mais également dans ce qu’elle ne dit pas. Si Notre Dame par exemple avait agréé cette idée d’un pape souffrant ou d’un saint pape à l’image de N.S. Jésus-Christ crucifié, devant être aidé militairement par un grand roi du genre de Charlemagne ou de Constantin, nul doute qu’elle aurait parlé d’un grand monarque guerrier venant se mettre au service du pape souffrant de son secret ou d’un autre pape, or si à l’inverse de Mélanie qui évoque cette idée mais en engageant seulement son opinion personnelle, Notre Dame de la Salette  n’exprime pas dans son secret ce genre d’idée, voyant bien plutôt dans le dernier grand monarque des chrétiens, le pape souffrant de son secret, c’est précisément parce qu’elle réprouve, condamne, l’histoire du saint pape et du grand monarque, la tient pour subversive. Si Notre Dame nous invite à penser qu’il existera un  pape souffrant  tout le temps des ténèbres où l’Eglise sera livrée à de grandes persécutions, lorsque que l’Eglise aura une crise affreuse , c’est précisément parce qu’elle pense que l’éclipse de l’Eglise est corrélative à une éclipse de la véritable papauté en la personne du pape souffrant de son secret, car là où se trouve ce pape se trouve la véritable Eglise Catholique, et  réprouve ou condamne l’idée qu’il n’y aura pas un seul vrai pape lors de l’éclipse de l’Eglise,  tient la position sédévacantiste comme également subversive. L’idée que « le Vicaire de mon fils aura beaucoup à souffrir, parce que pour un temps l’Eglise aura de grandes persécutions », signifie que ce pape aura beaucoup à souffrir car il appartiendra à ce temps où l’Eglise aura de grandes persécutions. Lorsque Notre Dame nous dit que ce temps où ce pape « aura beaucoup à souffrir », que ce temps de persécution pour l’Eglise et pour le pape, « ce sera le temps des ténèbres », cela signifie, que ce temps où ce pape souffrira, est celui de l’éclipse de l’Eglise, éclipse qui correspond également à celle de la papauté, où la véritable papauté ne sera plus visible, mais seulement éclipsée en la personne du pape souffrant du secret, qui est un pape caché, mais bien en vie sur la terre, qui attend son heure, la fin de son éclipse,  pour se montrer à nouveau. Lorsque Notre Dame nous dit immédiatement après « l’Eglise aura une crise affreuse », cela signifie de l’Eglise, que lors de ce temps de ténèbres, on ne s’entendra plus à l’intérieur de la véritable Eglise au sujet du pape, comme cela s’est passé lors de la crise maccabéenne dans la Synagogue de Dieu, au sujet du souverain pontificat, où les justes ne s’entendirent plus entre eux après la mort d’Onias III, sur  sa succession,  la fonction pontificale de l’Ancienne alliance après la mise à l’écart du vrai pontife Onias III, se trouvant constamment asservie à des puissances politiques sataniques ou hostiles à la véritable Religion, extérieures au peuple de Dieu, et cela jusqu’à l’avènement du Messie, ou cette fonction était asservie désormais aux caprices de la dynastie hérodienne, ou à la politique de la Rome des luperques et des empereurs païens, asservissement qui se poursuivra jusqu’à la destruction totale du sacerdoce ancien, l’idée de crise affreuse dans le secret de la Salette, étant liée contrairement aux apparences, à la question du pape souffrant et à l’asservissement de la fonction pontificale à des puissances sataniques dans les derniers temps de la papauté. Le fait que Notre Dame de la Salette ne dise pas qu’il n’y aura plus de pape lors du temps des ténèbres, sous entend sa réprobation à l’égard de l’idée qu’il n’y aura plus de vrai pape sur la terre, lors de l’éclipse de l’Eglise. Et si elle tient à préciser que ce pape souffrant qui se trouvera caché tout le temps des ténèbres, lors de cette éclipse, a pour successeur un homme qui ne règnera pas longtemps, alors que le règne de Luciani se caractérise par son extraordinaire brièveté, c’est précisément pour nous faire comprendre que le pape de son secret, le pape caché tout le temps des ténèbres, éclipsé par une fausse papauté, est Paul VI, lui qui a eu pour successeur  Luciani, c'est-à-dire que Notre Dame de la Salette tient d’idée de Montini-antipape pour subversive également ;  et c’est l’une des raisons, pour laquelle, je trouve l’ attachement des sédévacantistes au secret de Notre Dame de la Salette  comme irrationnel, compte tenu de leur position au sujet de Montini, même si je conçois l’intérêt qu’il y a pour eux de faire croire que le secret de la Salette abonde dans leur sens, ce qui n’est pas le cas, ne serait-ce que sur la question du sosie de Paul VI.

     

        En effet, comme on l’a dit,  à y regarder de très prêt le sens littéral du texte rapporté par Mélanie, qui tient ce texte de Notre Dame de la Salette,  le sosie de Paul VI a pris la figure du pape souffrant du secret de la Salette, c'est-à-dire d’un vrai pape. En effet, il est écrit que des pseudo-morts ( « soit disant morts ») ont pris la figure des justes, sous entendu pour se faire passer pour eux, pour les justes dont ils ont pris la figure ou le visage ( par une opération esthétique )  ont pris la figure des justes, pour être leur sosie ou leur double,  « afin de séduire les hommes » ; par l’expression « hommes », il faut entendre, répétons le,  les vrais catholiques ( ceux qui s’éloignent de Dieu, s’éloignent de leur dignité d’hommes, pour devenir progressivement avec le péché semblables à des bêtes ou des monstres et en enfer, ils seront d’une telle laideur et odeur repoussante, si effrayant, qu’appeler cela des hommes paraîtra inapproprié ), c'est-à-dire des justes, les vrais catholiques, méritant le nom de justes ou du moins s’appliquant à le devenir, à prendre modèle sur les justes. Et par l’expression « les justes », dans l’expression «  prendront la figure (…) des justes », il faut entendre nécessairement « les justes qui souffriront beaucoup, c'est-à-dire « le Saint père » qui « souffrira beaucoup », car Notre Dame de la Salette par delà les apparences, précise toujours ce qu’elle veut dire, en apportant dans son message des indices permettant d’élucider une expression, sans quoi elle prêcherait dans le désert parmi les scorpions et les serpents, pour ne pas pouvoir se faire entendre, ou parlerait au fond pour ne rien dire, en nous faisant perdre notre temps, or on n’a dans son secret pour comprendre ce que le mot « juste » veut dire exactement, que ces deux passages «  prendront la figure des justes » et « les justes souffriront beaucoup », et par extension, celui qui fait parti des justes qui souffriront beaucoup : «  le Vicaire de mon fils qui aura beaucoup à souffrir », « le Saint Père aura beaucoup à souffrir », c'est-à-dire que l’on a la preuve, que dans la figure des justes, il faut entendre en priorité la figure du pape souffrant, d’un vrai pape par conséquent, c'est-à-dire que parler du sosie de Paul VI, c'est-à-dire d’un pseudo-mort, d’un prêtre qui s’est fait passer pour mort, pour prendre la figure de Paul VI, cela implique nécessairement de Paul VI du moins dans l’apocalypse de Notre Dame de la Salette,  qu’il a été, que dis-je, qu’il est encore,  un vrai pape, même si on peut concevoir l’intérêt qu’il y aurait de prolonger la vie d’un antipape défectueux, par un sosie, et logiquement, si les sédévacantistes sont cohérents avec leur position, ils devraient rejeter l’idée d’un sosie de Paul VI, ce qui leur ait difficile,  s’ils admettent l’existence d’un sosie de sœur Lucie de Fatima, car si l’ennemi a pu remplacer la voyante de Notre Dame de Fatima, par une fausse Lucie, pourquoi défendre l’idée qu’il impossible à l’ennemi d’avoir remplacé Paul VI, par un sosie ?  

     

         De plus dire que cette idée de sosie de Paul VI, a été inventée par faire endosser à une personne fictive, le caractère répréhensible de Paul VI , c'est-à-dire pour ne pas voir la réalité en face,  pour nier le mal que Paul VI a fait au bon Dieu et à l’Eglise, histoire de faire croire, que cette invention est d’origine diabolique ou qu’elle émane de gens idolâtrant la papauté ou se faisant du pape, une image angélique, dans laquelle le pape ne peut que bien se conduire envers Dieu (  c’est mal connaître les papes du passé, dont certains peuvent se trouver en enfer, et l’on peut avoir le paradoxe d’un vrai pape en enfer, et un antipape au paradis, si l’antipape s’est converti avant de mourir, et si le vrai pape est mort dans l’impénitence finale ;  au Moyen Age, les artistes catholiques reproduisaient en enfer, des religieux, des religieuses, des membres du clergé et même des papes , et le magistère de l’Eglise, n’avait rien à redire à cela car chacun même le pape, doit vivre dans la crainte de Dieu, et l’enfer est une menace pour chacun d’entre nous, tant que notre jugement n’a pas été prononcé par le Seigneur, quelque puisse être la fonction que nous occupons dans l’Eglise ), c’est mal connaître le secret de Notre Dame de la Salette, qui dit que les justes dont l’ennemi a pris la figure, « avaient vécu sur la terre », c'est-à-dire avaient été des justes, qui s’étaient mal comportés envers Dieu. C’est mal connaître le récit « apocalyptique » du pape souffrant , localisable dans la littérature apocalyptique du XII ème et XIII ème siècle ( exemple dans Principium Malorum, et l’Oraculum Cyrilli, qui sont des apocalypses axées sur l’enseignement des Saintes Ecritures sur ce qu’il va arriver à la véritable papauté à l’approche de l’Antéchrist ou des grandes tribulations dernières); l’Oraculum Cyrilli pour décrire le caractère répréhensible du pape souffrant des derniers temps, a bien comparé, ce vrai pape, au mauvais roi Roboam, qui a par sa mauvaise conduite, parce qu’il a prêté l’oreille à de mauvais conseillers, a provoqué sans l’avoir voulu, un schisme,  a précipité le peuple de Dieu, dans l’apostasie , et c’est bien dansl’Oraculum Cyrilli, que l’on a découvert cette idée de sosie de pape souffrant dans les derniers temps, comme on l’expliquera en élucidant le sens réel des dernières devises rapportées par le  Bénédictin Arnold de Wion dans une prochaine étude. Dans cette littérature apocalyptique du Moyen Age que nous évoquons, on retrouve le scénario de la survivance de Paul VI, dans toute sa structure, l’idée d’un pape se faisant évincer de la fonction pontificale par des usurpateurs, se trouvant contraint de vivre caché en exil, le monde le croyant mort, pape appelé à revenir, à sortir de son exil caché, pour démasquer d’autorité ses usurpateurs ou reprendre le pouvoir à Rome  ( cf. Principium Malorum, les dernières devises, en particulier celle de Bona intentio, charitas abundabit, et l’oracle correspondant : « c’est toi ( le pape que l’on croit mort ) qui reprendras le pouvoir sur la ville au sept collines – In te habebis septem collis imperium. » ) . De même dans les révélations en cours d’exorcismes, où l’on retrouve parfaitement le scénario de la survivance de Paul VI, le caractère répréhensible de Paul VI apparaît avec les nuances qu’il convient, et le fait que le sosie de Paul VI apparaisse dans les années 70 ,  à la fin du règne officiel officielle de Paul VI, est bien la preuve, que cette idée de sosie de Paul VI n’a pas pu être inventée pour faire endosser le mal que Paul VI a fait à Dieu et à l’Eglise à une personne fictive, car si tel cela avait été le cas, il aurait été préférable de le faire intervenir dès le début de son pontificat.

     

             Pour en revenir à Notre Dame de la Salette, le caractère répréhensible de Paul VI est visible à de nombreux endroits. Lorsqu’elle dit par exemple  « les chefs , les conducteurs du peuple de Dieu ont négligé la prière et la pénitence, et le démon a obscurci leurs intelligences ; ils sont devenus des étoiles errantes que le vieux diable traînera avec sa queue pour les faire périr », Notre Dame de la Salette, ne pense pas ici à des antipapes, car un antipape n’est pas le conducteur du peuple de Dieu, mais d’un peuple apostat, antéchrist, persécutant le peuple de Dieu, mais elle pense à de vrais papes, par delà les évêques et les cardinaux de Notre Sainte Mère l’Eglise, c'est-à-dire qu’elle pense  à Jean XXIII et Paul VI, et tout particulièrement à Paul VI. En effet, de ces deux papes, que le vieux diable - il s’agit ici précisément d’Asmodée – traînera avec sa queue, un seul échappera au vieux diable Asmodée, il s’agit de Paul VI, qui tel un nouveau Tobie sera protégé par l’Ange du Seigneur, survivant miraculeusement aux attaques d’Asmodée et des siens,  car  Jean XXIII selon Notre Dame de la Salette ici devra succomber sous les coups d’Asmodée, sera empoisonné, assassiné par les faiseurs de miracles au service d’Asmodée, Notre Dame de la Salette, confirmant à ce sujet les données des révélations en cours d’exorcismes sur l’assassinat de Jean XXIII et la survivance de Paul VI. En revanche, Paul VI sera protégé selon Notre Dame de la Salette, miraculeusement par Dieu, échappant à Asmodée et aux siens : «  les méchants attenteront plusieurs fois à sa vie sans pouvoir nuire à ses jours ; mais ni lui, ni son successeur – Luciani – qui ne règnera pas longtemps – seulement 33 jours – ne verront (en raison du mal qu’ils ont fait à Dieu et parce qu’ils mourront avant) letriomphe de l’Eglise de Dieu. ». Conséquence du mal que Paul VI a fait à Dieu avec la complicité du reste du peuple de Dieu, lorsqu’il avait son intelligence obscurci par le démon et se comportait comme un antéchrist, nous dit Notre Dame de la Salette : «  Dieu abandonnera les hommes à eux-mêmes », c'est-à-dire les membres du peuple de Dieu qui se sont détournés du Seigneur, à commencer par Paul VI , et «  enverra », sous entendu à ces derniers, à commencer à Paul VI, «  des châtiments qui se succéderont pendant plus de trente-cinq ans », la sévérité de cette sentence étant corrélative au comportement hautement répréhensible de Paul VI, et des vrais catholiques que nous sommes, les péchés de Paul VI, étant aussi les nôtres, et bien de ceux qui accusent dans l’Eglise, Paul VI aujourd’hui, étaient devenus des apostats avant de revenir dans la véritable Eglise catholiqueaussi devraient-ils faire profil bas, avant de le lapider, car par leur apostasie d’autrefois, ils mériteraient la damnation éternelle. Notre Dame de la Salette, nous avait prévenus, « Dieu va frapper d’une manière sans exemple (…) Dieu va épuiser sa colère, et personne », c'est-à-dire pas même le pape en la personne du pape souffrant Paul VI – « ne pourra se soustraire à tant de maux réunis. » Comme on l’a dit, même le passage du secret de la Salette, portant sur le sosie de Paul VI, met en évidence d’une manière cachée le caractère répréhensible de Paul VI, Paul VI faisant parti « des justes qui avaient vécu sur la terre », c'est-à-dire qui s’était mal comportés aux yeux du Seigneur, le sosie de Paul VI, devant être perçu comme un châtiment de Dieu, à l’encontre de Paul VI, mais pas pour lui faire du mal, mais tout au contraire pour lui ouvrir les yeux sur le mal qu’il a fait. En regardant le sosie de Paul VI, Paul VI réalise l’homme mauvais qu’il était, ce sosie étant le reflet du mauvais pape qu’il était ;  en regardant son sosie qui a pris sa place,  Paul VI a le sentiment de  regarder  son double ou son image comme à l’intérieur d’un miroir.        

      

          Pour fixer le sens littéral de cette prophétie relative au sosie de Paul VI , sur les faiseurs de miracles et les prodiges extraordinaires qu’ils sont amenés à réaliser lorsque Lucifer et les autres créatures de son espèce seront détachés de l’enfer, et parvenir par ce sens à s’élever au sens réel de son contenu, il convient de s’y prendre différemment de tous les commentateurs qui nous ont précédés, comme on l’a fait dans cette déclaration,en repérant les problèmes posés par le sens littéral, et en les élucidant par le sens littéral, quitte pour cela à aller en arrière ( ex : voir l’expression antérieure « qu’il se méfie de Napoléon », comme un indice pour comprendre  quel pape doit se tenir «  en garde contre les faiseurs de miracles » et qui sont ces faiseurs de miracles )  ou à avancer plus loin dans le sens littéral du texte proprement dit ( voir l’expression postérieure « les démons de l’air avec l’antéchrist feront de grandes prodiges sur la terre et dans les airs » comme un indice permettant de comprendre «  car le temps est venu que les prodiges les plus étonnants auront lieu sur la terre et dans les airs » ), en tenant compte principalement du contexte, du  fil directeur ( comprendre que les dits prodiges des faiseurs de miracles sont dirigés contre la véritable papauté en la personne de Paul VI, et vont précipiter  Rome dans l’apostasie : «  Rome perdra la foi »  ) , des transitions ( « parmi ces personnes (qui ont abandonné la foi), il y aura même des évêques », est une transition nous permettant de comprendre que « les faiseurs de miracles » sont des évêques qui comme Jogan-pages autrefois,  ont abandonné la Foi de leur enfance, sont des individus sans scrupule, qui ont infiltré l’Eglise pour se retourner contre l’Eglise et la véritable papauté ), des répétitions ( « sur la terre et dans les airs » : Notre Dame de la Salette, se répète pour apporter un éclairage nouveau, mais jamais pour rien ) , des paradoxes ( « la figure des âmes » or une âme n’a pas de forme ou de figure /Dieu se laissera fléchir( par les prières des justes – Mais paradoxalement : ) Enoch et Elie seront mis à mort, or si Dieu prend pitié des justes, pourquoi est-il dit  immédiatement par Notre Dame de la Salette , qu’il va permettre la mise à mort d’Enoch et d’Elie, c'est-à-dire des Apôtres de la fin des temps ?  les paradoxes sont des énigmes que Notre Dame nous pose, en nous donnant dans son secret les indices pour les résoudre ) , des expressions étonnantes ( «  un avant coureur de l’antéchrist  combattra contre le vrai Christ » : on se doute bien que cet adepte de l’antéchrist combattra contre N.S. Jésus-Christ, alors pourquoi cette précision, si ce n’est pour nous faire comprendre que ce vrai Christ est en réalité le pape souffrant du secret Paul VI ? ), des références bibliques (  elles sont innombrables, mais citons «  ces étoiles errantes que le vieux diable traînera avec sa queue » qui est une référence à Apo. XII 4 : «  et sa queue entrainait la troisième partie des étoiles du ciel. », etc.,) et des emprunts à la littérature apocalyptique post-biblique sous jacentes au sens littéral (comme la notion de « grand monarque » dans les autres rédactions antérieures du secret, la notion d’ «  Antéchrist » qui ne se trouvent pas explicitement dans la Bible, mais remontent à la littérature apocalyptique médiévale). Mais qui a fait ce travail de fond à part nous ? Personne, vraiment personne et surtout pas les commentateurs du secret qui sont venus publiquement avant nous, pour montrer leur impuissance à expliquer le secret de la Salette, par leurs propos inconsistant, vide de toutes connaissances véritables malgré les apparences, comme pour mieux nous laisser toute la place !   

     

          Il ne faut surtout pas contourner les difficultés du sens littéral,  en abandonnant le sens littéral, pour aller voir dans d’autres choses extérieures au secret tout aussi abscons ( comme les devises rapportées par Arnold de Wion au XVI ème siècle ) , la réponse à une énigme que l’on ne  comprend pas, et a fortiori dans des textes provenant des ennemis de l’Eglise ( comme les écrits de « Léo Taxil » ou du «  Docteur Bataille ») , comme si ces derniers pouvaient détenir la clé de ce que l’on ne comprend pas dans une apocalypse, où par définition les ennemis de l’Eglise, sont dans l’incapacité radicale, de comprendre en profondeur ce genre de littérature ou de s’élever à son sens réel. C’est pourtant bien, là un mauvais chemin qu’a pris Mélanie ou Marie de la croix pour fixer le sens littéral du secret de la Salette.

     

          Qu’est-ce qui a pris à Marie de la Croix, plus connue sous le nom de Mélanie,  d’aller chercher dans « le Diable au XIX ème siècle », des éléments susceptibles de mieux comprendre les prodiges des faiseurs de miracles, et en particulier la naissance de l’antéchrist dans le secret de la Salette, au lieu de se référer bien plutôt aux saintes et très solides Ecritures ? Le piège de Jogan-Pagès vernissant son ouvrage «  le diable au XIX ème siècle »  d’expressions  ou d’images empruntées au secret de la Salette, pour faire frissonner son public catholique, avide de sensations fortes, à la réflexion était pour le moins grossier, à croire que les catholiques qui croyaient à ses histoires fantastiques et abracadabrantes, toutes justes bonnes à divertir les foules, comme au cinéma, aimaient être trompés de la sorte, à entrer dans son scénario, à croire qu’elles n’avaient pas autre chose de plus intéressant à lire, la oisiveté dit-on, étant la source de tous les vices.

     

           En ce qui concerne Mélanie ou Marie de la Croix, qui vit de son mieux en conformité avec l’esprit de Notre Dame de la Salette, qui a été préservée de l’esprit du monde, c’est là, une chose particulièrement étonnante, sur laquelle, il convient de s’arrêter pour y réfléchir en nuançant la sévérité de notre appréciation, en mettant en valeur, ce que Marie de la Croix ou Mélanie a écrit de bon, confirmant ce qu’il nous a été donné de comprendre par Notre Dame de la Salette sur le sosie de Paul VI. Tout porte à penser d’ailleurs qu’elle n’a parcouru les écrits du « docteur Bataille », que superficiellementne s’attachant qu’à ce que d’autres voulaient lui montrer, parce que des personnes comme M. Schmid, l’ont contrainte à les regarder, mais que d’elle-même, elle ne serait pas venue à faire ce genre de lecture, où tout n’est que vanité, du temps perdu, volé à Notre Seigneur Jésus-Christ, où on ferait mieux de s’appliquer à suivre à la place les consignes de vie de Notre Dame de la Salette !      

     

               Comme Mélanie  le reconnaît volontiers, elle n’a pas reçu le don d’expliquer le secret de Notre Dame de la Salette, ce don de l’Esprit Saint,  ayant été donné sur la montagne de la Salette, par Notre Dame de la Salette, à un pauvre laïc gémissant, postulant au sacerdoce, tant il vrai que   l’explication lumineuse que je donne, qui ne saurait venir de moi ,  m’ a été donné du cielsous une nuit étoilée, et sur le lieu même de l’apparition, explication  n’ayant rien à voir avec tout ce que vous avez pu lire de pseudo-explications au sujet du secret, émanant de personnes aveugles, car il n’existe pas à ma connaissance de bonnes explications du secret de la Salette, toutes sont mauvaises, hormis celle que j’ai reçue de Notre Dame de la Salette. Mélanie et moi-même, affirmons d’un seul cœur que ce sont« les faiseurs de miracles qui feront ressusciter des morts et des justes », dans la Prophétie : «  on fera ressusciter des morts et des justes ». Mais Mélanie s’étant arrêté en chemin, et ne sachant pas au fond ce que tout cela veut dire, se laissant même abusée dans ces interprétations du secret,  par « Léo Taxil » qui est un maître du canular et de l’embrouille, c’est à moi, qui ne suis qu’un pauvre laïc,  un pauvre manœuvre dans le carrelage, parmi les illettrés, les étrangers, les exilés, mangeant le plus souvent par terre  comme Lazard, comme un mendiant ou un esclave, dormant à même le sol dans la saleté comme un chien,  que revient la lourde et pénible tâche d’expliquer à tous mes frères dans la Foi, ce que signifie son contenu, dans son sens réel. Notre Dame aurait pu dire : «  on ressuscitera des morts et des justes », or elle dit «  on fera ressuscité", c'est-à-dire que les faiseurs de miracles », «  feront ressusciter -par quelqu’un ou plusieurs, voir quelque chose - des  morts et des justes », c'est-à-dire que la question qui se pose est celle-ci par qui ou par quoi, « on fera ressusciter des morts et des justes « , et  vous commencez mes frères à comprendre  mais grâce uniquement à la lumière de mes propos qui ne viennent pas de moi ( Gloire à Dieu ! ), que cette parodie de résurrection  se fera par -un ou des experts en chirurgie esthétique-, (plus précisément semble-t-il mais je n’en suis pas certain, un maître dans ce domaine avec des assistants du personnel médical) c'est-à-dire que les faiseurs de miracles recourront au progrès de cette science (ce « quelque chose », ce domaine précis de la médecine) pour arriver à leur objectif. Il n’y a que ce domaine de la science à pouvoir donner la figure d’un autre à celui qui veut la prendre. Notre Dame de la Salette en utilisant l’expression «  faiseurs de miracles » sait bien évidemment que si elle ne donne pas dans son message des indices aux vrais serviteurs de N.S. Jésus-Christ qui liront son message, leur permettant de comprendre avec certitude qu’il s’agit de prélats franc-maçons infiltrés dans l’entourage du pape, au Vatican, c’est comme si elle prêcherait dans le désert, aux scorpions ou aux serpents, les vrais serviteurs du Christ auxquels elle s’adresse dans son secret, ne pourront jamais comprendre ce qu’elle veut dire.

     

         L’un de ces indices qui tombe sous le sens, c’est que les vrais serviteurs de N.S. Jésus-Christ qui sont appelés par lui à comprendre l’apocalypse de Notre Dame de la Salette ( rappel de notre introduction : je ne m’adresse dans cette étude qu’à ceux qui  font parti de ces appelés, je ne dois livrer l’explication du secret de la Salette que le Seigneur m’a permis de comprendre, qu’aux vrais serviteurs de N.S. Jésus-Christ, et non pas aux mauvais catholiques, au pseudo-traditionalistes, aux apostats, aux schismatiques, aux hérétiques, malheurs à ces derniers, s’ils en prenaient connaissance alors que cela leur est interdit ! ) pour savoir qui sont ces faiseurs de miracles, doivent les chercher, dans la description des « prodiges extraordinaires » qui vont suivre, car c’est à leur prodiges que ces faiseurs de miracles seront reconnaissables. Or dans la description qu’en fait Notre Dame,  plusieurs indices sont apportés, ils sont Lucifériens, car pour les accomplir,  il faut préalablement, que « Lucifer et un grand nombre de démons » soient « libérés de l’Enfer », et on sait par ailleurs, que Mélanie dans ses lettres  annexes au secret, appelle « les franc-maçons », par cette expression «  les lucifériens », or en effet, les franc-maçons sont bien lucifériens et ont bien « des églises », des communautés avec des temples ( « il y aura des églises pour servir ces esprits »), parfois bien en vu dans la rue, parfois au contraire implantés d’une manière très discrète, bien camouflée, la secte aimant aussi s’accaparer nos églises,  nos sanctuaires – avec la complicité du clergé romain apostat complètement infiltré par la franc-maçonnerie, dominé par elle - pour les arranger à sa façon, avec ses propres bannières, ses chaises, prenant nos orgues également pour leur cérémonies, etc. Et ces lieux de cultes diaboliques à notre époque se laissent parfois visiter dans des opérations « portes ouvertes » qui ont un « joli succès » auprès des touristes, et on peut aussi les observer de chez soi, avec internet, en cliquant sur un moteur de recherche par exemple « Temples maçonniques ». On n’en voit partout, il suffit d’être plus attentif, car ces lieux de cultes démoniaques prolifèrent comme des champignons. Cela en est à un tel point qu’ils ne se cachent même plus dans l’ensemble. Les franc-maçons sont des maîtres dans la subversion, dans l’art satanique de « d’abolir la Foi », y compris dans le clergé, de recruter leur membres y compris au sein du clergé, des « personnes consacrées à Dieu ».

     

     

     

     

     

      

    Cette image désigne le couvent franciscains des Récollets devenu une loge maçonnique ! L’ennemi se sent si fort qu’il ne se cache même plus aux yeux des vrais catholiques ! «  Plusieurs maisons religieuses perdront entièrement la foi et perdront beaucoup d’âmes », mais pour devenir quoi ? Ce genre d’abomination ! Ce qui plaît à l’Ennemi, c’est d’investir nos murs, c’est de prendre sa revanche sur la Sainte Eglise ou la Synagogue de Dieu qui dans le passé avait suffisamment de force pour l’empêcher de nuire et le châtier, c’est d’inverser les rapports de force. Voici ce que prophétisait Mélanie s’inquiétant de la France gouvernée par les franc-maçons : «  Eh ! Attendons encore un peu, et nous verrons les églises cédées, données aux loges lucifériennes. » (Lettre du 22 avril 1895.)  C’est ici chose faite ! 

     

     

     

     

     

     

     

     

       

     

     

     

     

     Ci-joint des temples maçonniques pour illustrer ce passage dans le secret : « il y aura des églises pour servir ces esprits (de ténèbres) » secret de Notre Dame de la Salette. Ce genre de communautés ou églises ont poussé comme des champignons empoisonnés sur un arbre pourri, en toute discrétion le plus souvent.  

     

     

        Et, voici un ouvrage collectif   Via col vento in Vaticano  (1999) , sensé venir de prélats franc-maçons se plaignant  de la technique maçonnique pour recruter parmi les prêtres des franc-maçons, qui se gardent bien de révéler leurs noms et qui conservent ajoutons nous,  toute leur dignité de prélats, les honneurs de leurs charges, véritables Judas dans l’âme, ne songeant qu’à sauvegarder leurs intérêts ;  à moins qu’il ne s’agisse ici de l’œuvre d’un  faussaire, il convient de reconnaître que si imagination il y a, cela nous paraît bien proche de la réalité, nous rappelle bien des choses que nous tenons de source certaine : «   Il existe un véritable noviciat pour les ecclésiastiques à agréger à l’ordre maçonnique. Il est parmi les ecclésiastiques une certaine catégorie d’hommes dans lesquels la maçonnerie voit de possibles collaborateurs ; ceux-ci doivent réunir certains dons : intelligence aiguë, vif désir de faire carrière, ambition, promptitude à comprendre et à feindre de ne rien comprendre, générosité dans le service, et, le cas échéant, une belle prestance physique et un visage avenant. Autant de qualités excellentes qui attirent l’attention des recruteurs. Quand un jeune ecclésiastique répond à ces critères (...), il ne reste qu’à passer à l’abordage en commençant par chatouiller son amour-propre (…) La condition absolue est que, dans cette première phase, le désigné reste dans l’ignorance totale de ce qui se trame autour de lui. La technique maçonnique requiert une révélation progressive, en sorte que l’affilié ne découvre les fins de la société secrète que petit à petit, selon ce que les supérieurs jugent utile », cet ouvrage expliquant comment  se fait la première prise de contact : « Une invitation dans une ambassade complaisante pour une fête nationale, la rencontre inattendue d’une personne qui se dit ravie de cette amitié, un prélat qui lui demande quelque chose et qui se dit reconnaissant. Puis vient la phase des compliments et des flatteries : Mais quel trésor, quelle gentillesse, quelle intelligence ! (...) Vous mériteriez mieux, vous perdez votre temps… Mais pourquoi ne pas se tutoyer ? (...) On entre alors dans la phase des perspectives d’avenir : je connais tel prélat, tel cardinal, tel ambassadeur ou tel ministre. (...) Je dirai volontiers un mot te concernant ; je parlerai de toi comme d’un homme qui mérite de plus hautes responsabilités (...). À ce stade, le proposant se rend compte tout de suite si l’intéressé a déjà mordu à l’hameçon.», et avec les années «  Petit à petit, les promesses faites se concrétisent. Le candidat présélectionné constate que ce n’étaient pas des promesses en l’air et croit devoir en être reconnaissant à l’ami, qu’il considère comme son bienfaiteur. Pendant ce temps, sa carrière progresse comme sur des roulettes sans rencontrer de difficultés. Des perspectives radieuses se profilent devant lui au service de l’Église, au sein de laquelle il commence à deviner un fauteuil qui lui conviendrait très bien. (…) C’est précisément au moment où, saisi par la fièvre de l’ambition et de la vanité, le prélat ignorant a les preuves en main de son ascension facile, dont il ne prend pas encore toute la mesure, et que se profilent à l’horizon d’autres promotions à des échelons bien plus élevés, qu’on arrive à la phase des éclaircissements », où on lui fait comprendre, que son poste est dû à sa loge et à ses frères, qu’il est libre de continuer à collaborer avec eux, et d’assurer ainsi son avancement, jusqu’au jour où «  dans cette phase très délicate, il appartient au prélat en crise de décider du choix à accomplir. Le désir de continuer à grimper, le vertige de se savoir introduit dans la chaîne maçonnique, la peur d’immanquables révélations en cas de refus d’adhérer, le vide qu’il pressent autour de lui dans le cas contraire, la fraternelle exhortation de quelque dignitaire à aller de l’avant, comme lui-même l’a fait autrefois : en un mot, tout cela finit par convaincre le prélat de suivre la voie que d’autres ont commencé à tracer pour lui, à son insu. ( …) Plus on est haut placé, plus on risque d’être intérieurement fragile par peur de perdre les hautes fonctions auxquelles on vous a permis d’accéder. Un abîme en appelle un autre. On cherche à se faire une raison( …) Ainsi, une fois infiltré dans son milieu ecclésiastique, le brave ( ? )  novice maçon a pour premier devoir de paraître crédible en tenant les promesses faites et, le cas échéant, de présenter sous un mauvais jour, comme des esprits faux et des hypocrites, les meilleurs prélats de l’endroit où il s’est infiltré (...). Habilement appâté, le nouveau franc-maçon devient donc ensuite un pion dans le champ d’action de la loge secrète et vient s’ajouter aux autres adeptes qui y ont déjà fait leur nid. Son ascension peut désormais se poursuivre sans entraves vers le sommet avec le concours des autres “frères” (24). » Les millénaires, op.cit.p.267-270). 

     

     

        

     

     

       
     

     

     

     

          Et cela en est même une banalité que de dire des franc-maçons, qu’ilstiennent bien des journaux, des maisons d’éditions et répandent par leurs écrits, par les médias  « partout un relâchement universelle pour tout ce qui regarde le service de Dieu. » Qui osera dire le contraire dans la véritable Eglise catholique ? Je veux dire par là, que plus on cherche à fixer le sens littéral du texte, ne serait-ce que par la simple étude, des  idées qui s’enchaînent, et plus on est porté à penser que Notre Dame vise par tous ces propos abscons, la franc-maçonnerie, « l’entrée en franc-maçonnerie », prenant effectivement la forme de « voyages initiatiques symboliques qui transforment l’impétrant en franc-maçon », sans oublier l’usage du bandeau sur les yeux, lors de ces voyages, où l’on passe d’un lieu à l’autre, de découverte en découverte, en retirant son bandeau, d’où l’idée de « transport d’un lieu à l’autre ». L’expression «  voyage » est en usage dans le rite d’initiation maçonnique ; pour le franc-maçon ces voyages ou rites de passages sont organisés pour aider l’individu à accepter ses peurs et à les transmuter pour atteindre un état de sagesse, de maturité et de plénitudemais pour Notre Dame en revanche, il s’agit de rituels sataniques qui en vérité, tout au contraire, asservissent la personne au démon, la plonge dans un état d’esclavage et de mort rappelant la déportation, et c’est la raison pour laquelle Notre Dame parle de« transport d’un lieu à l’autre », qui dans la Bible a ce sens péjoratif de châtiment. L’art des loges maçonniques excelle bien dans l’art de « transporter » leurs adeptes « d’un lieu à l’autre », et ceci loin du regard du profane, dans le plus grand des secrets, avec un serment liant ces derniers au silence, car s’ils peuvent quitter leurs fonctions, ou quitter la franc-maçonnerie, peuvent être expulsés pour mauvaise conduite, il n’est pas permis en revanche,  pour les hauts initiés de trahir des secrets de la secte, sous peine de mort, l’idée de « transport d’un lieu à l’autre », ayant pour sens exégétique, la déportation, l’emprisonnement, le châtiment, l’impossibilité de faire marche arrière.  Et enfin, dans toute une grande partie de la franc-maçonnerie, les athées sont admis, de tel sorte qu’il ne faut pas s’étonner que parmi les lucifériens ou franc-maçons, certains peuvent prêcher  l’inexistence « du ciel » ou « des âmes des damnés »,  nier qu’il puisse y avoir une vie après la mort, dans leurs ateliers respectifs, où ils ont des exposés à faire comme cela se fait à l’université.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

             Une personne  transportée d’un lieu à l’autre par la loge, qui découvre au terme de ses voyages initiatiques, en passant d’un lieu à l’autre, après avoir enlevé son bandeau,  « la lumière » : « -les armes que vous voyiez tournées vers vous ne vous menacent pas. Elles vous annoncent que tous les maçons se feront désormais vos défenseurs si votre vie ou votre honneur venait à être menacés. »

     « La troisième des épreuves est la cérémonie d’initiation proprement dite au cours de laquelle le candidat a les yeux bandés. Se succèdent alors, sa comparution devant l’assemblée, un bref interrogatoire après lequel le candidat est reconduit hors du temple, et une dernière délibération de la loge qui se prononce définitivement sur son admission. Si celle-ci est acceptée, une dernière épreuve se déroule suivant un rite variable d’une loge à l’autre, mais où le dénominateur commun est la succession d’un stage dans le cabinet de réflexion où l’impétrant rédige son testament philosophique, une déambulation dans le temple au cours de laquelle le candidat fait trois voyages symboliques représentant trois âge de la vie (enfance, adolescence, maturité), et ponctués par la rencontre avec l’eau l’air et le feu, (le séjour dans le cabinet de réflexion symbolisant la rencontre avec la terre). Toujours les yeux bandés, le candidat prête ensuite son obligation dont les deux points forts concernent le secret (dans sa définition maçonnique) et la défense de la laïcité. L’impétrant prête alors serment la main posée sur les outils et sur le réglement général du Grand Orient de France. La Lumière lui est ensuite donnée, généralement par son parrain en lui ôtant le bandeau. Le nouvel initié est ensuite conduit devant le vénérable qui le crée franc-maçon. Il est désormais reconnu comme tel par tous les francs-maçons de la terre. »Citati0n tirée du site maçonnique, les démophiles de Tours du grand Orient de Franceliberté, égalité, fraternité, à la rubrique « entrer », la page : « devenir franc-maçon », et ci-dessous, leur temple :

     

      

     

     « Le Temple des démophiles, vue intérieur face à l’orient » présenté par la secte pour recevoir des candidats.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L’initiation maçonnique et ses transports d’un lieu à l’autre. Huile sur toile du XIX ème siècle : «  Des personnes seront transportés d’un lieu à l’autre » dit Notre Dame de la Salette, en pensant à l’initiation de cette personne consacrée à Dieu ( qui deviendra le sosie de Paul VI au Vatican ) qui s’était convertie à la franc-maçonnerie, cette personne prenant d’autant plus l’esprit de Lucifer et des démons détachés de l’enfer, qu’elle ne croyait pas ou plus du tout, en l’existence de l’Enfer et de ceux qui s’y trouvent, qui dans son voyage initiatique – c’est constamment que se fait l’initiation maçonnique au sein des loges et pas seulement en y entrant – s’est retrouvé en retirant ses pansements ou son bandeau, avec la figure de Paul VI, pour prendre la place de Paul VI au Vatican, entouré de prélats franc-maçons comme lui, pour le soutenir dans sa tâche, quittant le lieu où il aurait dû rester pour être sauvé, vers un lieu, où il n’aurait pas dû être, à savoir la place du pape, avec tous les châtiments terrifiants qu’un tel voyage guidé par Satan, implique pour lui. Dans les révélations en cours d’exorcisme, le sosie meurt lui-même assassiné, empoisonné par ses complices, mais en raison des prières du vrai Pape Paul VI qui a intercédé pour la conversion de son double ou de son sosie, ce sosie qui a pris la figure de Paul VI par la chirurgie esthétique,réalise avant de mourir le mal qu’il a commis, abandonne son athèisme et revit dans la crainte de Dieu, échappant de justesse à la damnation éternelle, mais se trouvant dans un endroit proche de l’Enfer, à l’étage le plus bas du  purgatoire où il a le sentiment de se trouver en enfer, ne pouvant être délivré de cet étage qu’après le retour miraculeux de Paul VI, Dieu ayant tenu compte dans son jugement de son zèle d’autrefois pour le vrai culte, ce qui explique ce passage dans le secret au sujet de ce genre de mécréant : «  à moins d’une grâce particulière, ces personnes prendront l’esprit de ces mauvais anges »  sous entendu pour toujours et pour la damnation éternelle, où Notre Dame n’exclut pas la possibilité que le sosie de Paul VI puisse être sauvé, s’il se convertit, ce qui est une invitation au pape souffrant de prier pour la conversion de ce dernier qui le persécutera.   

     

     

     

     

     

            

     

     

     

     

         Et pour finir, cette photographie, dans un temple maçonnique avec son commentaire,  montre que cette idée de faire ressusciter un mort, doit bien être mis en corrélation avec la franc-maçonnerie. « Pour être admis en loge de compagnon, le maçon prononce le mot de passe Schibboleth, qui signifie épi. Deuxième symbole végétal, après le grenadier qui, lui, peut pousser tout seul, le blé est le fruit d’un long travail. Rappelons l’évolution du grain de blé, confié à la terre, et qui doit mourir pour libérer l’énergie, renaître sous forme d’épi. Celui-ci est symboliquement lié à la croissance spirituelle, le blé est porteur d’une promesse d’immortalité et de continuité par une génération de transmissions futures. La germination est précédée d’une décomposition préalable comme toute vie nouvelle. L’épi de blé contient le grain qui meurt, soit pour nourrir, soit pour germer. La mort prend un aspect de fertilité puisqu’elle perpétue la vie. Le blé est le fruit de la culture par le travail de l’homme. Sans travail persévérant aucune récolte n’est possible. Il en est de même pour le compagnon qui doit faire croître en lui les fruits de l’initiation par son travail intérieur et l’action de l’influence spirituelle. De même, le mot de Mac Benah, qui met fin à l’existence du compagnon, ne signifie t-il pas : « fils de la putréfaction » ?Le compagnon accède à la chambre du milieu en mourant pour la seconde fois, car l’initiation au troisième degré impose à l’impétrant de changer d’état. Devant jouer le rôle d’Hiram, il est Hiram qui reçoit les coups des mauvais compagnons qui le tuent. (Dans l’huile sur toile du XIX ème siècle, sur l’initiation maçonnique et ses transports d’un lieu à l’autre, cela correspond à l’avant dernier transport, sur la partie gauche de l’image : derrière l’initié, un mauvais compagnon derrière son dos s’apprête à lui assénir un coup de bâton) Basculant dans le cercueil il subit un état de putréfaction qui peut rappeler la phase de l’apprentissage, où le néophyte fut mis symboliquement en terre. La mort détruit tout l’artificiel qui est en soi et permet à l’âme de se manifester sans voiles. Il ne subsiste plus désormais que la pérennité de l’esprit du maître.Au corps d’Hiram s’est substitué l’être d’un nouveau Maître qui n’est plus seul car le relèvement par les cinq points parfaits s’accomplit avec les autres Frères. La mort n’a pas le dernier mot, les Ténèbres sont vaincues par la vie éternelle de la lumière. Si la chair d’Hiram a quitté ses os, l’acacia, c’est à dire la connaissance, et la méthode initiatique nous restent. La vie s’achève pour mieux se renouveler, l’esprit parce qu’il est infini, continue. Après avoir subi la mort profane et l’avoir vaincue par la mort initiatique, le Franc-Maçon a reçu le viatique pour exercer la véritable maîtrise. Il a franchi un seuil irréversible qui, par la mort, lui a fait vaincre la mort. Il faut impérativement mourir pour renaître, ce n’est qu’à partir de ce moment là qu’il est donné de réaliser l’étendue du travail et du chemin à parcourir entre la réception très virtuelle de ce grade et le commencement de sa réalisation effective. La maîtrise n’est pas une fin en soi, mais le simple franchissement d’un seuil où le chantier de l’univers attend la réalisation d’une œuvre.Le travail à accomplir devra être inlassablement poursuivi sur le chantier des jours. Comme le Phénix, oiseau fabuleux qui s’exposait au bûcher pour renaître victorieux, chacun est appelé à s’exposer aux flammes  de la vie pour mourir à son passé et devenir celui qu’il est réellement.J’ai dit V\ MJ\ P\   » cité dans « mort et renaissance initiatique », explication maçonnique à des francs maçons.  

     

     

     

     

     

    A travers des actions symboliques, des épreuves morales et physiques, l'initiation a pour but de donner au futur Maçon le sentiment intime de "mourir" pour "renaître" à une vie nouvelle, ce que les Maçons appellent la "deuxième naissance" et que Goethe, célèbre Franc-Maçon, a exprimé par l'expression "Meurs et deviens" (Sterbe und werde). 

     

     

     

     

     Ci joint vue à l'intérieur du temple maçonnique à New York en 1913, avec sur le portique la lettre G , sur le bijou mis en avant, un phoenix s'ouvre la poitrine pour donner son sang à ses petits, il s'agit d'une référence aux rites initiatiques de mort et de résurrection. 

     

     

            L’autre indice qui tombe sous le sens, est à chercher dans l’expression «  faiseurs de miracles » elle-même. Cet indice est d’autant plus gros que personne à notre connaissance dans un commentaire du secret n’en a parlé, comme du reste d’ailleurs, si ce n’est pour dire que des choses superficielles, d’aucun intérêt pour l’Eglise, car comme je vous l’ai dis, d’explication véritable du secret, il n’en existe pas, à part celle que nous avons reçu d’en haut. Des multiples références au secret de la Salette que j'ai trouvées chez les sédévacantistes, et Dieu sait si j’ai passé des nuits blanches à étudier leurs écrits, à écouter leurs vidéos, il convient d'observer que ces derniers ne sont pas là en vérité pour fixer le sens littéral du texte et en dégager le sens réel de cette apocalypse, ils sont là pour servir cette vérité vraiment  incontestable que l’ennemi s’est emparée des commandes de l’église officielle romaine, et que cette citadelle sainte qu’est l’église officielle romaine, est complètement investie par les ennemis de l’Eglise, et a cessé de s’identifier à la véritable Eglise de N.S. Jésus-Christ, a perdu toute autorité apostolique, pour devenir une fausse et contre église, d’origine satanique, de nature hérétique, la fausse église des temps de la fin, la Babylone maudite de l’Apocalypse de N.S. Jésus-Christ, mais les sédévacantistes passent en silence tout le reste du secret et même l’essentiel, car en vérité, je vous le dis, par delà les apparences, l’apocalypse de Notre Dame de la Salette, est pour les vrais serviteurs de N.S. Jésus-Christ un message de joie et de paix extraordinaire, pour essuyer leurs yeux pleins de larmes et les réconforter, mais on comprend que les méchants ne voient dans cette apocalypse, essentiellement qu’une Prophétie de malheurs, ce qui est compréhensible, car le sens réel de cette apocalypse leur ait radicalement fermé, interdit par Dieu. A leur décharge, il est vrai, qu’ il ne convient pas d’expliquer à tout le monde ou à n’importe qui le sens réel de l’Apocalypse, mais ce qui me frappe, c’est la pauvreté extrême de leurs commentaires, et un grand nombres d’indices me prouvant qu"ils n’y entendent rien, ce qu'ils comprennent n’étant à mes yeux, que des miettes, pas de quoi rassasier une âme qui a faim de vérité.  Avec, ce que je leur donne ici, ils seront contraints de retrousser vos manches, et de se mettre enfin au travail, en priant Notre Dame de bien vouloir les éclairer sur son secret à la Salette, comme je l’ai fait, c'est-à-dire d’une manière qui plait à Dieu.  

     

      L’expression «  faiseurs de miracles » fait référence à de nombreux passages des Saintes Ecritures ( Ancien Testament et Nouveau Testament : on se contentera ici du Nouveau Testament ) relatifs aux magiciens. Les exemples ne manquent pas, commeElymas, le magicien, Actes 13.6, qui s’opposait à l’Apôtre Paul , cherchant à détourner de la foi, le proconsul Sergius Paulus, homme intelligent, dont Paul nous dit qu’il est plein de toutes espèces de ruse et de fraude, fils du diable, ennemi de toute justice, pervertissant les voies droites du Seigneur ; et bien ce que l’Apôtre dit d’Elymas, vaut pour Notre Dame, aux faiseurs de miracles dont elle parle, ce sont des hommes membres de la Synagogue de Satan, qui cherchent à faire apostasier les catholiques, qui sontcapables d’induire en erreur des hommes intelligents, qui ont en tête un plan diaboliquedestiné à nous faire croire que l’on suit la véritable papauté ou la voie que le Seigneur a choisi. Mais la référence qui tombe sous le sens, la plus criante de vérité, c’est la référence à Simon le magiciendans les actes des Apôtres (chap.8 :18-21). Comme Simon le magicien « plongé dans un fiel amer et lié par l’iniquité »(c’est la conception de  saint Pierre à l’égard de Simon le magicien !) s’est infiltré dans l’entourage de Pierre  pour ravir le pouvoir des Apôtres et de Pierre, n’a pas hésité pour parvenir à ses fins à recevoir le baptême des mains de Philippe, pour s’introduire dans la Sainte Eglise, les faiseurs de miracles sont nécessairement pour notre Dame de la Salette, des ennemis de l’Eglise qui se sont introduits par la ruse à l’intérieur de l’Eglise, jusqu’à recevoir les vrais sacrements,  afin de ravir au pape son pouvoir.

     

      

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    cf, un extrait du Liber Ostensor de Jean de Roquetaillade au XIV ème siècle, que nous verrons plus loin dans cette étude, d’un peu plus près, où ce visionnaire réalise, que « Simon le magicien », ce faiseur de miracle est la préfiguration d’un cheval de Troie, qui s’infiltrera à la fin des temps dans le clergé pour s’emparer de la fonction pontificale ! 

     

     

          Jude 4 résume ainsi le travail de Simon le Magicien  et de ses disciples : «  car il s’est glissé parmi vous - (dans l’Eglise : c’est bien une affaire d’infiltration par la ruse, de personnes faussement convertis à la Foi catholique, désirant anéantir notre religion !)- certains hommes, dont la condamnation est écrite depuis longtemps, des impies qui changent la grâce de Dieu en dissolution et qui renie notre seul maître et Seigneur Jésus-Christ ». Simon le magicien est considéré par l’Eglise, comme un mage adepte de la  « gnose »  luciférienne, un hérétique de la pire espèce, et les franc-maçons  sont à situés dans ce camp là,  en particulier les franc-maçons infiltrés dans l’Eglise, qui sont les héritiers spirituels de Simon le magicien ! 

     

     

         

                            
      

     

           

                                   

     

    1) Relief de la porte Miègeville de la Basile saint Germain à Toulouse représentant Simon le magicien avec les démons ;

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    2) Jack Palance dans le rôle de Simon le magicien en train de réaliser un tour de passe passe, consistant à faire disparaître progressivement une cruche pleine de  vin, pour n’en laisser à la fin (à la différence de Notre Sauveur ) qu’un tout petit gobelet, dans le film « le Calice d’argent » de 1954, le seul film que nous connaissons reconstituant avec insistance l’aspect redoutable et la vie de cet ennemi de l’Eglise à partir des Actes de Pierre et  les Actes des Apôtres. Autres images du même film, voici Simon encore dans d’autres tours de passe passe devant la noblesse de Rome faisant apparaître un serpent dans un plat pour le faire disparaître, et ensuite devant la foule parodiant les langues de feu du saint Esprit sur les Apôtres, les faisant apparaître sur une toile, s’apprêtant à se jeter dans le vide d’une tour pour voler comme un oiseau sous les yeux de la plèbe et de l’empereur médusés, attendant ce miracle, qui sera son dernier, Simon finissant par s’écraser finalement  comme un fruit pourri. Simon c’est aussi le nom du prévôt du Temple qui a comploté contre le dernier vrai pontife Onias III de la crise maccabéenne, et dont la famille sacerdotale a supplanté celle des oniades dans la fonction pontificale, le pseudo pontife Ménélas mis en place du vivant d’Donias III à la tête des prêtres du temple de Jérusalem  étant le frère du dit Simon, ces deux frères étant tous les deux issus d’une secte diabolique ayant infiltré les plus hauts postes de la hiérarchie ecclésiastique pour s’emparer du pouvoir religieux à Jérusalem, Ménélas, deuxième pseudo pontife de la crise maccabéenne, étant une préfiguration du grand Antéchrist-antipape qui sera adoré comme un dieu, élevé sur les autels,  dans la littérature apocalyptique du XII ème-XIII ème siècle, c'est-à-dire de Wojtyla, le second pseudo pontife ou antipape dans le scénario de la survivance de Paul VI.     

         « Les Actes de Pierre » qui sont une œuvre apocryphe mais d’un bon esprit,  et une source historique précieuse pour l’Eglise, qui émane de l’Eglise, présente Simon le magicien, comme un ennemi du pape,  redoutable, qui a séduit beaucoup de chrétiens par sa magie, les faisant apostasier par ses faux miracles, qui n’ayant pas pu acheter à Pierre, les dons de Dieu que Pierre  a reçus , qui s’est senti humilier par Pierre,  lors de la confrontation racontée dans les Actes des apôtres,   veut se venger de Pierre. Il veut démontrer à Pierre sa supériorité sur lui,  fait de la surenchère, veut qu’on le prenne pour un dieu. Dans le secret de la Salette, Notre Dame de la Salette présente Wojtyla comme un avant coureur voulant anéantir le vrai culte pour se faire regarder comme un dieu, c'est-à-dire comme un infiltré, un intrus, dans l’Eglise, à l’image de Simon le magicien, faussement converti à la Foi catholique. Il est dit dans les Actes de Pierre , de Simon qu’il a voulu rejoindre dans les airs «  Dieu son père ( entendre selon nous Lucifer ) dont il est la puissance affaiblie » , et lorsqu’une grande foule se rassemble pour assister au spectacle , Simon le magicien  commence à s’élever dans les airs à la stupéfaction générale,  narguant saint Pierre qui prie, mais la prière de Pierre est entendue, et Simon le magicien retombe sur le forum en se rompant la jambe à trois endroits, et amputé, il ne survivra pas. 

     

      

     

        Cette élévation dans les airs et cette chute de Simon le magicien,  a bien évidemment un rapport avec ce que dit Maximin du secret qu’il a reçu de Notre Dame, au sujet de Napoléon III : «  un aiglon se s’élèvera. Quand il sera devenu un peu grand, il retournera sur lui-même, ensuite ils’élèvera plus haut. Puis ses plumes tomberont. Enfin sans plume, il tombera sur des poignards », car pour des raisons que je vais maintenant expliquer, il y a un lien intrinsèque, caché reliant Napoléon III aux magiciens, aux faiseurs de Miracles, dont Simon le magicien, est le plus grand représentant. On pourrait croire, que Maximin ici s’écarte de l’esprit de Notre Dame de la Salette, brode à sa manière, dit des choses qui ne sont pas intéressantes, mais à y regarder de plus près, ce qu’il dit ajoute de l’eau à notre moulin, d’une manière surprenante. 

     

     

      Entrevue  à Donchery de Napoléon III avec  Otto von Bismarck  après sa défaite à Sedan. Lorsque Notre Dame propétise sa chute à Sedan, elle veut nous faire comprendreégalement ce qui suit :

     

           Notre Dame de la Salette, a construit la prophétie «  Que le pape se tienne en garde contre les faiseurs de miracles », sur le modèle de la Prophétie précédante, au sujet de Pie IX : «  qu’il se méfie de Napoléon », parce qu’elle veut que nous revenions en arrière de son texte sur les faiseurs de miracles, pour que nous puissions comprendre l’identité de ces derniers à partir de la description qu’elle donne de Napoléon III. Elle établit  premièrement une ressemblance entre d’une part Pie IX et le pape souffrant de son secret ( "pape persécuté" qui appartient au XX ème siècle, à l’approche de l’an 2000, comme cela est mentionné dans les rédactions de Maximin du secret que ce dernier a reçu de Notre Dame, chronologie propre au XX ème siècle suivie par Mélanie dans ses premières rédactions du secret), qui est un pape propre aux derniers de la papauté, qui aura à supporter l’apostasie de Rome, et qui sera au cours de cette période  de ténèbres,  criblé comme le froment, à l’image de N.S. Jésus-Christ supplicié. (Il ne peut pas s’agir de Pie XII, mais d’un pape qui comme Pie IX sera contraint de vivre caché en exil, perdra tous ses biens, et qui passera pour un temps pour décédé.) Et deuxièmement, elle établit une ressemblance entre Napoléon III du temps de Pie IX, et entre les faiseurs de miracles du temps du pape souffrant (Paul VI), puisque la Prophétie «  que le pape se tienne en garde contre les faiseurs de miracles » est construite sur le modèle de la Prophétie : « Que Pie IX se méfie de Napoléon III », c'est-à-dire qu’il y a un rapport analogique entre Napoléon III et les faiseurs de miracles.

     

     

    Ci-joint une photographie d’époque de Napoléon III  avachi après sa défaite à Sedan.

     

     

     

     

     

         Comme il est dit de Napoléon III, que son cœur est double, qu’il veut être à la fois pape et empereur, c'est-à-dire avoir la main mise non seulement sur la France et son empire colonial dont le peuple est essentiellement de confession « catholique », et étendre son hégémonie, sa dynastie par delà la France,  il veut avoir en plus  la main mise sur la fonction pontificale, veut s’approprier la fonction du pape, et comme on sait qu’il a trahi Pie IX , et a été châtié pour cela, il faut en déduire nécessairement, que les faiseurs de miracles sont des hypocrites qui font semblant eux aussi comme Naopléon III, d’être du côté du pape ( de quel pape s’agit-il selon vous ? ) , d’être ses plus fidèles amis, mais qui en vérité n’ont pas cessé de projeter de le trahir , pour avoir la main mise  sur la fonction pontificale, se l’approprier, se l’asservir, se l’accaparer,  et avoir la main mise sur le monde « catholique », le diriger tout en le trompant spirituellement, et qu’ils vont trahir le pape souffrant du secret de Notre Dame, et être châtiés pour leur crime, dans ce monde ou dans l’autre. Comme on sait de Napoléon III, c’est une vérité partout établie parmi les historiens, qu’il était un carbonaro, un membre d’une société secrète hostile à la papauté et à l’Eglise, il faut en déduire qu’il en sera de même pour les faiseurs de miracles dont nous parle ici Notre Dame, c'est-à-dire que ces derniers seront   issus de sociétés secrètes hostiles à la papauté et l’Eglise  excommuniées par le Magistère de l’Eglise. C’est clair, non, vous ne trouvez pas ? Je veux dire par là, que quelque soit le côté où on se tourne dans le sens littéral du texte, - derrière l’expression « faiseurs de miracles,  sur l’expression elle-même « faiseurs de miracles », ou après l’expression « faiseurs de miracles ») toutes les données que notre Dame nous a laissées dans son texte pour nous permettre de comprendre qui sont ces « faiseurs de miracles », convergent toutes, sans exception, dans un même sens, celui de nous faire comprendre, que « les faiseurs de miracles », sont des prélats franc-maçons, qui se sont introduits dans l’entourage du Pape au Vatican, c’est à des cardinaux félons. 

     

     
     

     

     

     

     

     

     

     

     

           

     

     Commentaire des images relatives à Napoléon III et aux carbonari : il est notoirement connu de tous les historiens que Napoléon III avant de se présenté au yeux de Pie IX comme un ami venant à son aide,  a été affilié en Italie à une vente de Carbonari, c'est-à-dire à une société secrète farouchement hostile à la papauté, désirant son anéantissement,  et qu’il est demeuré fidèle à son serment de contribuer à la révolution en Italie contre le pape et l’Eglise, et il est connu également de tous les historiens, que lorsqu’il donna l’impression d’aider le pape Pie IX,  « les bons cousins », qui ne comprirent pas ses courbettes hypocrites à l’égard du pape,  ne manquèrent pas de lui rappeler son appartenance à la Synagogue de Satan et son serment , par un attentat. En haut, l’attentat manqué du carbonaro Felice Orsini contre l’empereur Napoléon III et l’impératrice en 1858 qui fit d’autres victimes et à côté, une photographie  du carbonaro Orsini responsable de l’attentat ; sur l’appartenance de Napoléon III, voir par exemple l’ouvrage ci-dessus, mais ce fait étant partout établi chez les historiens, on le trouve mis en évidence  dans beaucoup d’autres études consacrées soit à Napoléon III, soit à la secte des carbonari, soit aux sociétés secrètes hostiles à notre Religion.    

                La preuve est donc établie avec certitude, que  dans la Prophétie « on fera ressusciter des morts et des justes »,et dans la Prophétie « Que le pape se tienne en garde contre les faiseurs de miracles »,  « on », et « les faiseurs  de miracles » sont pour Notre Dame de la Salette des intrus, des franc-maçons qui se sont infiltrés jusqu’au cardinalat. Il n’y a pas échappatoire possible, à moins de trahir le sens littéral du texte, pour le vider de son sens réel ou dénaturer ce que Notre Dame veut nous faire comprendre. Mais qu’est-ce que ces prélats franc-maçons infiltrés jusqu’au cardanalat, veulent réaliser par tous leur prodiges extraordinaires,  pourquoi se sont-il infiltrés dans l’entourage du pape, et pourquoi Notre Dame a mis le pape en garde contre eux, en disant «  que le pape se tienne en garde contre les faiseurs de miracles » … mais pour quoi faire … mais pour s’emparer de la fonction pontificale, et en évincer la véritable papauté en la personne du pape souffrant des temps de la fin.(Qui est ce pape, encore une fois, je vous repose la question ?), En effet, comme Notre Dame voit en Napoléon III, une préfiguration des faiseurs de miracles, lorsqu’elle dit de Napoléon III, « qu’il veut être (…) pape » , cela s’applique aux faiseurs de miracles, aux prélats franc-maçons dans l’entourage du pape, « ils veulent être … pape !!! » ou du moins avoir tout contrôle sur celui qui occupera la place du pape, comme le marionnettiste a tout contrôle sur sa marionnette, - c’est ce qu’est le sosie de Paul VI, une marionnette, dont ils tirent les ficelles - et pour arriver à ce but, Notre Dame de la Salette nous explique, qu’ils vont accomplir « des prodiges extraordinaires », c'est-à-dire que tous les prodiges que Notre Dame nous a décrit par la suite, dans le même paragraphe les concernant,  même si cela ne se voit pas à première vue, sont des prodiges pour parvenir à leur fin, s’emparer de la fonction pontificale et prendre la place du Pape, être pape à la place du pape.

              Ce sont eux et leur secte – la franc-maçonnerie – qui vont  peu à peu abolir la Foi du futur sosie de Paul VI, qui était autrefois un prêtre zélé – rien ne permet de penser qu’il était au départ moderniste, car on peut tout au contraire penser qu’il était au départ « traditionnaliste », pour la Tradition, de notre côté ! – ce sont eux qui  ont rendu son esprit semblable par sa haine de la Religion Catholique, à celui de Lucifer, ce sont eux qui ont fait perdre la Foi, à la maison religieuse où il se trouvait, ceux sont eux qui lui ont remis de mauvais livres entre les mains ; c’est en poursuivant ses relations avec eux, que le futur sosie de Paul VI,  s’est détourné du service de l’Autel,  c’est d’eux que le futur sosie de Paul VI, a tiré sa force, réussissant tout ce qu’il entreprenait, ayant une chance inouïe, y compris sur la table d’opération, où il aurait pu y laisser la vie. Ce sont eux qui l’ont  fait entrer dans leur communauté, dans leur église au service de Lucifer, qui l’ont initié dans un Temple maçonnique, aux mystères de la franc-maçonnerie, qui lui ont fait suivre des ateliers. C’est par eux, que le futur sosie de Paul VI a été transporté d’un lieu à l’autre, ce sont eux qui lui ont demandé de prendre la place de Paul VI, et lui ont expliqué la nécessité de cette opération,  ce sont eux qui l’ont préparé formé à cette opération, ce sont eux, ces faiseurs de miracles qui ont fait passer pour mort le futur sosie de Paul VI, sont à l’origine à son sujet, d’un faux acte de décès, et ce sont eux qui ensuite ont fait ressuscité  ce dernier par la chirurgie esthétique, en lui faisant « prendre la figure » de Paul VI, son apparence physique, mais qui lui ont fait prendre également la place que Paul VI occupait dans la vie.  C’est par leur  intervention que le futur sosie de Paul VI, s’est détourné de l’Evangile pour prêcher l’athéisme à la place. Ce sont eux qui lui ont inculqué comment il devait se comporter pour ressembler à Paul VI, afin que la correspondance soit parfaite entre son nouveau corps, et le Paul VI mauvais d’autrefois, « qui avait vécu sur la terre ». Ce sont eux qui ont tiré les ficelles du sosie de Paul VI, comme on tire une marionnette. On ne peut pas mieux dire que Notre Dame ici dans son secret ! 

     

          Notre Dame voit également dans les magiciens du Nouveau Testament ( comme on ne peut pas tout dire, on  laissera de côté dans cette lettre, l’Ancien Testament, bien que l’on n’est déjà fait référence à l’Ancien Testament, au sujet de l’expression «  transportés d’un lieu à l’autre », qui en son sens historique, concerne la déportation de Jérusalem vers Babylone, Jérusalem désignant l’Eglise, Babylone, la fausse église des temps de la fin, le futur sosie de Paul VI, sortant de la Sainte Eglise, pour se diriger dans sa déportation  - c’est devenu un esclave du démon - vers Babylone, et mourir en chemin, par un châtiment de Dieu, le sosie de Paul VI mourant empoisonné par les mêmes faiseurs de miracles qui l’ont mis en place ) une préfiguration des faiseurs de miracle dont le pape souffrant ( préfiguré par Pie IX : quel est le pape souffrant de la Salette préfiguré par Pie IX ? ) doit se méfier( exactement comme Pie IX doit se méfier de Napoléon III ) .Comme Simon le magicien désirait s’accaparer du pouvoir de saint Pierre et des autres Apôtres – «  accordez moi ce pouvoir ( mot à mot dans le texte grec : « donnez aussi à moi le pouvoir celui-ci » que vous avez de faire venir le Saint Esprit ) », ces  franc-maçons infiltrés dans l’Eglise, veulent aussi pouvoir s’accaparer du même pouvoir que le pape et les évêques ( cela montre qu’ils rechercheront en s’infiltrant dans le clergé à être évêque, dans l’entourage du pape, et à s’accaparer le pouvoir du pape ); Comme pour  Elymas, le magicien, le fait de s’emparer de  la fonction pontificale, de mettre à la place du pape, quelqu’un de leur camp,  cela leur permettra de faire apostasier le peuple de Dieu, de « le détourner de la Foi », ce qu’a  cherché à faire Elymas le magicien, pour le proconsul Sergius Paulus, le détourner de la véritable  Foi, ces prélats franc-maçons le feront à plus vaste échelle, en s’en prenant non pas à un seul homme, mais à tous les hommes, tous les membres de la véritable Eglise Catholique, selon Notre Dame de la Salette. Voila ce que Notre Dame  pense des « faiseurs de miracles » dont le pape doit d’autant plus se méfier ou prendre garde, qu’ils se disent ses amis, alors qu’ils ne pensent qu’à le trahir. Et tous les prodiges que Notre Dame de la Salette, décrit après avoir parlé d’eux, sont des prodiges qu’ils vont accomplir à partir de l’année 1964, (L’année « 1864 » est mise ici pour empêcher les méchants de comprendre ce que Notre Dame veut dire au sujet du mystère d’iniquité sur le siège de Pierre) lorsque Lucifer et un grand nombre de démons seront libérés, et ces puissances de l'Enfer étant étroitement liés à la volonté de ces cardinaux franc-maçons de s’emparer de la fonction pontificale.

       Par la description de ces prodiges, Notre Dame de la Salette, veut nous faire comprendre comment ils vont y parvenir, c'est-à-dire qu’il faut comprendre ces prodiges dans un seul et même sens, celui de nous faire comprendre, le plan des faiseurs de miracles pour s’emparer de la fonctions pontificale, ce qui permet de comprendre, que leurs descriptions dans le secret, n’est en vérité que la description du cheminement du futur sosie de Paul VI, qui avec « les faiseurs de miracles » a commencé vraiment en 1964 , lorsqu’il n’était qu’un simple prêtre, et qui  progressivement, d’iniquité en iniquité,  va  s’approcher du pouvoir pontifical, jusqu’à prendre par la chirurgie esthétique la figure du pape pour prendre sa place au Vatican, et permettre ainsi l’apostasie, l’avènement de la Rome apostate, de la fausse Eglise des derniers temps, de l’église wojtylienne.

              A la lumière de tous nos propos ici,  il est désormais d’une évidence claire, que « les faiseurs de miracles » dont parle Notre Dame de la Salette, sont les prélats franc-maçons qui ont mis en place le futur sosie de Paul VI à la place du vrai Paul VI, au Vatican. Les messages de Notre Dame de Bayside reprenant des tournures de phrases du secret de la Salette, viennent révéler les noms de ces magiciens, du moins les plus importants : «  Mon vicaire bien aimé, le pape Paul VI est livré aux mains de ceux en qui il a mis sa confiance ( « Que le pape se tienne en garde contre les faiseurs de miracles »  dans le secret de la Salette, implique l’idée que ces faiseurs de miracles viendront trahir la confiance du pape souffrant des derniers temps ) . Il souffre beaucoup ( «  le saint père souffrira beaucoup » secret de la Salette ) (…) c’est un autre qui gouverne à sa place, un imposteur ( le sosie de Paul VI )  Il faut révéler l’imposture et expulser l’imposteur. Derrière lui se trouve trois hommes qui se sont donnés à satan (…) le vicaire de mon fils  (expression que l’on retrouve dans le secret de la Salette : « le vicaire de mon fils aura beaucoup à souffrir, parce que pour un temps l’Eglise sera livrée à de grandes persécutions », à commencer selon Notre Dame de la Salette, par le pape qui sera livré ) est prisonnier. AntonioCasaroli, tu condamnes ton âme en enfer. Giovani Bonelli, quelle route as-tu prise ? Celle de l’enfer et de la damnation. Villot, maître du mal, retire-toi du milieu de ces traîtres. Tu n’échapperas au Père Eternel. Tu as parti liée avec la Synagogue de Satan. Penses-tu ne point avoir de comptes à rendre pour la perte des âmes qui s’opère dans la maison de mon fils ? » (Message du 27septembre 1975) « Il y a maintenant trois papes à Rome. Ils ont mis en avant un imposteur comme je vous l’ai dit (le sosie de Paul VI). Le vrai Paul VI, ils l’ont amoindri. C’est la grande mystification du siècle. Faites-là connaître au monde » (extrait du message du 2 octobre 1975).  Bien qu’il ne convienne pas ici d’expliciter ce qui rend crédible, de telles accusations, tout porte à penser en effet, que l’expression «  faiseurs de miracles » a pour sens caché, ces cardinaux franc-maçons que voici :   

     

    Villot                                               Bonelli                           

     

                                                          
                                                                                                                              Casaroli                                                                                                                                                                                                                        

                                                                                                                                                                                        

              

                                                                        

     

                                                       

     

     où sont-ils maintenant ? 

     

                            

     

     

     

     «  Les auteurs de cette machination sont bien au courant de Mon Message : Villot, Bonelli, casaroli. Selon que l’on priera assez pour eux, ou non, l’un d’entre eux sera sauvé ou perdu »(Message du 3 Novembre 1976) Messages de Bayside, New-york (1975-1976) traduit par R.S. Catta, des jours d’Apocalypse, Ed saint Raphaël, sherbrooke, quebec, p.126-128) Les peintures sur l’enfer, ont été prises sur le site allemand « Levend Geloof 8 », qui rapporte dans la même pagination, les têtes des trois cardinaux ci-dessus.

             Personne parmi vous n’ignore  en 2013,  que ces cardinaux franc-maçons dans  le scénario de la survivance de Paul VI, selon les révélations en cours d’exorcismes,  manient  l’art des drogues et du poison, puisqu’il y est dit entre autre chose dans ce récit, que Jean XXIII  et Luciani ont été empoisonnés par ces derniers.

    Or, il est intéressant de noter  que le mot sorcellerie dérive en grec du verbepharmakéuw : donner un médicament à quelqu’un, donner du poison, d’où empoisonner, faire une opération de magie, d’où le substantif masculim pharmakéuw, éws :celui qui compose des préparations magiques : empoisonneur, magicien, sorcier (pharmakon). Le substantif neutre  фαpμαΚον , ou (τό) veut dire drogue médicinale, médicament, remède préparé. Par suite фαpμαΚον prend le sens de drogue malfaisante d’où poisonpréparation de magie : c’est avec ce deuxième sens «  préparation de magie » qu’il est utilisé dans la Bible ! Ainsi dans le dictionnaire grec-français du Nouveau Testament, nous avons  « фαρμακεία, αѕ, ή, usage du poison, d’où : philtre, sortilège, enchantement, magie. Ga 5, 20, Ap9, 21 ; 18,23 ; ϕαρμακευѕ,εωѕ, ό, = empoisonneur, enchanteur, Ap.21,8. -En hébreu, sachant que hébreux et juifs ont été au contact des Egyptiens et des Chaldéens magiciens (Ex7-9 ; Is47,12 sqq), devins (Gn41, 8-24 ; Is 44,25…), sages et sorciers (Ex 7, 11) : la magie est attestée également chez eux. Ainsi dans les traductions bibliques où les mots sont indiqués en hébreu (et aussi en grec), il y a : -sorcellerie= kèshèf ou kashaf. (1S 15, 23 ; 2R 9,22 ; Mi 5,11 ; 2Ch33,6) - sorcière= ânan (Is 57,3) - magie= nâhash, heresh -magicien = haretόm, kâshaf, ânan.  Je veux dire par là, que si on tient en considération ces données étymologiques,l’expression « faiseurs de miracles », même si cela ne se voit pas à première vue, convient parfaitement à ces cardinaux franç-maçons qui ont mis en place le sosie de Paul VI.    

      
     
          

     

    1)          

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Ci-joint, document 1, un livre de magie d’origine maçonnique.  Document 2 : Ouvrage dEliphas Lévi, ci-dessus, de son vrai nom Alphonse-Louis Constant  né à Paris en 1810, mort en 1875. Ce dernier  fut d’abord un ecclésiastique avant de devenir une figure de l’occultisme. Il a été initié à la Franc-Maçonnerie le 14 mars 1861 mais a quitté la loge un mois après avoir été promu au grade de maître. 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Extrait du dit ouvrage.   On note au passage un hommage rendu à Lucifer.   

     

     

    Autre ouvrage, mais cette fois du franc-maçon Jules Boucher (1902-1955). Certes, on peut ne pas franc-maçon et écrire un livre sur la magie, mais les références dans ce domaine sont essentiellement maçonniques, gnostiques. « Les sciences occultes de la magie antique se trouvent enveloppées dans les rites du plus haut degré de la franc-maçonnerie »  déclarait Albet Pike, pontife de la franc-maçonnerie. « Les faiseurs de miracles », ces thaumaturges lucifériens que sont les franc-maçons infiltrés jusqu’au cardinalat, dans le secret de la Salette, ont leurs experts dans ce genre de pratique. Après cela, certains parmi les franc-maçons  voudraient nous faire croire, qu’il n’y a ni magie, ni messes noires, pratiquées parmi eux ; c’est vrai de certaines loges, mais certainement pas de toutes ; on peut même dire, que ce genre de pratique n’est pas condamnée par la franc-maçonnerie, et même mise à l’honneur par certains franc-maçons qui y croient dur comme fer. Ce genre de littérature en témoigne. Sans l’aide des démons et de Lucifer, sans le recours à l’invocation des puissances infernales, sans ce savoir faire maçonnique, la supercherie du sosie n’aurait pas pu aboutir avec autant de succès, ceux qui en franc-maçonnerie ne croient pas en ce genre de pratique, ont laissé faire, ceux qui parmi eux pratiquent la magie, l’invocation à Lucifer et à ses puissances, et tout porte à penser que  le numéro 451 de la revue Chiesa Viva a raison d’incriminer dans ce genre de pratique abjecte, abominable, des franc-maçons qui se sont élévés secrètement jusqu’au cardinalat, et ce n’est certes pas un hasard, si les noms de ceux qui dans les révélations en cours d’exorcisme sont présentés comme directement impliqués dans la mise en place du sosie de Paul VI, se retrouvent  dans la liste noire de « Chiesa Viva », des cardinaux pratiquant la magie, les messes noires, car Lucifer ne peut que vouloir favoriser ici bas, ceux qui savent l’invoquer comme il lui convient. Or le sosie de Paul VI, qui était devenu athée, n’était pas en mesure d’avoir pleinement ses faveurs, n’a été qu’une pièce maîtresse dans l’échiquier, dont on se débarasse à la fin, après qu’elle ait achevé sa mission. Parmi les « magiciens noirs », franc-maçons, bien connus, Arthur Edward Waite 33ème enseigne dans « le livre de la magie noire et des pactes », comment vendre son âme au Diable,  Manly P. Hall, considéré comme l’un des plus honorable franc-maçons du XX ème siècle, occultiste rosicrucien dans son ouvrage «  les enseignements secrets de toutes les époques » apprend lui aussi comment vendre son âme à Lucifer, et dans son autre ouvrage «  Dans les clés perdues de la franc-maçonnerie », il nous explique qu’une fois qu’un maître franc-maçon a pratiqué des sacrifices humains, les énergies bouillantes de Lucifer sont à ses ordres »,  « le journal du rite écossais, de cet auteur après sa mort a fait un immense éloge », et  cette liste est interminable car « tous les principaux occultistes, sorciers, magiciens, ( « noirs » ou « blancs ») sont tous franc-maçons », cf , à ce sujet, cf. l’ouvrage « la franc-maçonnerie au-delà de la lumière » de William (Bill) Schnoebelen,  ancien franc-maçon, actuellement de la secte des Evangélistes, personnage sulfureux de par son passé et son adhésion actuelle à l’église hérérétique évangéliste. vidéo sur le Web. « La franc-maçonnerie disséquée, partie 2 », sur « you tube » ou dans « prise de conscience.org ».

     

       

     

     

     

     

     

     Arthur Edward Waite 1847-1942    et
      

     

     

     

     

     

     

     

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Manly Panler Hall 1901-1990,  sont « des magiciens  noirs »  franc-maçons bien connus parmi tant d’autres. Le lien « faiseurs de miracles » avec la franc-maçonnerie, revient encore ici, d’autant plus qu’il convient de rappeler quelques liens de la franc-maçonnerie avec tout ce qui relève de la magie ou de la sorcellerie :

     «   La plus part des francs-maçons doivent porter une corde autour du coup lors du rituel d’initiation. William Schnoebelen affirme : « Dans la tradition orale de la sorcellerie à laquelle j’appartenais, on nous enseignait que la corde symbolisait le cordon ombilical qui connecte la déesse de la sorcellerie, la « reine du ciel », à ses enfants cachés, les sorcières. La corde représente le style de vie qui attache le nouveaux francs-maçons au dieu de la sorcellerie ! Un enfant caché de la déesse et de son époux cornu, Lucifer! Les francs-maçons sont adoptés dans l’ordre maçonnique. Le mot « adopté » est une clé, ici, car c’est une copie délibéré de l’acte sacré qui se déroule quand une personne est né de nouveau dans la famille de Dieu par la foi en Jésus (La bible, Romains 8.15, jean 1.12) ! »  Pour terminer, il faut savoir que « les ressemblances avec la sorcellerie sont frappantes. L’initié maçonnique et l’initié sorcier se tiennent tous les deux dans leur temple respectif, du côté du nord-est. On leur enlève à tous les deux,  tout objet de métal (pour des raisons occultes), on leur bande les yeux, et on les attache avec une corde. Tous deux sont défiés à la porte de leur temple, on leur perçe la poitrine avec des instruments coupants. Tous les deux doivent prononcer des voeux terrifiants pour garder des secrets qu’ils ne connaissent pas encore. Tous deux sont illuminés à des moments-clé de leur initiation, après avoir fait les voeux et avoir été libérés de leurs bandeaux. Les ressemblances (entre franc-maçonnerie et sorcellerie) sont nombreuses et frappantes »  extrait pris dans prise de conscience.org 

     

       Autre ouvrage de Schnoebelen, un drôle de personnage connu pour son anti-maçonnisme, un « Léo Taxil », à la sauce américaine, mélangeant le faux avec la vérité ? La question reste posée, mais une chose ici est certaine, cette  expression  « faiseurs de miracles » dans le sens de thaumaturges servant le camp du démon,  et c’est bien dans ce sens là, qu’il faut entendre cette expression selon notre Dame de la Salette,  reliée aux Saintes Ecritures, et d’après le sens littéral du secret de Notre Dame de la Salette, et sans oublier la littérature apocalyptique médiévale, comme on le reverra plus loin encore, d’une manière rigoureuse, ne pouvant désigner comme on l’a démontré, dans le secret de la Salette, que des intrus infiltrés dans l’entourage du pape, c'est-à-dire ici des cardinaux franc-maçons dans l’entourage de Paul VI.   

      

         Maintenant si on n’a pas compris tout ce que Notre Dame de la salette enseigne ici dans son secret au sujet de ces « faiseurs de miracles », à savoir que cette expression désigne en son sens réel des prélats franc-maçons mettant en place le sosie de Paul VI, (dont les noms principaux sont précisément Villot, Casaroli et Benelli ) ,  la description des prodiges n’apparaîtra pas dans un tout harmonieux, rationnel, rigoureux, mais au contraire, dans un tout chaotique, irrationnel, imprécis, la description des prodiges deviendra incompréhensible pour toute personne exigeante, qui  ne se contente pas d’explication confuse et irrationnelle  : Pourquoi , Notre Dame passe-t-elle de l’idée que la Foi sera abolie peu à peu dans les personnes consacrées à Dieu, à l’idée de personnes prenant l’esprit de Lucifer et des démons, puis à l’idée, de maison religieuses perdant la Foi, à l’idée de mauvais livres abondant sur le terre, pour nous parler ensuite de relâchement du service de Dieu ou de l’autel, et ensuite du pouvoir des esprits de ténèbres sur la nature, à l’idée de personnes transportées d’un lieu à l’autre, jusqu’à l’idée d’une parodie de résurrection destiné à séduire les hommes, à les faire trébuché dans l’apostasie ? Ces propos n’ont de sens, que dans le cadre d’un cheminement où le futur sosie de Paul VI, passe d’étape en étapegravit les échelons, avant de ressusciter dans la peau du pape, en ayant pris sa figure et sa place au Vatican. Avant de prendre la place du pape et de se faire passer pour lui, en prenant son apparence physique, en imitant sa manière de se comporter, il importe de savoir, que pour se mouvoir aussi facilement dans la peau du pape, pour les cérémonies liturgiques, qu’il  a dû être un vrai prêtre consacré à Dieu, qui était sincère, zélé au départ, plein d’amour pour Notre Sauveur, oui, c’est vrai,  maisdont la foi a été abolie peu à peu, au contact de la franc-maçonnerie, et puis qui aux contacts des franc-maçons des lucifériens, a fini par devenir haineux à l’égard de la Sainte Eglise catholique et de N.S. Jésus-Christ , prenant l’esprit de Lucifer, sans pour autant croire à son existence, puisqu’il est devenu athée, et après, il faut bien comprendre qu’il était déjà dans une maison religieuse sur le point de perdre la Foi, et qu’il y consultait  des mauvais livres le poussant à délaisser le service de l’Autel, au point de les lire avec une résistance terrible, en dormant très peu, avec l’aide des esprits de ténèbres, qui ont un grand pouvoir sur la nature, et ensuite,une fois formé à de mauvaises lectures, qu’il a fait le pas d’entrée dans une communauté et un temple maçonnique, pour y être initié - ce qui permet de comprendre pourquoi notre Dame nous parle l’églises servant des esprits de ténèbres, qui aux yeux du profane apparaît comme un cheveux tombant dans la soupe, sans soupçonner la cohérence interne du texte, les liens logiques, de cause à effet, puis une fois initié en loge, il faut que Notre Dame nous explique, qu’il s’est élevé en grade, et qu’on lui a confié la mission, de passer du stade de simple prêtre à celui de pape, mission qui une fois qu’elle a été confiée, ne permet plus à son dépositaire de faire marche arrière, et de dire, « attendez, je ne veux plus prendre la place du pape, je préfère ma vie d’avant ».

          C’est trop tard, il est obligé d’aller de l’avant, la franc-maçonnerie, ne pouvant pas le laisser partir où il veut, il ne peut qu’aller de l’avant, mais où … mais à sa propre perted’où l’idée de transport d’un lieu à l’autre, quisignifie au sens historique et biblique du terme la déportation, une certaine forme d’emprisonnement et d’esclavage, ou encore le châtiment de Dieu  sur lui, et l’expression «  même des prêtres » a pour objectif par delà les apparences, de nous ramener à ce prêtre qui est appelé à prendre le visage du pape par la chirurgie esthétique, et d’où l’idée finale, que les prélats franc-maçons infiltrés au cardinalatont  fait ressuscité ce prêtre qui s’est fait passer pour mort, par la chirurgie esthétique, qui de sa couche où il était allongé, s’est levé par la suite, ( sens étymologique du mot ressuscité) en ayant pris la figure de ce juste qu’est le pape, son apparence physique mais également son apparence intérieuren’imitant dans ce pape que sa mauvaise conduite d’autrefois ( «  qui avait vécu sur la terre »  ) , pour séduire les hommes, c'est-à-dire entraîner le peuple de Dieu, dans l’apostasie,  ce sosie étant l’œuvre du démon, car derrière la figure du pape que le sosie a pris – en demandant aux chirurgiens de la lui donner – se cache le démon, et il est logique enfin que notre Dame nous dise de ce prêtre qui autrefois avant qu’il perde la Foi, prêchait l’Evangile du vrai Christ, que une fois mis en place à la place du pape, qu’il prêche désormais un tout autre évangile que celui qu’il prêchait autrefois, à savoirl’athéisme, car pour pouvoir tromper spirituellement les âmes comme il le fait, il faut qu’il soit athée, ne croit pas en l’existence de l’Enfer ou du paradis, sans quoi, il ne tiendrait pas longtemps en place, aurait trop peur d’être damné, ferait marche arrière, mais cet athéisme, il le prêche, oui, mais nécessairement aux faiseurs de miracles, ( bien évidemment pas à ceux qui le prennent pour  le pape dont il prit l’apparence physique, surtout pas au monde dit « catholique » qui ne voit pas la supercherie du sosie ) - et la boucle est bouclée, car c’est au sosie du pape du pape souffrant que Notre Dame de la Salette veut en venir en parlant « des faiseurs de miracles » dont le pape devait être mis en garde ;  mais comme Pie IX n’a tenu aucun compte de l’avertissement de Notre Dame au sujet de Napoléon III, comme Pie IX est une préfiguration de ce pape remplacé par un sosie, et comme le mystère d’iniquité au sujet du pape doit se réaliser par les faiseurs de miracle pour permettre l’ Apostasie des temps de la fin, il faut en conclure de ce pape Paul VI qu’il ne tiendra aucun compte des avertissements de Notre Dame au sujet des « faiseurs de miracles ».   

         Lorsque l’on regarde le texte qui a précédé celui portant sur les faiseurs de miracles et leurs prodiges « extraordinaires », on se rend compte que c’est un texte qui prépare à la compréhension de tout ce que ce je livre ici. En effet, lorsque Notre Dame nous parle de Pie IX et de Napoléon, ce n’est pas seulement pour nous parler de Napoléon et de Pie IX, c’est pour nous faire comprendre qui est le pape souffrant de son secret qui va se voir remplacer par un sosie, et pour nous faire comprendre, qui sont les faiseurs de miracles,Pie IX qui a été chassé de Rome, a été contraint de s’enfuir secrètement de Rome,  a été dépouillé de ses états pontificaux pour vivre caché en exil,  étant une préfiguration du pape souffrant de son secret qui doit lui  aussi serachassé de Rome, contraint de s’enfuir de Rome, perdra tous ses biens, pour vivre caché en exil …

     

      


            

     

    Pie IX ( photographie 1), le pontificat le plus long,  après avoir été emprisonné, dû s’enfuir  de Rome pour vivre caché en exil, et fût dépouillé de tous ses biens, on annonça même sa mort, alors qu’il était encore en vie (  sur ce dernier point, cf Yvan Gobry, le pape des tempêtes, Paris,1999, p. 489 ), et il en a été de même  pour Paul VI, ( Photographie 2 ) 

    si l’on suit ce que raconte un grand nombre de phénomènes mystiques, comme les révélations en cours d’exorcisme, et si l’on suit un grand nombre de données dans la littérature apocalyptique, à commencer par le corpus prophétique rapporté par Arnold de Wion, comme on le prouvera plus loin, et l’Apocalypse de Notre Dame de la Salette, comme on est en train de vous le faire découvrir, et on le verra plus loin, il semblerait que les Saintes Ecritures abondent également dans ce sens,  ce qui  se vérifiera dans les prochains mois, ce récit « apocalyptique » de Pape souffrant que le monde croira mort mais qui sera toujours en vie, fixant l’éclipse de ce pape à plus de 35 ans, et passé ce délai, se produira son retour. Si cette prophétie vient de Dieu, si on a vu juste, on  va donc  bientôt le savoir, ce n’est plus désormais qu’une question de quelques mois, depuis le temps que l’on vit dans cette attente depuis 1988, en sachant qu’il faudrait voir passer plus de 35 ans après le 6 août 1978. On s’est toujours opposé à ceux qui anticipaient trop tôt ce retour. Maintenant, si Paul VI ne revient pas dans les temps fixés, on le tiendra personnement pour un antipape, ne l’appelant que par son nom propre  Montini, et on sera d’autant plus virulent à son encontre, que l’on aura défendu l’avènement de son retour miraculeux, jusqu’à la fin, et  il en sera de même pour Jean XXIII que ce récit « apocalyptique », nous empêche pour le moment  mais plus pour bien longtemps, de tenir pour un antipape. Suspendre notre jugement en attendant l’accomplissement de cette Prophétie, c’est notre ligne de conduite, tant que le temps fixé ne sera pas dépassé, mais que Paul VI soit toujours en vie ou non, ne change rien au fait que l’on doit tenir la Rome actuelle, comme une fausse et contre Eglise n’ayant de catholique que l’apparence, et ses chefs comme d’affreux apostats, quant à son culte invalide et sacrilège comme une abomination, et Wojtyla comme l’antéchrist-antipape par excellence.      

       

    … et Napoléon III ( qui a trahit Pie IX, qui est un carbonaro, voulant s’élever, voulant être pape, ce dernier étant un comploteur, avec ces coups d’état, particulièrement rusé et hypocrite  )  étant une préfiguration des faiseurs de miracles ( qui vont trahir le pape souffrant des temps de la fin, qui sont des franc-maçons voulant s’accaparer par la ruse de la fonction pontificale , s’élever comme Simon le magicien, a voulu s’élever … pour ensuite tomber, comme cela a été le cas de Napoléon à Sedan … comme cela a été le cas de Simon le magicien ).

                    
                                                                             


     

     

                             

     

    1)      Napoléon III                                                                                           

     

     

     

     

     

                                                                                et les faiseurs de miracles !                                                                    

     

          Mais ce n’est pas la peine pour le comprendre de remonter aussi loin dans le texte. La phrase juste au dessus de celle rapportant « les faiseurs de miracles », à savoir « plusieurs abandonneront la foi, et le nombre des prêtres et des religieux qui se sépareront de la vraie religion sera grand ; parmi ces personnes, il se trouvera même des évêques »sert de transition au passage concernant les faiseurs de miracles, l’expression « même des évêques » étant un indice pour nous faire comprendre que ces dit « faiseurs de miracles » qui viennent juste après dans le texte, sont des évêques, certes des franc-maçons, mais des évêques validement sacrés, attendant le moment propice pour entraîner avec eux dans la perdition et l’apostasie, le peuple de Dieu. En fait, le passage concernant les faiseurs de miracles et leurs prodiges, prodiges d’ailleurs tous intimement liés à ce que vous appelez « l’affaire du sosie » est un passage qui a pour objectif de répondre à la question  « mais pourquoi les membres du clergé romain seront aussi nombreux à apostasier, à abandonner la vraie foi catholique,  et que suivront-ils au lieu de suivre le Bon pasteur, la véritable papauté ? » que suscite le passage précédent. Or comme on l’a montré, le sens réel du passage concernant « les faiseurs de miracles », consiste à expliquer que l’Apostasie sera de vaste ampleur, beaucoup seront séduits, et sera provoqué d’une part par la négligence du pape, qui n’a pas vu venir la trahison des prélats franc-maçons au Vatican, qu’il croyait naïvement être ses amis, malgré les avertissement de notre Dame de la Salette, mais surtout par « les faiseurs de miracles », les cardinaux félons franc-maçons dans l’entourage du pape, qui installeront au Vatican à la place du pape, un sosie de pape, n’ayant du pape que l’apparence.

     

     

     

     

     

    1)                  

             Paul VI entouré par les faiseurs de miracles, le cardinal Villot et le cardinal Benelli, tous les deux franc-maçons et déjeunant avec le cardinal Köenig , autre faiseur de miracles, franc-maçon notoire.  De même que Pie IX ne tena aucun compte de l’avertissement de Notre Dame de la Salette lui demandant de se méfier de Napoléon III, lui révélant l’ hypocrisie et la trahison  de  cet empereur des français  à son encontre, réalisant plus tard, à quel point notre Dame avait raison de le mettre en garde contre ce monarque, Paul VI ne tena pas davantage compte de l’avertissement de Notre Dame de la Salette, le mettant en garde contre les faiseurs de miracles, du moins, il ne réalisa que plus tard, leur iniquité et leur félonie. Certes, Pie IX pouvait davantage comprendre le message de Notre Dame de la Salette, concernant son alliance avec Napoléon III, voué à l’échec, perdue d’avance, mais Paul VI avait été maintes et maintes fois averti de la dangerosité des loges maçonniques dans les milieux prophétiques de l’Eglise et par ses prédecesseurs, mais de la même manière que Pie IX se faisait des illusions au sujet de Napoléon III, espérant avoir son plein soutien,  chose complètement insensée  à l’époque, car Napoléon III était connu pour ses intrigues, n’a jamais caché  son soutien aux  révolutionnaires italiens contre l’empire d’Autriche, etc. Paul VI se faisait des illusions au sujet des loges maçonniques, ce qui était une chose tout aussi insensée, croyant pouvoir s’attirer leur faveur, se faisant embominé par eux, par leurs belles paroles, leur flatterie, n’écoutant que des mauvais conseillers, des prélats franc-maçons, à l’image de Roboam n’écoutant que les mauvais conseillers de sa génération (les jeunes au lieu des vieillards,  II Chroniques chap. X 8-13). Lorsqu’il ouvrit les yeux à leur sujet, cela fût trop tard pour lui, le piège s’était refermé, il se trouvait dans leurs filets, dans une situation beaucoup plus dramatique et terrifiante que celle de Pie IX. C’est du moins, le point de vue du récit qui identifie Paul VI comme le pape souffrant des derniers temps annoncé par les Prophéties et tant attendu dans l’Eglise, et qui loin d’effacer le caractère hautement répréhensible de Paul VI, le met tout au contraire en avant, pour expliquer le châtiment de Dieu à son encontre, le condamnant à un exil caché, pendant un très grand nombre d’années, dans lequel il sera coupé du reste du peuple de Dieu, vivant dans l’anonymat, inconnu du monde, comme s’il était un criminel de guerre en cavale, le banissement étant considéré au Moyen Age comme un châtiment pire que la mort. (Sur ce dernier point, le caractère hautement répréhensible  de ce pape propre à la littérature apocalyptique comparable au mauvais roi Roboam voir notre ouvrage sur le pape martyr dela fin des temps, Ed. DFT, 1999, téléchargeable gratuitement sur internet à ma demande. )         

             C’est pour Notre Dame, la réussite de cette opération diabolique, de cette substitution de pape par un faux ayant pris sa figure, qui précipitera le peuple de Dieu, la presque totalité des catholiques, les mauvais catholiques, massivement dans l’apostasie, ces derniers se réveillant un jour de l’été 1978 apostats, sans s’en rendre compte, comme s’il s’agissait d’un jour comme les autres. Toute cette opération du sosie, consistant pour les prélats franc-maçons-faiseurs de miracles à faire ressusciter par la chirurgie esthétique un soit disant mort qui prendra le visage du pape et qui singera le pape dans toute sa mauvaise conduite, a effectivement cet objectif, c’est Notre Dame elle-même qui nous le dit « afin de mieux séduire les hommes », c'est-à-dire mieux tromper spirituellement les catholiques dans leur ensemble. L’idée que l’expression « soi disant mort » soit utilisés au pluriel, n’invalide pas, l’idée du sosie, car si l’ennemi est capable de ce genre de supercherie, tout porte à penser compte tenu du contexte du sens littéral, qu’il l’appliquera au sujet du pape. Pourquoi, l’ennemi se gênerait-il, s’il peut s’en prendre de la sorte au pape, en l’outrageant, en le torturant ainsi d’autant plus ? Si Satan peut la commettre, il ne se gênera pas pour la réaliser, ne serait-ce que pour faire payer à ce pape tout ce que les autres lui ont fait. Pour se rendre compte du caractère terrible d’une telle chose, il suffit d’interroger tous ceux qui ont été victime d’une usurpation d’identité. C’est quelque chose qui peut être terrifiante si elle est poussée à son extrémité, et peut engendrer des souffrances terribles pour la victime, lorsque personne ne se rend compte de la supercherie et que vous ne pouvez rien faire pour vous défendre et protéger ceux que vous aimez  de celui qui a pris votre identité. C’est quelque chose d’atroce, dont on n’a pas idée, car pour s’en rendre compte vraiment, il faudrait l’avoir vécue. Lorsque Notre Dame dit « ces morts prendront la figure des âmes justes », par le mot « justes », même si cela ne se voit pas à première vue, elle pense au pape. Pourquoi ? Tout simplement parce que pour comprendre ce que notre Dame veut dire en disant le mot « justes », il faut se référer à toutes les fois où elle utilise le mot « justes » au pluriel dans le texte. Or le mot « juste » n’est utilisé qu’une seule fois dans son apocalypse, et au pluriel, dans le passage «  les justes souffriront beaucoup ;  leurs prières, leurs pénitences et leur larmes monteront jusqu’au ciel », il est étonnant que le verbe qui soit accolé au mot juste soit le verbe souffrir, car le mot « justes » aurait pu apparaître dans une toute autre phrase sans le verbe « souffrir », ou les justes ont une toute autre activité que celle de « souffrir ». Il aurait pu y avoir dans le texte  les justes prieront, feront pénitence, mais si cela n’est qu’en sous-entendu, le verbe qui a toute la place auprès des « justes », c’est le verbe « souffrir ».  Notre Dame a fait cela pour que l’on puisse faire la corrélation avec les deux autres passages : « Le vicaire de mon fils aura beaucoup à souffrir », « le Saint père souffrira beaucoup », où notre Dame donne l’impression de  répéter inutilement la même idée, or lorsque Notre Dame parle, elle ne se répète  jamais pour rien, mais pour nous faire comprendre quelque chose, et ici en l’occurrence, qu’il faut  compter, ne pas oublier,  parmi «  les justes qui souffriront beaucoup » , le pape souffrant de son secret, et enfin pour nous faire comprendre, que parmi « les justes » dans la Prophétie «  ces morts prendront la figure des âmes justes » , il faut voir dans le mot « justes », par-dessus tout, le pape souffrant de son secret.  

           Certes, l’apostasie n’a pas attendu l’avènement du sosie du pape pour commencer, mais cette citadelle sainte qu’est l’église officielle romaine, cesse de s’identifier avec la véritable  Eglise de N.S. Jésus-Christ exactement à la mort du sosie.

     

     

     

     

     

     

     « Ajoutons cette autre information que certains connaissent déjà, concernant les funérailles de « Paul VI ». Non seulement il n’y avait aucune croix sur son cercueil, mais le Diacre maronite ne put jamais lire l’Evangile de la messe de funérailles célébrée sur la Place St Pierre. En effet, à ce moment-là un violent coup de vent s’abattit sur le Missel, et uniquement sur le Missel (aucune feuille d’arbre ne frémissait ; il n’y avait pas de vent sur la place St Pierre). En vain, le diacre et un assistant adulte d’une trentaine d’années tentèrent-ils de s’arc-bouter sur ses pages pour éviter qu’elles ne s’envolent, rien n’y fit : l’Evangile ne fut pas lu ! » Citation dans «  Le Courrier de Tychique Correspondance à adresser à M. Jean Marc Chabanon168, Route du Grobon – 01400 – Châtillon-sur-Chalaronne N° 361

     

               C’est en effet, par  ce mensonge faisant croire que le pape est mort, alors qu’il ne s’agit que de la mort du sosie, que l’église officielle romaine, se vide complètement du pape souffrant, le chasse véritablement et  dès lors par ce mensonge,  elle perd ipso facto  toute autorité apostolique, pour devenir une contre église, une église d’apostats, c'est-à-dire qu’au cours du conclave suivant, l’élection du pape, ne se fait plus dès lors par le peuple de Dieu, mais bien plutôt par un peuple antéchrist, apostat, schismatique, d’où ne peuvent sortir que des antipapes. Lorsque Notre Dame dit « plusieurs abandonnera la foi, et le nombre des prêtres qui se sépareront de la vraie religion sera grand », il s’agit de tous ceux, qui après la mort du sosie, resteront dans la fausse église des derniers temps, en croyant être dans la véritable Eglise Catholique, ne se seront pas rendu compte de la supercherie du sosie, ou que l’ennemi s’est emparé de la fonction pontificale. Cette apostasie décrite ici implique préalablement l’avènement de la fausse église qui n’a de catholique que l’apparence ;  elle est corrélative au fait que  cette citadelle sainte qu’est l’église officielle romaine après la mort du sosie, a été complètement investie, de la tête au pied par l’Ennemi, vidée de la  véritable papauté et des vrais catholiques, pour ne plus contenir à l’intérieur qu’un peuple apostat dirigé par une antipapauté redoutable, ce qui se trouve résumé en ces termes beaucoup  plus loin dans le sens littéral du texte : «  Rome perdra la Foi et deviendra le siège de l’antéchrist », le texte suivant expliquant le mystère d’iniquité sur le siège de Pierre, comment l’Ennemi est parvenu à faire naître cette fausse et contre église d’origine diabolique, c’est dans ce contexte là, qu’apparaissent les faiseurs de miracles. Le passage encore plus loin «  les démons de l’air avec l’antéchrist, feront de grands prodiges sur la terre et dans les airs, et les hommes se pervertiront de plus en plus » est un résumé de ce qu’accompliront les faiseurs de miracles avec l’aide de Lucifer et des démons tous détachés de l’enfer, à partir de l’année 1964.  

              Telle est la position de Notre Dame de la Salette, au sujet du sosie de Paul VI et de Paul VI. Et cette position de Notre Dame de la Salette est déconcertante, car toutes les actions que Paul VI a accomplies avant l’avènement du sosie, (à supposer que cette affaire du sosie a bien existé, ce que confirme Notre Dame de la Salette !) nous porte à voir en Paul VI, un antéchrist, mieux encore à voir en lui un antipape. Mais bon, ce que nous rapporte Notre Dame de la Salette, à ce sujet, lui vient de Dieu, et a fortiori de N.S. Jésus-Christ, dont l’enseignement il faut le dire a toujours été déconcertant , même si on a oublié avec le temps cet aspect déconcertant de son enseignement, même si beaucoup ont perdu de cette faculté de s’étonner des propos de N.S. Jésus-Christ et ne réfléchissent pas assez à tout ce qu’il nous a dit, et il est logique par conséquent que les propos de Notre Dame de la Salette soient déconcertants eux aussi, puisque Notre Dame en bonne messagère du Seigneur, nous rapporte la parole du Seigneur.   Notre Dame de la Salette reconnaît comme on l’a vu dans cette étude le caractère hautement répréhensible de Paul VI, mais cela ne fait pas pour autant de Paul VI, un antipape. A la suivre, Paul VI a été le plus mauvais des papes qui puisse être conçu dans la véritable Eglise catholique, mais le Seigneur l’aurait repris et corriger, pour faire de lui, le plus grand et le plus saint des papes, et on aura l’occasion de s’en rendre compte de cette assistance exceptionnelle de N.S. Jésus-Christ au sujet de Paul VI, lorsque Paul VI après s’être sanctifié au cours de son exil caché où il a vécu dans une plus grande intimité avec le Seigneur et la très Sainte Vierge Marie, reviendra miraculeusement parmi nous, par une intervention extraordinaire de N.S. Jésus-Christ, et Notre Dame de la Salette, comme pour le sosie de Paul VI, n’a pas manqué dans son secret à nous révéler quand N.S. Jésus-Christ par un acte de sa Justice et de sa grande miséricorde commandera à Paul VI de sortir de son exil caché ou éclipse pour retourner vers les siens, et quand, il commandera à ceux qui sont appelés à le recevoir, d’aller retrouver Paul VI  également à sa sortie d’exil. On aura donc beaucoup de choses à dire à ce sujet, mais les ennemis de l’Eglise qui liront cette étude, ne peuvent bien évidemment pas espérer de nous, que l’on révèle publiquement le lieu et la date du retour de Paul VI, mais bien plutôt qu’on les induise en erreur, pour leur assigner le coup qu’ils méritent. Dans la littérature apocalyptique du XII ème et XIII ème siècle, le pape souffrant des derniers temps, avant d’avoir été repris et corrigé par le Seigneur, avant de suivre les pas du Christ dans sa passion, avant de vivre caché en exil et de se sanctifier tout au long de cet exil et de croître dans l’amour de Dieu, était également si répréhensible, que l’Oracle de saint Cyrille,l’Oraculum Cyrilli, qui est l’un des manuscrits les plus importants de cette littérature, a osé comparer ce pape souffrant au mauvais roi Roboam, lorsqu’il régnait sur l’ensemble du peuple de Dieu, et qui après avoir écouté de mauvais conseillers, a provoqué par son mauvais comportement, un schisme sans précédent, jusqu’à précipiter le peuple de Dieu, dans son ensemble dans l’apostasie, mais sans se rendre compte du mal qu’il faisait.

             On n’a expliqué le rapprochement entre Roboam et le pape souffrant dans notre ouvrage le pape martyr de la fin des temps, en commentant une prédiction attribuée au bienheureux Bernard de Bustis qui dit ceci : «  En ce temps, il se produira un schisme au sein de l’Eglise de Dieu à l’occasion de l’élection du pape, parce qu’il s’en créera plusieurs. Dans ce nombre, il y en aura un qu’il fera nommer, mais ce ne sera pas le vrai pape. Il en viendra à persécuter le vrai pape et tous ceux qui lui obéiront, de telle sorte que la majorité se déclarera plutôt  pour l’antipape que pour le vrai pontife. Celui qui sera le vrai pontife  au temps du schisme s’appellera Roboam, tandis que le faux pontife se nommera Jéroboam, cela parce que le vrai pontife, dès le commencement du schisme, ne comptera dans son obédience que les deux douzième des chrétiens, les dix autres s’attacheront au pseudo-pontifie. Toutefois les vrais cardinaux  et gardiens de l’Eglise romaine suivront Roboam, les mauvais seulement Jéroboam. » (Cf. notre commentaire de 1999,  dans le pape martyr de la fin des temps, au chapitre III,  p.76-78, et suivantes, 81 à 85.), et bien vous savez quoi, mes frères, cette prédiction à la lumière de l’analyse historico-critique ou exégétique, s’avère être une interprétation subversive de l’Oraculum Cyrilli, relatif au sosie du pape souffrant des derniers temps, venant de la fin du Moyen Age, émanant à l’origine de Jean de Roquetaillade et de Télesphore de Cosenza.

             Lorsque l’Oraculum Cyrilli parle, c’est comme Notre Dame de la Salette dans son secret,  il parle dans ce genre littéraire qu’est l’apocalypse pour ne pas être compris par tout le monde ou par n’importe qui, ce qui vaut pour le passage de l’Oraculum Cyrillirelatif au sosie de Paul VI, et c’est cette obscurité du texte, voulu par Dieu, qui empêchent ces commentateurs médiévaux que nous venons de citer, de comprendre le sens réel de ce passage dans l’Oraculum Cyrilli relatif au sosie du pape souffrant des derniers temps,  et c’est à ces derniers que revient la faute de l’interpréter de travers. Télesphore de Cosenza en regardant le dit passage de l’Oraculum Cyrilli annonçant le sosie de Paul VI, n’a pas compris, que ce passage annonçait une opération diabolique commanditée par des loups ravisseurs infiltrés jusqu’au cardinalat, consistant à donner à un usurpateur l’apparence physique du pape souffrant, parce que ce type d’opération était complètement impensable à son époque, et qu’il croyait venir pour son époque les derniers temps de la papauté, alors il s’est mis, entendez vous bien, à torturer le sens littéral du texte, en disant de ce texte que le clergé romain à son époque et lui-même croyaient inspiré par Dieu, qu’il signifiait qu’il y aurait deux papes élus lors d’un même conclave, un vrai pape tout d’abord, puis un faux pape, qui par la suite avec l’aide de cardinaux félons, se ferait passer pour le vrai pape, au grand désarroi du vrai pape, le pape souffrant des derniers temps, qui n’aurait de son côté que trop peu de partisans, la plupart des catholiques en suivant ce faux pape, trébuchant par ce faux pape dans l’apostasie.

            Mais à y regarder de plus près, ce texte de l’Oraculum Cyrilli sur lequel se base Télesphore de Cosenza pour tenir une pareille interprétation subversive, ne parle pas d’un conclave où deux papes seraient élus en même temps, mais d’une opération diabolique, commanditée par des loups ravisseurs infiltrés jusqu’au cardinalat, consistant à substituer au vrai pape, un faux ayant l’apparence physique du vrai papel’Oraculum Cyrillicomparant cette opération à une opération métallurgique ou alchimique consistant à fabriquer de l’électrum, à fusionner de l’or avec de l’argent, opération au bout de laquelle le moule une fois refroidi, devra donner forme à une idole ( les idoles dans  l’antiquité étant faite d’électrum, comme cela fût le cas du veau d’or du temps de Moïse, lorsque Moïse que s’était  absenté pour recevoir les tables de la Loi, redescendit de la montagne,  il vit dans une sainte colère,  le peuple de Dieu corrompu, qui estimant que Moïse était mort, avait fabriqué un veau d’or, en faisant couler de l’or et de l’argent,  pour lui donner forme, et l’adorer )une idole, c'est-à-dire dans le cas présent, un faux pape ( un faux pape est comme une idole dans le Temple de Dieu ) qui n’aura du vrai pape que l’apparence, et qui serait à l’origine du plus grand schisme et apostasie de toute l’histoire de l’Eglise. Le vrai pape qui serait ainsi imité dans son apparence physique, l’Oraculum Cyrilli, l’appelle «  Roboam », parce qu’il s’agit du pape souffrant des derniers temps de l’Eglise, qui avant d’être repris et corriger par Dieu, sera aussi répréhensible que le roi légitime Roboam, le fils de Salomon, et la fausse papauté sortie de cette supercherie du sosie, l’Oraculum Cyrilli, l’appelle « Jéroboam », du nom du roi usurpateur qui a combattu le roi légitime Roboam dans le livre des Rois et des chroniques. Télesphore de Cosenza tout comme Jean de Roquetaillade s’accordent pour reconnaître le caractère hautement répréhensible du pape souffrant des derniers temps, qui avant d’être repris et corrigé par N.S. Jésus-Christ, était un bien mauvais pape, si mauvais, nous fait comprendre l’Oraculum Cyrilli, que la plupart des catholiques ne verront pas la différence, entre le vrai pape et le faux pape qui a pris la figure du vrai pape.

     

     

     

           Ce caractère répréhensible du pape souffrant est mis en évidence par toute la littérature apocalyptique du XII ème et XIII ème siècle, et pas seulement par le secret de Notre Dame de la Salette, comme on l’a vu dans cette étude, littérature qui enseigne également que la faute de ce pape, sera enlevée par N.S. Jésus-Christ, lorsque ce pape suite à  un long exil caché où le monde le croira mort, se sera sanctifiécet exil étant un châtiment de Dieu, à l’égard du pape souffrant, non pour lui faire du mal, mais tout au contraire, pour lui permettre de croître dans l’amour du Seigneur, le projet du Seigneur avec lui, étant de se réconcilier avec son peuple. La longueur de cet exil ou éclipse de véritable papauté, qui va de paire avec l’éclipse de toute la Sainte Eglise, car là est le vrai pape, là se trouve la véritable Eglise de N.S. Jésus-Christ,  est proportionnée au mal que le pape souffrant et le peuple de Dieu, a fait au Bon Dieu. Lorsque Notre Dame de la Salette dit « Dieu abandonnera les hommes à eux-mêmes et enverra des châtiments qui se succéderont pendant plus de trente cinq ans », il s’agit d’un châtiment de Dieu corrélatif au mauvais comportement « des chefs, des conducteurs du peuple de Dieu », c'est-à-dire par delà le mauvais comportements des évêques et des cardinaux de la véritable Eglise catholique, le mauvais comportement des papes Jean XXIII et Paul VI, et tout particulièrement le mauvais comportement de Paul VI, c'est-à-dire que par l’expression « les hommes » ici, il ne faut pas entendre tous « les habitants de la terre » c'est-à-dire les méchants,  il ne faut pas entendre non plus, les non catholiques avec les catholiques, Notre Dame ne faisant pas ce mélange impie, mais il faut entendre seulement les vrais catholiques, les justes qui souffriront beaucoup, à commencer par le vrai pape Paul VI, c'est-à-dire que les châtiments que Dieu enverra qui se succéderont pendant plus de trente cinq ans, sont des châtiments qui frapperont les vrais catholiques, les justes  dans leur ensemble, qui seront foulés aux pieds par l’Ennemi,  à commencer par Paul VI, et cette durée des tribulations qui fait plus de trente cinq ans, n’est rien d’autre que le temps de l’éclipse de l’Eglise de N.S. Jésus-Christ, c'est-à-dire de la véritable papauté en la personne du vrai pape Paul VI.

     

          Les misérables, qui dans l’Eglise commettent par conséquent l’erreur de croire que le sosie de Paul VI est une invention pour faire endosser le caractère hautement répréhensible de Paul VI à une autre personne,  invention qui viendrait de personnes n’acceptant pas la réalité d’un Paul VI répréhensible aux yeux du Seigneur, se faisant du pape une conception angélique ou idolâtre, comme si un pape ne pouvait pas faire du mal au Seigneur, invention qui serait inspirée par le Diable, feraient bien  mieux d’étudier leur propre littérature apocalyptique à ce sujet, au lieu de dire n’importe quoi. Ils feraient bien en particulier, ces misérables dans l’Eglise, qui ignorent eux aussi leur nudité, d’étudier par-dessus tout,  l’Apocalypse de N.S. Jésus-Christ, qui n’a pas manqué de parler d’un pape qui dans les derniers temps de l’Eglise serait repris et corrigé par lui, un pape appelé à suivre ses pas dans la passion, mais également dans la résurrection.Cette erreur à l’égard du sosie de Paul VI  est de l’ordre de l’ignorance coupable, car si l’idée de sosie de Paul VI avait pour objectif de faire endosser le caractère répréhensible de Paul VI à une autre personne, dans les révélations en cours d’exorcisme, les démons auraient fait intervenir le sosie de Paul VI, non pas vers la fin du pontificat de Paul VI, mais au début, car le caractère répréhensible de Paul VI est flagrant dès les premières années de son pontificat, mais on comprend que cette idée de sosie de Paul VI , dérange aussi bien les apostats que les mauvais catholiques.     

     

      Télesphore dans le passage de l’Oraculum Cyrilli prophétisant le sosie de Paul VI,  a compris que par l’or il fallait entendre le vrai pape, et par l’argent, il fallait entendre le faux pape, à vrai dire, l’or désigne les traits du vrai pape, et l’argent, ceux du faux pape, qui une fois mélangée subtilement l’un à l’autre, comme dans une opération consistant à fabriquer de l’électrum, rend impossible la distinction du vrai  pape et du faux pape, l’apparence du vrai pape étant tellement bien faite, quela presque totalité des catholiques se laissera berner par la supercherie, la plupart suivront la fausse papauté, c'est-à-dire «  Jéroboam », provoquée par cette opération diabolique et le petit reste qui voit clair pleurera avec le pape souffrant qui sera ainsi imité dans son apparence physique, par un imposteur, mis en place par des cardinaux félons, membres de la Synagogue de Satan infiltrés jusqu’au cardinalat. Voilà ce qui est enseigné dans l’Oraculum Cyrilli dans les grandes lignes au sujet du sosie de Paul VI. Cette prédiction dite « du bienheureux Bernard de Bustis », ( parce qu’on a trouvé cette mauvaise interprétation de l’Oraculum Cyrilli dans les affaires du Bienheureux Bernard de Bustis, - cette interprétation n’a pas été signée ou cautionnée par le Bienheureux Bernard de Bustis, combien même l’aurait-il recopiée de sa main, ce qui n’est même pas le cas à notre connaissance )   s’avère être en vérité un mélange des mauvaises interprétations de Télesphore de Cosenza et de Jean de Roquetaillade sur ce passage de l’oraculum Cyrilli relatif au sosie de Paul VI, qui ont torturé le sens littéral du texte de l’Oraculum Cyrilli relatif au sosie de Paul VI, pour y voir des choses que l’Oraculum Cyrilli, n’a jamais enseigné, comme par exemple qu’il y aura lors d’un conclave,l’élection de deux papes, un vrai pape et un faux pape, idée que Télesphore de Cosenza et Jean de Roquetaillade ont cru voir dans ce passage de l’Oraculum Cyrilli, que nous évoquons qui parle d’électrum et de luperques, l’expression «  luperques » faisant référence aux prêtres de la Rome païenne, qui avaient le culte du loup, désignant dans son sens réel,  les loups ravisseurs infiltrés parmi les cardinaux, qui ont mis en place le faux papece que d’ailleurs en revanche Télesphore de Cosenza et Jean de Roquetaillade avaient parfaitement compris. Mais l’idée qu’il y aura de vrais cardinaux qui suivront la vraie papauté en la personne du pape souffrant des derniers temps de la papauté, dit «  Roboam », que l’on retrouve dans les écrits de Jean de Roquetaillade, est une interprétation subversive de ce même passage de l’Oraculum Cyrilli, relatif au sosie de Paul VI.

     Voici un extrait de l’Oraculum Cyrilli au sujet du sosie de Paul VI, dans le livre merveilleux reprenant le point de vue de Télesphore de Cosenza, cet extrait commence par «  si multum quoque ftabitLupareos dyade rutilante, ut tibi effundum electrum » (traduction : «  S’il est décidé que les Luperques, au moment où la dyade est dans tout son éclat, te fourniront de l’électrum », et se trouve vers le haut de la deuxième page du vieux  manuscrit ci-dessous :

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      Ce document est une photographie du « livre merveilleux », commentaire en vieux français subversif de prédictions portant sur les derniers temps de la papauté, autrefois bien connu dans l’Eglise, et qui cherche à comprendre le passage de l'Oraculum Cyrilli ( de l'Oracle de Cyrille ) relatif au sosie de Paul VI dans les derniers temps de la papauté, qui figure en latin en haut de la page 23.    

     

     

     

        

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ci-joint, la suite du texte, où notre commentateur s'égare progressivement dans son interprétation de la citation latine tirée de  l’Oraculum Cyrilli au sujet du sosie de Paul VIcette citation relative au sosie du pape souffrant des derniers temps de la papauté, est tiré « du livre du dit Cyrille », c'est-à-dire de l’Oraculum Cyrilli,  « au 6. Chapitre », au sixième chapitre, comme l’indique le livre merveilleux, qui reprend la position de Télesphore de Cosenza au sujet du dit passage. Je reprendrais tout cela  en profondeur, lorsque je révèlerais le sens réel des dernières devises du corpus " prophètique" rapporté par le bénédictin Arnold de Wion, surpassant dans ce domaine tout ce qui se dit dans les milieux médiévistes ou universitaires.  

             Mes frères, je vais arrêter là, mon exposé bien long mais particulièrement riche des choses de Dieu, sur le sosie de Paul VI,  car j’ai besoin de sommeil pour me rendre au saint Sacrifice de la messe - il est 4 heures trente du matin - mais cette partie de l’Oraculum Cyrilli relatif au sosie de Paul VI, sera approfondie dans un prochain exposé où je révélerais le sens réel des dernières devises rapportées par le bénédictin Arnold de Wion, qui attestent la survivance de Paul VI et son retour miraculeux. Là encore, nous avons beaucoup d’autres choses à vous apprendre, mais dites vous bien que tout ce que vous croyiez savoir au sujet de ces devises attribuées à saint Malachie par Arnold de Wion, ne vaut rien, que vous avez tout à apprendre de nous, dans ce domaine également. Permettez-moi de terminer cette étude, en continuant de pleurer : « Dieu de miséricorde, votre Eglise est foulée aux pieds et les âmes se perdent toujours plus. Votre sanctuaire est profané, et l’abomination est jusque dans le lieu saint avec ce nouveau Ménélas qu’a été Wojtyla, monstre d’iniquité que Bergoglio va maintenant élever en avril sur les autels avec la complicité de Ratzinger ! Toute l’Eglise gémit sous le poids des crimes de cette Babylone maudite qu’est devenue l’église officielle romaine depuis son rejet du vrai pape, Paul VI ! Un signe de vous, que le retour de Paul VI s’accomplisse enfin, et la croisade tant annoncée par les prophètes pourra commencer ! » (reprise de notre prière à la fin de notre ouvrage de 1999) Que la paix de Notre Seigneur Jésus-Christ soit sur vous tous et que la très Sainte Vierge Marie, vienne à notre aide, intercède auprès de son divin Fils, pour le retour de Paul VI, parmi nous. Amen.  

     

                 Marsillargues, ce dimanche 30 mars 2014 A.D. (Année du Seigneur), 

     

                                                                                

     

     

     

     

       Le petit pèlerin de Notre Dame de la Salette, Eric Faure.   

                         


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